Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Ploudaniel, France,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

 

2009-03-08 – Soir  Partie 1                       

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Est-ce que vous m'entendez en arrière? Oui, très bien? Alors, nous allons connaître la Volonté de Dieu. Dieu veut parler en notre cœur. Vous n’êtes pas venus entendre une volonté humaine, vous êtes venus pour entendre votre intérieur : votre cœur qui s’unit à tous les enfants du monde, votre cœur qui s’ouvre à la Volonté de Dieu. La Volonté de Dieu, c’est l’amour.

 

Dieu veut faire de chacun de nous un oui, un oui à Jésus. Le oui appartient à Jésus. Il veut qu’on entre en son Oui. Lorsqu’il a nommé ce nom : la Fille du Oui, eh bien, le oui était à Jésus. Nous appartenons tous au Oui, celui qui nous a valu le rachat de nos péchés, celui qui nous a fait connaître notre liberté, notre droit de nous reconnaître être aimés de Dieu et protégés par Dieu. Alors, nous sommes tous des oui, car nous appartenons à Jésus. Nous sommes les filles et les fils de Celui qui a prononcé son Oui à son Père : «Ta Volonté, pas ma Volonté». Alors, pour quitter notre volonté, il faut entrer dans Celui qui, le premier, a prononcé ces paroles : «Ta Volonté, Père».

 

Nous ne voulons plus nous servir de notre volonté humaine lorsqu’on saisit que la Divine Volonté est tout pour nous. La Divine Volonté nourrit nos pensées, si bien que nos pensées sont les pensées de Dieu. La Divine Volonté prend notre regard et nous pouvons voir ce que nous n’avons jamais vu : la beauté de ce que nous sommes. Lorsque nous regardons ce que nous sommes, nous regardons les autres comme étant nous-mêmes, et là, on peut reconnaître notre Dieu, on peut pénétrer la présence de Dieu en notre vie, car notre regard est le regard de Dieu. Parce que nous regardons avec le regard de Dieu, là nous pouvons comprendre, nous pouvons comprendre le dessein d’amour de Dieu pour chacun de nous, nous pouvons saisir avec notre cœur l’amour inconditionnel que Dieu a pour tous les enfants du monde. Du plus petit pécheur au plus grand pécheur, Dieu aime le pécheur.

 

Il ne vient pas parler en notre cœur pour diviser, mais pour rassembler. Dieu parle en tous les enfants parce qu’il est la Présence. Il ne sépare pas son temps. Le temps de Dieu est éternel et nous faisons partie de son temps lorsque nous nous abandonnons comme des tout petits enfants, lorsque nous voulons ouvrir notre cœur à l’amour, un amour qui donne, un amour qui ne cesse de se donner. Alors, en ce moment, Dieu veut qu’on se donne, qu’on donne ce que nous recevons. Chacun de nous, nous sommes libres, parce que la liberté est de Dieu, elle n’est pas de nous, elle nous a été donnée par Celui qui est, Celui qui a insufflé en nous la vie. Nous sommes libres en la Vie. Avec cela, nous pouvons accepter de nous donner pour nos frères et nos sœurs. Il y a qu’en étant à l’intérieur de nous que nous pouvons nous donner. Il est difficile pour nous qui demeurons à l’extérieur de comprendre ce que Dieu attend de chacun de nous. Que ce soit en France, au Canada, que ce soit en Afrique, en Colombie, nous devons ouvrir notre cœur pour accueillir, nous devons être des enfants de Dieu pour que chacun puisse être une nourriture. Dieu parle en nous comme s’il avait besoin de nous. Oui, Dieu veut réveiller tous les enfants de son Père afin qu’ils puissent, qu’ils puissent comprendre que nous vivons un temps de révélation. Nous vivons un temps où nous pénétrons les paroles des derniers temps.

 

Nous avons seulement à regarder autour de nous et nous savons que le monde est bouleversé. Nous voyons des guerres sur guerres, nous voyons des épidémies et nous savons que les enfants de Dieu perdent la foi. Les enfants de Dieu n’ont plus confiance en leurs prières, ils n’ont plus confiance en ce qu'ils sont en l’Église. Alors, nous n’avons plus confiance en l'un et en l’autre : toi de ton côté et moi de l’autre. Nous avançons comme des étrangers alors que nous vivons le temps de l’Apocalypse. Jésus nous a dit : «Il faut que cela arrive. Demeurez dans la paix». Alors, il faut demeurer dans la paix en Jésus afin que nous puissions vivre ces temps de révélations. Apocalypse veut dire : révélation. Donc, tout ce qui nous est révélé ne peut venir que de Dieu, ne peut pas venir de Satan, parce que Satan ne veut pas nous révéler. Satan vole, Satan est hypocrite, il arrive toujours par en arrière pour prendre la vie, notre vie, et il se sert de ce que nous sommes.

 

Jésus vient, vient accueillir nos oui qu’il a fait jaillir de nous-mêmes afin de nous présenter ce que nous sommes : nous sommes les enfants des derniers temps, car un temps est terminé. Maintenant, nous avons encore un petit temps, petit temps à vivre avant que nous soyons devant chacun de nous, en nous, en Jésus. Dieu nous prépare. Il nous prépare pour ce que nous allons vivre. Il ne vient pas, Jésus, comme un magicien : il apparaît, voilà, nous sommes devant lui! Jésus est Dieu. Il s’est donné pour chacun de nous. Il a préparé ce temps et nous vivons son accomplissement; alors, il faut se reconnaître tels que nous sommes. Dieu ne veut pas changer l’être que nous sommes, il veut tout simplement le transformer afin qu’il puisse être prêt. Il veut défaire ce que nous, nous avons fait. Nous nous sommes donné du pouvoir : pouvoir de penser ce qui était passé et nous avons préparé notre avenir, nous avons calculé le temps; alors, nous nous sommes mis devant une situation que nous on a fabriquée. C’est nous-mêmes qui avons fait en sorte que le temps presse, et le temps est en train de s’accomplir, mais avec affolement. Dieu veut remettre tout cela en ordre à l’intérieur de nous et, pour cela, il va falloir regarder, il va falloir donner, il va falloir refuser, il va falloir accueillir, il va falloir remercier. Sans ces mouvements, nous ne serons pas prêts pour ce qui nous est annoncé.

 

Dieu ne parle pas en ce moment pour le temps où nous allons vivre la fin du monde, mais pour le temps de l’amour où les enfants de Dieu, les élus de Dieu, les choisis de Dieu, vont vivre un temps d’amour où le mal ne pourra pas être avec nous. C’est pour ce temps que nous sommes réunis, un temps où nous serons tous dans un amour inconditionnel. Nous serons des êtres de partage. Il n'y aura rien à nous, mais tout ce qui est à chacun de nous deviendra ce que nous, nous aurons. Nous serons dans l’abondance, pas dans l’abondance matérielle, nous serons de l’amour. Il y aura tellement d’amour en nous qui sortira que cela sera constamment de la joie pour nous. Eh bien, pour que cela soit, il va falloir donner ce qui nous a rendus tristes, mélancoliques, incertains, douteux, froids, indépendants, coléreux, vengeurs, punisseurs. Oui, il y a tout cela à l’intérieur de nous. Il va falloir le donner, il va falloir le donner à Celui qui a déjà tout pris.

 

Voyez-vous, ce que nous venons d’entendre, c’est ce que nous sommes. Nous ne sommes pas le péché, mais nous sommes devenus une conséquence du péché et nous souffrons. Nous pleurons sur nos enfants et nos parents pleurent sur nous-mêmes. Nous sommes pour nos enfants – qui sont le futur, n’est-ce pas, l’avenir, un avenir d’amour – nous sommes une tristesse pour eux, parce que ce que nous sommes devenus est ce que nous on n’a pas réussi à leur faire croire. On veut prier, mais on ne croit plus en la puissance qu’est la prière; alors, ce que nous ne sommes pas devenus : des êtres de confiance, eux nous ont regardés, ils ont refusé d’être comme nous. Ils n’en veulent pas des personnes qui prient et qui ne croient pas en leurs prières; alors, ils se sont détournés de ce qu’ils voulaient comme nourriture : ils voulaient regarder des parents, des amis, qui prient en croyant à ce qu’ils font.

 

Aujourd’hui, ils ont regardé un monde, un monde de consommation, un monde qui leur promet un avenir, de l’argent. Ils goûtent au pouvoir. Nos enfants, ils ont des grosses maisons, ils ont la grosse auto, le voyage, ils ont, oui des dettes, mais ils ont l’argent pour payer tout cela. Ça, ça devient quelque chose de palpable dans leur vie; même s’ils font quarante, soixante heures par semaine pour goûter à cela, ils le font parce que cela est dans leur vie, ils peuvent y toucher. N’oubliez pas ce que nous avons appris dans l’Ancien Testament où les hommes voulaient voir, voulaient voir Dieu. Parce qu’ils voulaient voir Dieu, ils ont, eh bien, fabriqué des dieux en regardant des objets, tels des animaux, telles des statues qui représentaient des déesses. Ils ont demandé, ils ont demandé à quelque chose qu’ils voyaient : ça leur donnait satisfaction.

 

Nous, on dit à nos enfants : "Crois qu’il y a un Dieu". Eh bien, il nous dit : "Hey, toi, y crois-tu à ton Dieu, à Celui que tu pries? Tu ne cesses de me rebattre les oreilles en me disant 'crois en Dieu', alors que tu pleures, tu t’inquiètes, alors que tu ne cesses de regarder les uns et les autres et de parler d’un prêtre, de parler d’un évêque. C’est ça que tu veux que je croie?" Alors, ils se détournent nos enfants, ils se détournent les enfants de ce monde, et ils vont regarder la télévision, ils vont écouter la musique, ils vont lire les romans. Tout cela nourrit leur imagination, si bien que leur imagination devient quelque chose de réel dans leur vie. Alors, ils se fabriquent un amour et lorsque cet amour ne suffit plus, ils en prennent un autre. Voilà pourquoi il y a tant de séparations. Les enfants, c’est notre souffrance passée. Nos enfants, on leur donne ce qu’on a eu dans notre vie. On ne peut pas leur donner ce qu’on n'a pas eu, alors ils sont témoins de notre vie.

 

Dieu, notre fidèle amour, lui, a toujours été là dans notre vie et il l’est pour nos enfants. Il les soutient. Il se sert de nous, nous les boiteux, les aveugles, les sourds, les paralysés, les engourdis, les menteurs. Comment voulez-vous ne pas accepter tout cela, puisque nous portons dans notre chair tout ce qui a été avant nous : nos parents, nos parents qui priaient, mais qui souffraient à cause de leurs choix, nos arrières grands-parents; eux aussi priaient et eux aussi manquaient de foi, eux aussi avaient peur. Parce que nos parents aussi ont connu la guerre, nos grands-parents aussi, nos arrières grands-parents et arrières grands-parents et arrières grands-parents ont connu des révolutions, ont connu la souffrance et tout cela fait partie de nous-mêmes, car ils nous ont donné ce qu’ils avaient en eux.

 

Et Dieu vient, vient nous parler : «Ne vous inquiétez pas, je vais prendre la souffrance que vous allez consentir à me donner, car voici un temps où vous entendez votre cœur crier vers Dieu. Car il fallait que cela soit, parce que vous étiez si amoureux de votre volonté humaine, une volonté humaine qui a conduit tous ceux qui sont venus avant vous depuis Adam et Ève». Tout cela, Dieu veut le mettre devant nous, et il le met avec amour et il nous enveloppe, il nous enveloppe de sa tendresse afin qu’on soit tendre envers nous-mêmes. Il veut qu’on puisse regarder avec ses grâces ce que nous sommes devenus. Sans les grâces, nous ne pourrions regarder le passé, car le passé nous écraserait et cela ferait de nous encore des êtres jugeurs : on jugerait le passé, on jugerait nos grands-parents, nos arrières et arrières, on jugerait tous ceux qui, jadis, ont participé à la révolution.

 

La révolution n’est autre qu’une conséquence, la révolution n’est autre que des mauvais choix devant le Tentateur, les tentateurs : Satan et les démons. Satan et les démons ont conduit les enfants de Dieu à se nuire les uns et les autres. Ce sont les péchés, c'est le mal, ce sont les tentateurs. Tout ce qui nous nuit, c’est eux. Nous, nous ne sommes que les victimes, tout comme les enfants depuis Adam et Ève, ils ne sont que des victimes. Oui, il est vrai qu’ils ont choisi comme nous, nous avons choisi; il est vrai qu’ils ont dit : 'Oui, je mens; oui, je vais voler mon impôt, le gouvernement, avec un petit peu d’impôt; oui, je vais voler, je vais mettre un radar et là je vais diminuer ma vitesse lorsque je connaîtrai qu’il y a un radar; oui, je vais accepter la tentation afin d’aller plus vite'. Inconsciemment, nous donnons ce qui nous appartient : vérité, mouvement de vérité.

 

Nous sommes mouvement de vérité et lorsqu'un esprit menteur arrive près de nous et qu’il nous tente : 'Bah, y’en ont plus que toi, pourquoi est-ce que tu en prendrais pas un tout petit peu, c’est pas grave, ils n’en manqueront pas, eux autres'. Et voilà qu’on écoute, on écoute ce qui est à l’extérieur, et à l’instant où on écoute, ça entre en nous et ça vient prendre ce que nous sommes : vérité. Alors, un poison rentre dans notre vie et notre vérité devient leur vérité hypocrite, mensongère. Ce que nous devenons, c’est une proie pour ceux qui sont autour de nous et qui écoutent, pour ceux qui voient tout cela et qui disent : 'Bien, c’est une bonne façon d’aller là où je dois aller sans me faire prendre'. Alors, on écoute et on consent. Nous devenons donc consentants à être ce que l’autre a fait. Donc, Tentateur qui vient de prendre encore des mouvements de vie en la personne qui a servi de proie et aux autres personnes qui ont entendu et qui ont trouvé cela bon. Nous devenons donc des mouvements de vie malades, et comme nous devenons des mouvements de vie malades, tous ceux que nous avons en nous, en nous, en l’Église, en Jésus, nous les contaminons. Nous devenons une souffrance pour nous-mêmes, pour notre prochain et pour notre Dieu, notre Dieu qui regarde ses enfants, notre Dieu qui encore vit sa Passion continuellement.

 

Tout ce que nous sommes doit nous être révélé. Nous n’avons pas le droit de nous fermer aux révélations. N’oubliez pas tout ce que Jean a vu. Jean a vu tout ce qui était pour arriver et Jean a accepté, Jean a entendu. Alors, nous devons accepter, nous devons entendre afin de nous aider; nous devons être nous-mêmes un livre ouvert pour tous les enfants de Dieu; nous devons tout accepter afin qu’on puisse vivre ce que Dieu veut nous faire vivre : la purification de la chair. Dieu vient parler en notre cœur et il se sert de chacun de nous ici présent, pas plus moi que vous. Je ne suis que le micro et Dieu parle directement en votre cœur et, par la puissance du Saint-Esprit, cela sort en même temps que vous, vous l’entendez. Je n’ai pas à savoir ce que Dieu vous dit, je n’ai seulement qu’à m’exécuter comme un livre ouvert qui lit la vie : notre vie. Le livre s’écrit à la fraction de seconde que nous nous laissons entre les mains de Dieu. Ne sommes-nous pas enfants de lumière?

 

Nous avons accepté le Cœur de Marie comme notre demeure. Le Cœur de Marie a accueilli tous les enfants souffrants. Elle leur a donné des grâces comme une Mère qui couvre son enfant lorsqu’il a froid, comme une Mère qui nourrit son enfant lorsqu’il ouvre la bouche, comme une Mère qui berce son enfant lorsqu’il pleure. Notre Mère nous a portés, notre Mère nous connaît et elle veut que nous avancions ensemble afin de nous reconnaître étant aimés, aimés de son Fils, aimés de l’Amour inconditionnel. Le Cœur de Jésus, notre bien-aimé Amour, a laissé ouvert son Cœur pour nous accueillir et nous ne pouvons aller nous recueillir dans le Cœur de Jésus si nous ne passons pas par le Cœur de Marie qui nous accorde des grâces tout à fait spéciales en ces temps, afin qu’on puisse se regarder dignes d’être en le Cœur de Jésus, de disparaître en le Cœur de Jésus, ne plus être, mais être ce que Dieu le Père veut pour lui, et nous ne pouvons être que si nous mourons, car ce que nous sommes devenus ne peut être présenté à Dieu le Père, car Dieu le Père est la Pureté, est l’Éternel, est la Puissance. Nous devons donc être purs, éternels et puissants en son Fils.

 

Pour être pur, il faut donc reconnaître ce que nous sommes : 'Oui, j’ai faibli devant les tentations; oui, j’ai accepté de donner mes mouvements de vie à des tentateurs et ils s’en ont servi contre moi, contre mon prochain, pour atteindre le Cœur de Jésus; oui, j’ai accepté tout cela, mais oui, je me sais aimé de Dieu; oui, je vais me relever avec les grâces que Marie m’accorde parce que je me réfugie en son Cœur. Je me sais aimé de ma Mère inconditionnellement et j’accepte tout. J’accepte de me reconnaître malade et j’accepte que Jésus me donne tout ce qu’il me faut pour guérir. Je veux vivre ma libération. Je veux me dire être, devant mon Père, son enfant, être parfait comme lui est parfait. Oui, j’accepte de le dire. Dès aujourd’hui, j’accepte de dire : je suis parfait comme mon Père est parfait et j’y crois. Je n’accepte plus d’être le mensonge. C’est Satan et les esprits impurs qui ont mis en moi le mensonge, me faisant accroire que je n’étais pas capable de me regarder comme étant parfait, car je le suis par Jésus. Je suis la chair de la Chair Éternelle, je ne suis pas de ma mère, je viens de Dieu. Dieu a donné son souffle de vie à Adam et ce souffle de vie est en moi. Rien n’a coupé ce souffle de vie, là est la vérité. Sous mes amas de blessures, je dois me reconnaître parfait. À Dieu de me redonner ma peau neuve, à Dieu. Si, avec mes mauvais choix, j’ai fait souffrir cette peau, cette chair, eh bien, Jésus l’a réparée et j’y crois. Je crois en son Précieux Sang qui m’a inondé de la puissance du Père, car Jésus a tout reçu du Père, donc je consens à vivre en la puissance de Dieu pour me reconnaître tel que je suis.'

 

N’acceptons plus d’être aveuglés par une chair meurtrie qui a été sous les attaques de Satan et des esprits impurs. Ne l’acceptons plus. Oui, maintenant, nous pouvons maintenant croire que lorsque j’irai confesser mon péché de mensonges, il ne sera plus pour moi, car Dieu l’a effacé. Par la puissance du sacrement de l’Ordre, le prêtre, qui est le Christ-prêtre, a prononcé des paroles de guérisons, de libérations, et j’y crois. Je crois en cela et maintenant que je suis guéri, je vais continuer mon chemin, et lorsque ce péché voudra encore m’attaquer, je serai plus fort. S’il me jette encore à terre, parce que je n’ai pas vu ses ruses, eh bien, je recommencerai à me lever debout, aller là où est ma guérison, et mon âme resplendira de toute sa beauté, parce qu’elle aura reçu la grâce sanctifiante, et cela rejaillira en moi continuellement et me montrera comment Dieu m’aime, et Dieu illuminera le chemin que je dois prendre. Là je pourrai voir, là je pourrai voir que ce qui m’approche est une tentation et j’aurai le pouvoir par Dieu, parce qu’il me protège, de dire : 'Je refuse, je refuse cette tentation, car je suis ton enfant'.

 

Tout cela est pour nous. Nous devons utiliser ce que Dieu a mis en nous : cette liberté, cette puissance qui est en nous. 'Je refuse' nous donne le pouvoir de fermer les portes à ce qui est extérieur et Satan et les esprits impurs ne peuvent rien contre nous. Ils ne peuvent pas nous forcer parce que nous venons de prononcer ce que Jésus lui-même a prononcé lorsqu’il était dans le désert et que Satan lui a présenté un pain. Il lui a dit : «L’homme ne vit pas que de pain» et il disait, notre Jésus d’amour, ce que nous, nous devions dire : je refuse. Et tout cela fait partie de notre vie. Nous devons utiliser ce qui est en nous. Satan et les esprits impurs ne peuvent pas, ne peuvent pas pénétrer. Ils ne peuvent pas nous utiliser.

 

Maintenant, nous devons faire ce que Dieu nous demande en ces temps : 'Je refuse. Jésus, tu as amené à ta Croix tout péché, eh bien, merci Jésus d’envoyer cette tentation au pied de ta Croix'. Nous vivons la vérité. Nous devons prononcer ces paroles, car à l’instant où nous disons : merci Jésus d’envoyer cette tentation au pied de ta Croix, la tentation n’est autre qu’un esprit impur et Jésus l’envoie au pied de sa Croix. Nous, nous ne pouvons pas envoyer au pied de la Croix un esprit impur, ce n’est pas nous le Rédempteur, ce n’est pas nous le Fils de Dieu fait Homme et ce n’est pas nous qui avons refusé ce qui devait être maintenant refusé. La première fois, c’est Satan qui a été devant le premier refus de Jésus, de notre Sauveur, notre Rédempteur. Parce que Jésus a prononcé ce refus, nous, nous devons le prononcer; mais pour qu’il soit prononcé par l’enfant de Dieu, il faut que notre âme soit dans la pureté.

 

Comment pouvons-nous croire que le refus a une puissance? Nous ne pourrons pas croire en cela, pourquoi? Parce que nous sortons ce que nous sommes. Comme nous sommes en état de péché, eh bien, on ne peut être ce que nous sommes : la puissance de Dieu, nous venons de commettre un péché et nous le gardons pour nous. Nous ne croyons même pas en la puissance du sacrement de la Pénitence. Comment pouvons-nous croire en ce que nous disons? Satan va se moquer encore : 'Tu n'es qu’une menteuse, tu n’es qu’un menteur, tu refuses? Eh bien, je vais te montrer que tu ne croies même pas en ce que tu dis'. Mais lorsque nous sommes en état de grâce, aussi fragiles que nous sommes, aussi pécheurs en notre chair, là ils ne pourront pas nous approcher pour voler nos mouvements de vie, parce que l’âme sera pure. Il y aura en nous une lumière si puissante que ça sortira de nous. Le refus dit par un enfant de Dieu qui a foi au sacrement de la Pénitence est un refus vrai, est un refus qui vient de nos entrailles.

 

Nous voulons nous utiliser de nos droits d’enfants de Dieu. Nous reconnaissons que nous sommes aimés de Dieu, puisque nous avons accepté son pardon. Nous savons qu’il nous aime, alors nous utilisons ce droit que nous avons en nous. Cela est si puissant! Nous devons le faire et nous devons aller là où Jésus nous conduit : il nous conduit sur le chemin de la lumière. "Merci Jésus d’envoyer ce Tentateur au pied de la Croix", il est obligé d’écouter Jésus. Si nous ne demandons pas cela à Jésus de l’envoyer au pied de la Croix, parce que lorsqu’on dit : merci Jésus d’envoyer cet esprit au pied de la Croix, c’est parce que nous l’avons demandé; alors, Jésus écoute l’enfant que nous sommes et il envoie l’esprit impur au pied de la Croix, là où il ne peut plus maintenant aller attaquer les enfants de Dieu. Là, il ne peut plus aller attaquer les enfants de Dieu une fois qu’il est au pied de la Croix, il y reste, et c’est jusqu’au moment où Dieu le Père les libérera à nouveau. Mais ça, c’est un autre moment et Dieu le Père connaît ce moment.

 

Ce que nous devons comprendre, c’est que Jésus veut tous les esprits impurs qui ont attaqué les enfants de Dieu depuis Adam jusqu’au dernier qui porte la souffrance en sa chair. Il les veut tous au pied de sa Croix. Eux qui ont voulu attaquer les enfants de Dieu pour atteindre notre adorable Jésus fait Homme, eh bien, Dieu se sert des enfants, les mêmes qu’ils ont attaqués, pour envoyer les esprits impurs au pied de sa Croix. Telle est la puissance de Dieu qu'il a déposée en nous : son souffle de vie. Tout cela est pour nous. Cela nous est révélé : aux petits, aux tout-petits, nous qui ne connaissons pas la théologie. Nous, bien, pour la plupart, je ne peux pas répondre pour tout le monde, bien, la plupart ne connaissent pas la grande théologie.

 

On a de la difficulté à comprendre la Bible, on a de la difficulté à comprendre l’Ancien Testament, qu’il y eut de la guerre, de la guerre, de la guerre et de la guerre. Comment pouvons-nous répéter des mots ainsi si ce n’est que Dieu vient lui-même révéler à chacun de nous ce qu’il veut pour nous dans le but de guérir? Lorsque nous refusons, lorsque nous disons : merci Jésus d’envoyer le mal au pied de ta Croix, il se passe quelque chose en nous : de la guérison. Jésus veut refaire ce que nous, nous avons fait. Nous, ce que nous avons fait, eh bien, inconsciemment, innocemment, nous avons laissé nos mouvements de vie entre les mains de Satan et des esprits impurs, mais là, maintenant, Jésus, lui, il refait : «Reprends ton mouvement de vie, car je mets en toi ce que tu as besoin pour te reconnaître enfant de Dieu, aimé inconditionnellement par Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint-Esprit. Prie par Maman Marie, regarde-toi et crois.» À cet instant, il y a le mouvement de vie qui guérit. Ce que Satan, l'esprit impur du mensonge, a voulu attaquer – le mouvement de vie qui était contaminé par le mensonge, il voulait s'en servir, encore s'en servir pour l'accabler encore – eh bien, là, il devient plus fort, il reçoit une guérison, une guérison! Ça ne veut pas dire que nous ne serons pas encore dans la connaissance du mensonge! Nous aurons encore cette connaissance, pourquoi? Parce que nous portons, à l'intérieur de nous, toutes les chairs assujetties au péché.

 

On ne peut pas se séparer de notre adorable Jésus, la Vie Éternelle, il porte tous les enfants du monde. Parce qu'il porte tous les enfants du monde, eh bien, nous, nous sommes avec tous les enfants du monde. L'Église est ainsi. Nous ne pouvons pas nous séparer des uns et des autres. Dieu est amour. Il veut qu'on avance ensemble. Il veut nous purifier, mais nous, nous recevons une guérison dans notre mouvement malade, mais eux, qu'est-ce qui arrive à ceux qui sont en nous? Est-ce qu'ils vont eux-mêmes vivre ce mouvement de guérison? Dieu dit : «Il faut qu'ils vivent leur purification. Il faut qu'ils se reconnaissent être aimés inconditionnellement par mon Père, par moi, par le Saint-Esprit, par Marie. Ne leur enlevez pas la grâce de se voir aimés inconditionnellement malgré leur refus devant la Trinité, la Sainte Trinité, parce que Marie a été associée à la Sainte Trinité.» Dieu veut donner à chacun de nous les fruits de son labeur. Alors, ce que Dieu veut nous faire comprendre, c'est que lorsque nous refusons, lorsque nous disons : merci d'envoyer l'esprit impur au pied de ta Croix, merci pour les mouvements de vie que tu guéris, eh bien, ils obtiennent des grâces. Nous, notre mouvement de vie malade reçoit des guérisons, mais eux reçoivent des forces afin qu'ils puissent se reconnaître être, eux autres aussi, menteurs. Il a bien fallu qu'on se reconnaisse menteurs, même si on fait des petits péchés et même si on ne fait plus de mensonges. Dieu va dire : «Portez, portez la Croix.»

 

Il va falloir porter la croix, une croix d'amour. Ce ne sera plus une croix, pour nous, lourde, parce que plus nous allons dire ces paroles et plus la croix deviendra une croix qui sera amour, forte pour ce qu'elle est. Qu'est-ce que tu veux dire, Seigneur : forte pour ce qu'elle est? Tout ce que nous accepterons de prendre sur nos épaules, qui fera notre croix par amour pour nos frères et nos sœurs du monde entier, cette croix deviendra pour nous une croix lumineuse, une croix qui éclairera la vie de tous ceux qui sont dans les ténèbres et cela, Jésus le fait parce que nous vivons en lui. Nous consentons de ne plus être, mais être en Jésus, disparaître pour mieux paraître devant nos frères et nos sœurs, comme Dieu veut pour chacun de nous, pour nous, pour notre prochain, pour la plus grande Gloire de Dieu le Père.

 

En ce moment même, vous êtes, tout comme moi, dans le mouvement de la guérison. Nous n'avons pas à retenir tout cela, Maman Marie nous berce. Elle nous amène dans le Cœur de son Fils afin que nous puissions vivre ce présent, un présent en Jésus, en l'Église. Nous recevons des guérisons et ceux qui sont en nous reçoivent des grâces, des grâces afin qu'ils puissent, un jour, entendre ce que nous entendons, et parce qu'ils auront reçu des grâces, ils vont comprendre plus vite que nous en ce moment. Telle est la beauté de la purification. Lorsque Jésus a dit qu'il y aurait des ouvriers et que les premiers auront le même salaire que les derniers, eh bien, cela est toujours. C'est pour notre temps comme cela était pour leur temps. Les apôtres ont été les premiers, et croyez-vous que Jean-Paul II n'a pas été récompensé comme Pierre? Croyez-vous que Padre Pio n'a pas été récompensé comme saint Paul? Nous sommes les sujets du Royaume de Dieu. Nous appartenons à notre Dieu, un seul Dieu. Alors, il a regard sur chacun de nous, et lorsqu'il nous regarde il ne voit qu'un enfant, car c'est comme si notre regard était le regard de chacun de nous, que notre écoute était l'écoute pour chacun de nous.

 

Dieu aime regarder qui il est. Ne sommes-nous pas faits à la ressemblance du Fils de Dieu? Alors, sous le regard de Dieu le Père, nous sommes son enfant et il nous aime. Il nous apprend à accueillir son amour inconditionnel, afin que nous puissions nous laisser plonger dans les grâces qu'il a tout accordées à Maman Marie, pour que nous on ait tout ce qu'il nous faut pour avancer. Maman Marie est la dispensatrice de toutes grâces et elle sait très bien les distribuer ces grâces. Mais le Ciel veut qu'on la remercie. Voilà pourquoi Jésus nous demande : «Dites, après avoir reçu une guérison dans votre mouvement de vie malade, merci, Marie de nous combler de grâces» afin qu'on puisse continuer, persévérer. Nous aurons besoin de beaucoup de grâces car lorsque, nous, on aura une attaque en sortant d'ici, eh bien, nous devrons refuser, et nous allons être dans la joie, pour nous-mêmes et pour ceux qu'on porte, de dire : "Merci, Jésus, de l'envoyer au pied de ta Croix, en voilà un de moins!" Alors là, on dira merci de guérir nos mouvements de vie malades.

 

Là, il y aura quelque chose qui se réveillera en nous et qui était endormi parce que Satan l'avait utilisé. Ça reprendra sa puissance ce p'tit mouvement-là, et là, on remerciera Marie : "Marie, merci, tu me combles de grâces. J'en ai besoin parce qu'il va y en avoir sept autres qui s'en viennent, Maman Marie!" Parce qu'il est dit dans l'Évangile nous avons été enseignés par la Parole, il n'y a pas deux Évangiles c'est comme si Dieu nous rappelait : «Mes enfants, avez-vous oublié ce que je vous ai dit lorsque j'étais sur la terre? Laissez-moi vous rappeler : 'lorsqu'un démon ne pourra pas vous attaquer, sept autres viendront. Et lorsque cela ne suffira pas, une légion viendra'.» Voilà pourquoi nous devons demander à Marie de nous combler de grâces. Mais comme Maman Marie nous écoute, eh bien, disons merci, elle n'attend que ça. Maman Marie, elle a tellement de grâces à nous donner que si elle n'était pas Maman Marie, eh bien, on ne la verrait pas sous la grâce tant elle disparaîtrait devant tout qu'elle veut nous donner. Alors, disons à Maman Marie : "Merci, Maman Marie, pour les grâces", il est essentiel à ce que nous puissions vivre ces mouvements.

 

Il nous a donné, depuis sept ans, à moi et à tous les cœurs qui sont venus entendre, des leçons d'amour. Il a réuni depuis sept ans des personnes comme vous, et plusieurs ont entendu. Ils sont devenus des filles du oui, des fils du oui et nous avons pénétré ce oui qui est à Jésus ce oui, pas à nous nous avons pénétré, et cela nous a fait connaître notre oui. Et là, nous avons entendu toute l'hypocrisie de Satan face à ce que nous sommes mais, au même moment, Dieu nous a raconté tellement d'histoires pour nous faire comprendre. Dieu nous a amenés à nous laisser bercer par lui. Nous avons été comblés. Dieu le Père lui-même est venu parler en notre cœur parce que Dieu le Père peut nous parler en notre cœur puisque nous avons son Fils. Où est le Fils, il y a le Père; où il y a le Père, il y a le Saint-Esprit et le Fils. Alors, nous avons eu, directement du Ciel, des enseignements et Jésus, (il n'y a plus de batterie qui fonctionne, mais ce n'est pas grave, nous avons les DVD), Jésus a demandé à tout ce qui a été dit de les mettre sur des enregistreuses pour que cela soit écrit. Et cela a été fidèle, fidèle en tout à ce que Jésus nous a donné.

 

Eh bien, Jésus, il a dit, au début de 2009 : «Mes enfants, votre purification de la chair, vous la ferez à travers mes enseignements, car je vais vous aider. Je vais vous montrer ce que vous devrez vivre. Ne vous inquiétez pas, vous aurez des guérisons. Vous me donnerez causes, choix et conséquences. Vous refuserez les attaques car vous reconnaîtrez que cela est une attaque, car je vous maintiendrai dans la paix, dans la joie et dans l'amour. Vous vous nourrirez de ma Parole qui est l'Évangile car, là, des lumières se feront en vous et vous saisirez ce que vous n'avez jamais pu comprendre et voir. Vous serez des enfants qui tendront la main à ceux qui s'approcheront, car il y aura des enfants qui s'approcheront tranquillement car ils souffriront, ils souffriront à cause de ce monde. Il y aura dépressions, découragements, si bien qu'on voudra se suicider. Il y aura de grandes souffrances, car beaucoup perdront, et ils verront que leur bonheur qu'ils se sont, par leurs choix, construit s'est écroulé. Alors, allez vers eux avec ce que je vous enseigne. Vous parlerez en ma Volonté et non plus en votre volonté. Ils reconnaîtront que ce que vous dites ne vient pas de votre volonté humaine, mais d'une Volonté d'amour, d'une Volonté qui est celle de Celui qui aime inconditionnellement.»

 

Et cela est pour nous en ce moment même. Jésus dit : «Qu'aucun de nous ne vivra la purification de la chair sans passer par tous les cœurs des enfants de Dieu, car vous devrez connaître votre misère. Vous devrez connaître votre espérance. Vous devrez connaître votre foi et votre charité, car vous serez la parole en la Parole et tous sauront qu'il n'y a qu'un seul Dieu. Et lorsque cela sera, c'est que cela sera accompli.» Nous serons tous enfants de la Divine Volonté. Aucune volonté humaine ne sera en les enfants du oui à l'Amour. "Oui, Jésus, tout pour toi. Ce que tu m'as donné, je l'ai mangé et ce qui a entré en moi m'a réveillé et m'a démontré que j'avais besoin, j'avais besoin de voir, j'avais besoin de comprendre pour accepter que j'étais aimé de toi. Tout cela, ô Dieu d'amour, tu l'as voulu pour tous tes enfants et ce que nous sommes, nous le sommes pour l'amour du Père." Là viendra un autre temps. Ce temps, nous le vivrons ensemble. Il y aura une force entre nous, une très grande force, car il y aura des enfants du non parmi nous, pour un court, court temps.

 

Mais Dieu dit : «Cela est suffisant pour l'instant.» Merci, Seigneur. Alors, nous avons reçu de chacun de nous, aujourd'hui, ce que Dieu seul voulait pour nous. Pas vous, moi, vous, vous, mais chacun de nous. Nous avons été entre les mains de la Divine Volonté.

 

Alors, on va se lever parce qu'on a besoin de se lever, et on va faire un chant à Celle qui a préparé nos cœurs à s'ouvrir à ce que nous avons entendu.

 

♪♪♪   Chant à Marie