Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Rochester, New York,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus.

 

2006-04-24

 

Jésus : Enfants de ma sainte Présence, Dieu a été en chacun de vous pour vous demander d’être ici présents.

L’appel de Dieu est un mouvement d’amour, l’appel de Dieu est un mouvement de paix, il amène ses enfants à l’abandon : obéissance à Dieu le Père.

Lorsque vous avez prononcé votre oui à l’Amour : “Oui, Jésus, je veux faire ta Volonté parce que tu as fait la Volonté de ton Père”, mes enfants, cela est un oui; vous apprenez à découvrir l’obéissance, vous apprenez à vous abandonner entre les mains de Dieu.

Dieu est en votre présence et vous, vous êtes en la présence de Dieu; c’est Dieu lui-même qui vous met en présence de Dieu et non vous; tout vient de Dieu; votre oui a été en vous par Dieu.

Au moment où Dieu le Père promit le Sauveur, un oui est entré en la création de Dieu; la création de Dieu reconnaissait la Volonté de Dieu, et les créatures de Dieu devaient reconnaître le oui qui (avait) été déposé en eux.

La création de Dieu a toujours été fidèle à Dieu, elle a toujours obéi à Dieu; les créatures de Dieu devaient être toujours fidèles à Dieu, toujours obéir à Dieu, afin que ce oui soit toujours présent dans leur vie.

La volonté humaine a étouffé ce oui, elle a fait connaître un non à Dieu; la volonté humaine a voulu être maîtresse des créatures de Dieu, car l’esprit de l’homme n’est pas l’Esprit de Dieu; l’esprit de l’homme est inférieur à Dieu, il doit accepter d’être nourri de l’Esprit de Dieu afin de connaître les desseins de Dieu.

L’homme, d’année en année, a pris comme acquis que son esprit était ce qui le guidait dans sa vie, et le oui qui était en l’homme a été étouffé par l’homme; cela a été de génération en génération, faisant souffrir les enfants de Dieu.

Le oui est une source de vie : il alimente les enfants de Dieu, il fait pénétrer en eux la douceur des paroles de Dieu, il fait découvrir que Dieu est tout pour eux; le oui est en vous.

Comment reconnaître que vous êtes un oui à Dieu, un oui à l’Amour? En étant fidèles à ce que Dieu attend de vous, en étant obéissants en tout à ce que Dieu demande, en ne voulant que faire la Volonté de Dieu pour l’amour de Dieu.

Ne pas regarder ce que l’être est, mais regarder ce que Dieu est; ne pas comparer les êtres de Dieu, mais aimer qui ils sont : reconnaître qu’ils sont des oui à Dieu.

Tout cela, l’homme est incapable de regarder le oui qui est en lui; il souffre et il crie vers Dieu : “Où es-tu, Dieu? Pourquoi ne me parles-tu pas? Pourquoi ne te montres-tu pas?” Il crie sa douleur qui est à l’intérieur de lui : “Je ne puis prononcer mon oui, je ne sais comment prononcer mon oui”; c’est parce qu’il a écouté sa volonté; il n’a pas appris à être ce qu’il est vraiment : l’enfant de Dieu, l’amour de Dieu : le oui de Dieu qui se donne continuellement à l’enfant, le oui qui est en tous les enfants de Dieu, c’est sa présence, c’est l’obéissance, c’est le verbe : c’est tout faire pour aller vers Dieu le Père.

À l’instant où Dieu promit à Adam et Ève de leur donner un Sauveur, Dieu a déposé en Adam et Ève le oui à Jésus, et ce oui a été nourri par le Oui de Jésus.

Seul le Fils de Dieu pouvait prononcer le oui, car il était le Fiat, le Sauveur, le Promis, le Fils de Dieu qui acceptait d’être pour nous un oui à son Père; alors que le Fils de Dieu était en le Père et que le Père était en le Fils, il n’avait rien à prouver à son Père, car il était, il est et il sera.

Dieu le Père est le Tout et le Fils est en le Tout du Père; le Tout ne peut se séparer de ce qu’il est, il se complaît en lui-même, il est le Tout de tout en le Tout; le Fils obéis(sait) à son Père en nourrissant le oui qui était déposé en nous; il nourrissait ce oui de son oui à son Père : «Oui, Père, ta Volonté, que ta Volonté

D’année en année, le oui a été protégé, car le Fils enveloppait le oui qui était en les enfants de Dieu; Dieu le Fils obéissait en tout, car il était l’Obéissance; le oui ne pouvait être qu’un oui d’amour : ne pas forcer, mais être; ne pas contrôler, mais être; ne pas faire, mais être.

Voilà pourquoi les enfants de Dieu ont été libres, libres de vivre dans ce qu’ils étaient, et Jésus prenait soin du oui.

Jésus, le Fils de Dieu, a alimenté le oui des enfants obéissants, le oui des enfants qui gardaient leur espérance en le Sauveur, le oui qui voulait faire la Volonté de Dieu; malgré les refus à Dieu, malgré les infidélités à Dieu, malgré leur orgueil face à ce qu’ils étaient, Jésus acceptait tout; il passait à travers les années en acceptant d’être toujours présent, car il aimait sans condition : il était le Oui.

Enfants d’amour, lorsque vous avancez dans votre vie, comprenez-vous que c’est le Fils qui vous fait avancer? C’est le Sauveur qui vous montre que vous êtes sauvés, que c’est l’Être suprême qui vous montre que vous êtes enfants de Dieu.

Dieu vous montre que vous êtes (tout) de lui; il vous prend dans vos faiblesses et il vous soutient, car il connaît le oui qui sera prononcé; et le oui qui sera rejeté, il le porte en lui, car il ne (peut) ne pas être présent pour prendre soin du oui; il le fait pour les enfants qui doivent prononcer le oui, car le oui a été déposé en tous les enfants par Dieu.

Le Fils a devoir de prendre soin de ce qui est de Dieu; Dieu le Père a donné tout au Fils et il prend soin de ce que Dieu le Père a donné au Fils.

Vous, mes enfants d’amour, lorsque vous avez des enfants, vous les aimez, vous voulez tout pour eux; même si l’un de vos enfants vous rejette, ne veut plus de vous, vous allez continuer à l’aimer, vous allez continuer à prier pour lui, vous allez vous donner pour lui, parce que vous êtes amour.

Il y a une partie de vous qui est en lui et lui, une partie de lui est en vous; on ne se sépare pas de la chair de la Chair; combien plus Dieu ne se sépare pas de ce qu’il a mis en l’enfant, il le fait avec tant d’amour, tant de respect, de gratuité; il ne force pas l’enfant à aimer qui il est, il en prend soin, il le nourrit, il l’enveloppe de sa protection; même si l’enfant rejette Dieu, Dieu l’aime.

Voilà pourquoi le Fils de Dieu a donné sa Vie pour tous les enfants de son Père, voilà pourquoi le Fils de Dieu a pleuré sur Judas, voilà pourquoi la Mère de Dieu le Fils a pleuré sur Judas; la prière de Marie était pure, remplie de confiance en Dieu.

Judas a choisi; il avait le oui en lui, mais le non a fait de lui un être de refus : “Je ne veux pas de la grâce de Dieu, je ne veux pas du Oui de Jésus,” car il avait nourri ce non avec sa souffrance, souffrance qui l’a conduit à connaître la mort éternelle.

Enfants d’amour, je parle en vos cœurs afin que vous puissiez obtenir pour vos frères et vos sœurs de la nourriture qui vient du Oui de Jésus; vous avez en vous le oui enveloppé de Jésus, le oui qui est protégé par le Fiat de Marie : ce trésor est en vous.

Lorsque vous prenez soin de votre propre oui en obéissant en tout à ce que Dieu vous a demandé, votre oui devient une nourriture pour les oui de ceux que vous aimez, car Jésus passe par votre consentement pour nourrir les oui qui sont en ceux que vous aimez, et cela, depuis le premier oui qui a été (en) Adam et Ève, car les oui, mes enfants, ont été dans le Oui de Jésus, et tous ces oui, mes enfants, sont devenus pour vous une nourriture; ils ont été là pour vous afin que vous puissiez prononcer votre oui.

Comment auriez-vous pu prononcer votre oui, vous, enfants si blessés à cause du péché? Vous portez, mes enfants, (en) votre chair la conséquence du péché; en vous, il y a toutes les marques qui ont blessé votre chair à cause de tous les péchés; sans les oui qui ont été prononcés, vous n’auriez pu prononcer votre oui.

La nourriture de Dieu, mes enfants, est une nourriture pour vous; c’est Jésus qui a pris soin de tous les oui, car il est le oui à Dieu le Père.

Enfants de ma sainte Volonté, apprenez à découvrir la profondeur de ce qui est en vous; vous êtes en présence de la Volonté de mon Père; mon Père a mis en vous tout ce qui vous était nécessaire afin que vous puissiez vivre ces temps de grâces.

Ce temps est un temps d’amour, ce temps est un temps de grâces qui vous est dévoilé; tous les enfants choisis sont en chacun de vous et vous, vous êtes en eux : l’amour de Dieu appelle l’amour de Dieu.

Aujourd’hui, si vous êtes amour, c’est parce que c’est l’Amour lui-même qui vous a nourris de son amour; alors, lorsque vous vous considérez comme des êtes d’amour, ceux qui sont en vous reçoivent ce que vous vous reconnaissez être.

Un voile s’ouvre devant vos yeux : reconnaître que vous n’avez rien fait, mais reconnaître que Jésus a tout fait; reconnaître que vous avez un oui en vous et reconnaître que ce oui n’a pu être en vous que par la Volonté de Dieu; reconnaître que le Fils est le seul Oui de la terre.

Seul le Fils pouvait prononcer le oui; aucun être humain ne peut prononcer le oui.

Enfants d’amour, écoutez la voix du oui à l’Amour.

 

Maman Marie : Je suis la Mère de l’Amour; en moi, il y a tant d’amour, mes enfants; la pureté est l’amour, la pureté est le oui : l’Immaculée est le oui à Dieu.

Voyez-vous, mes enfants, je suis le Fiat de Dieu; il a fait de moi un oui d’amour pour accueillir le oui qui devait être prononcé en présence de chacun de vous; tout a été de Dieu et tout sera de Dieu.

Comprenez l’importance, mes enfants, d’être en présence de votre oui; cela vous fait découvrir que tout est de Dieu et que rien n’est de vous-mêmes.

Petits êtres humains, soyez humbles et petits devant la puissance de Dieu; moi qui me disais être un vermisseau, il m’avait été donné de connaître ma place parmi tous les enfants de Dieu; pour cela, mes enfants, il fallait que je connaisse ce que j’étais face à Dieu.

Comment ne pouvais-je pas me reconnaître petite devant la puissance de Dieu, devant l’amour de Dieu pour ce que j’étais? Moi, une humaine, j’étais en face de la puissance de Dieu; Dieu faisait de moi un être d’amour, un être qui aimait sans condition, qui était nourri de la Divine Volonté.

Tout mon être ressentait l’amour de Dieu, la pureté de Dieu; la lumière était un rayon d’amour qui pénétrait tout mon être; le oui me fut présenté, le oui me fut connu : il me nourrissait, il était en présence de ce que j’étais, moi, une humaine.

Ma joie était si grande, mes enfants, et plus ma joie était grande, mes enfants, et plus je reconnaissais être petite devant tant de joie; je m’inclinais sans cesse devant la Volonté de Dieu. Moi, être devant la Volonté de Dieu, être nourrie de la Volonté de Dieu, fit de moi la Mère de Dieu le Fils, car je recevais en mon sein la Volonté de Dieu.

Comprenez-vous, mes enfants, que le Oui de Dieu a fait de moi un oui? Lorsque je sentis en moi le oui qui a été le seul oui à Dieu le Père, mon oui s’inclina devant ce Oui; il adorait et il remerciait; il remerciait le Oui du Fils parce que je savais, mes enfants, l’impact de ce oui, la grandeur de ce oui et le don de ce oui.

Mon oui s’inclina dans un abandon total devant ce qu’il devait être pour vous : un oui qui prend tout, qui accepte tout par amour pour vous sauver, afin que votre oui soit un oui d’amour à Dieu; tout cela, mes enfants, vous a préparés à être en présence de votre oui avec votre volonté.

Soyez dans la lumière de Dieu, reconnaissez-vous comme étant choisis en ces temps de grâces; la chair va reconnaître le Oui du Fils, la chair devra se réjouir pour le Oui du Fils; il est de vous, mes enfants, de vous y préparer avec amour, de vivre cela en étant humbles et obéissants.

Moi le Fiat, moi l’amour sans condition, moi la Mère du Oui, je vous demande, mes enfants, d’être toujours fidèles à ce que mon Fils vous a enseigné.

N’écoutez pas, mes enfants, la souffrance de ce monde; la souffrance de ce monde, mes enfants, est déguisée; elle porte la trace de l’orgueil, de l’hypocrisie, de la violence, de la concupiscence; mes enfants, elle est enveloppée de la désobéissance à Dieu le Père; soyez humbles et petits, vous reconnaîtrez les tromperies.

Vous voyez autour de vous, mes enfants, la déchéance de l’Église; tout cela est causé par la souffrance; on ne veut plus l’obéissance, on ne veut faire que la volonté de l’homme; la Volonté de Dieu est mise de côté; tout cela, mes enfants, est en votre présence; faites attention, mes enfants, tout cela fait partie de votre vie.

Vous voyez dans votre foyer la désobéissance; lorsque, mes enfants, vous portez un regard sur la souffrance de vos frères et de vos sœurs et que vous portez des jugements, vous manquez à l’amour de Dieu; qu’un seul jugement (soit) prononcé en votre vie, vous le prononcez à mon Fils : ce jugement est fait contre Dieu.

Vous devez reconnaître les pièges de Satan; l’Église souffre à cause de vos paroles; l’Église est mon Fils, c’est lui le Oui, mes enfants; c’est lui qui fait la Volonté de Dieu le Père.

Il faut vous soutenir les uns et les autres; qu’un d’entre vous soit dans la désobéissance, vous devez prier pour cet être blessé, vous devez le donner à Jésus, c’est lui le Oui à Dieu le Père, c’est lui qui veut l’envelopper de son amour, c’est lui qui veut guérir, libérer; vous ne pouvez pas faire cela, mes enfants, mais vous pouvez le donner.

Aimez-vous les uns et les autres, soyez fidèles aux commandements de Dieu; aimer Dieu de tout son cœur, de tout son esprit, de toute son âme, de toutes ses forces, c’est aimer Dieu.

Dieu est Dieu : il est la Puissance, il est l’Amour, il est la Lumière, il est la Pureté; tout cela, mes enfants, est connu de vous.

Voyez-vous, mes enfants, en vous, il y a un oui et ce oui a été déposé par Dieu; parce que Dieu est amour, il a déposé le oui; parce qu’il aime qui il est, Dieu aime ce qu’il est; alors, mes enfants, lorsque vous parlez contre l’un de vos frères et de vos sœurs, vous parlez contre l’amour de Dieu, vous parlez contre ce qu’il a mis en l’enfant.

Enfants d’amour, que ce soit une parole qui blesse votre prochain, démontrant qu’il est un être mauvais, démontrant qu’il est dans une désobéissance, voulant vous démontrer qu’il doit bien se conduire, ces paroles, mes enfants, démontrent à ceux qui écoutent que vous portez en vous de la souffrance et que cette souffrance est projetée à l’extérieur pour atteindre votre prochain; les paroles, mes enfants, peuvent guérir, elles peuvent aussi faire souffrir.

Les paroles, mes enfants, ne savez-vous pas qu’elles sortent de votre intérieur? Comment voulez-vous, mes enfants, que votre intérieur guérisse? Au lieu de donner à mon Fils vos paroles, vous les donnez à votre prochain, vous les faites entendre à votre prochain; eux ne peuvent pas vous guérir, eux reçoivent ces paroles; bien souvent, ils les font entrer en eux et cela les fait souffrir, car ce qu’ils viennent de recevoir : ce ne sont pas des paroles guérissantes.

Elles sont venues de vous parce que vous êtes dans la souffrance, et eux ont laissé pénétrer en eux des paroles de souffrance et elles se logent à l’intérieur de ceux qui écoutent; les paroles qui sont en vous et qui portent à la souffrance doivent être données qu’à mon Fils.

Petits enfants, apprenez à retenir vos paroles qui ne démontrent pas l’amour inconditionnel, et prononcez votre oui à Jésus en lui donnant ces paroles.

Vous consentez à dire : “Oui, Jésus, elles sont à toi; c’est toi, Jésus, qui es venu prononcer ton oui pour faire la Volonté de Dieu le Père;” mon Fils va prendre vos paroles et il va vous donner de la nourriture; cette nourriture sera de la paix pour vous, elle guérira ce qui vous a fait souffrir; vous ressentirez de la joie, mes enfants.

Enfants de la Volonté de mon Fils, vous recevez des paroles qui vous nourrissent en ce moment même; ces paroles viennent de la Volonté de Dieu.

Moi, la Mère de Dieu, j’obéis à Dieu; je parle parce que Dieu le veut; j’obéis en tout à Dieu et parce que j’obéis à Dieu, ces paroles vous donnent des grâces parce qu’elles sont enveloppées du oui, du oui à l’Amour; voyez-vous, mes paroles sont pour vous des grâces; elles vous apprennent à être des enfants obéissants en tout à la Volonté de Dieu.

Faites attention, mes enfants, à vos paroles, elles portent tant de souffrances; apprenez à garder le silence et à prononcer dans ce silence le oui à mon Fils.

Mes enfants, vos enfants ont besoin d’être nourris de leur intérieur; à quoi (servent) vos paroles, mes enfants, si elles ne sont pas de Dieu? Tout ce qu’ils reçoivent, c’est la souffrance.

Mon Fils veut tous les enfants de Dieu; il connaît tous les oui; bientôt, ils devront prononcer ce oui et ce oui doit être prononcé avec ce qu’ils sont; comprenez, mes enfants, que plus ils connaîtront la paix, plus leur joie sera grande pour prononcer ce oui.

Pensez, mes enfants, comme c’est souffrant de voir la Volonté de Dieu et être dans la souffrance qui est en votre chair; tout leur être, mes enfants, connaît la souffrance à cause des paroles, des pensées, des actions, des sentiments qui n’étaient pas amour; toutes ces souffrances sont en eux et c’est avec cela qu’ils devront prononcer leur oui; ils connaîtront la honte; cela les fera tellement souffrir.

Je vous demande, mes petits enfants, d’aider mes petits enfants en les aimant, en les acceptant avec leurs souffrances et en donnant à mon Fils leurs souffrances; si vous ne connaissez pas leurs souffrances, mes enfants, alors, prononcez votre oui à Jésus : “Oui, Jésus, je te donne mes enfants; oui, Jésus, je te donne leurs souffrances; oui, Jésus, tu en connais la cause; oui, Jésus, tu en connais les conséquences.”

Voyez-vous, mes enfants, la Volonté de Dieu a mis en vous des paroles d’amour, des paroles qui sont simples; ne compliquez pas votre vie, c’est l’orgueil humain qui a compliqué votre vie, c’est la désobéissance qui vous a fait connaître des chemins tortueux; soyez petits devant la Volonté de Dieu, prononcez des paroles qui (viennent) de votre cœur, un cœur qui aime sans condition.

Enfants d’amour, la Mère de Dieu va vous donner des grâces d’obéissance; l’obéissance est venue à vous afin que vous puissiez voir l’agir de la Mère de Dieu.

Le Fils est en le Père et le Père est en le Fils; il a donné à ce monde la présence même du Fils afin que vous soyez tous obéissants comme le Fils a été obéissant.

Mes enfants d’amour, l’Église est obéissante lorsqu’elle se reconnaît être en le Christ : être en le Christ, c’est vivre le Christ, c’est vivre le Oui à Dieu; venez envelopper votre oui des grâces d’obéissance.

Mes enfants d’amour, soyez humbles et petits devant la bénédiction fait(e) par mon fils; mon fils est en l’Église et l’Église est en mon fils, et l’Église est présente aujourd’hui. Amen, mes enfants.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Par obéissance à la Mère de Dieu, nous devons obéir à son prêtre, lui est le représentant du Fils de Dieu ici présent. Alors, nous allons demander à l’Obéissance d’être en présence de chacun de nous; reconnaître que le prêtre est le Christ, c’est accepter le Oui de Jésus comme étant notre propre nourriture. Est-ce que vous le voulez bien, mon Père?

 

(Bénédiction par le prêtre.)

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : La voix que Dieu prend pour nous parler, elle nous appartient, elle est à chacun de nous; si Dieu veut parler à l’intérieur de nous, c’est qu’il nous sait prêts à écouter sa Volonté; la Volonté de Dieu a été en nous afin que nous puissions la connaître.

Dieu a toujours voulu nous montrer sa Volonté, il a toujours voulu nous faire connaître sa Volonté; notre cœur s’est souvent fermé à la demande de Dieu, à la Volonté de Dieu; nous avons voulu souvent faire ce qui nous plaisait, mais toujours en voulant faire la Volonté de Dieu.

Mais lorsqu’on veut plaire à Dieu en voulant nous plaire, c’est comme s’il y (avait) comme deux façons de voir la Volonté de Dieu : ma volonté qui se mélange à la Volonté de Dieu.

Ma volonté est impure, ma volonté s’est laissé prendre par les pièges de Satan; lorsque ma volonté veut faire la Volonté de Dieu, elle pousse la Volonté de Dieu, parce que la Volonté de Dieu est pure, la Volonté de Dieu est immaculée.

Comment peut-elle accepter l’impureté? Alors, Dieu dans son amour nous protège; alors, il s’éloigne pour nous donner un temps de réflexion à ce que nous, nous voulons faire, le temps de comprendre que Dieu veut de nous l’obéissance : c’est notre vie.

Quelquefois, on vient au monde et, dès le jeune âge, on vient de comprendre : on vient de comprendre que nous devons être obéissants en tout à Dieu, ne pas se faire plaisir, mais être en la joie de Dieu, découvrir sa Volonté, goûter à son monde; quelquefois, nous sommes rendus dans un âge avancé et nous cherchons toujours à plaire à notre volonté; nous regardons Dieu, nous l’aimons, mais avec notre volonté, comme nous, nous voulons l’aimer.

Lorsque notre plaisir disparaît, qu’est-ce qu’il reste de nous? Il reste la volonté; alors, notre volonté nous montre que la Volonté de Dieu n’écoute pas, parce que c’était notre bon plaisir que Dieu nous écoute; là, nous commençons à douter, nous commençons à douter que nous (allions) connaître la paix, la joie : "Comment se fait-il que Dieu me laisse ainsi? Comment se fait-il que Dieu n’écoute pas ce que je lui demande?"

Tout ce que nous, nous regardons, c’est notre plaisir qui s’est envolé, notre sécurité qui s’est envolée; la Volonté de Dieu nous apparaît comme quelque chose de difficile, comme quelque chose de lourd sur nos épaules; nous avons l’impression que tout nous est défendu, que nous allons être prisonniers de quelque chose que nous ne pouvons contrôler, puisque la Volonté de Dieu n’a pas fait ce que nous, nous aimerions faire : la Volonté de Dieu devient pour nous une souffrance.

Comment peut-on vivre pour l’éternité avec quelqu’un qui (ne) nous a pas fait plaisir sur la terre? Donc, "être toujours en adoration devant un Dieu, en prières constantes devant Dieu, quel plaisir j’ai à faire de tout ça? Le temps que je vais vivre avec Dieu sera éternel, vais-je donc m’ennuyer? Ça va être long!"

Voyez-vous, notre volonté humaine blessée qui se met devant la Volonté de Dieu, qui pense et qui calcule : elle contrôle son éternité; tout cela parce que nous sommes blessés à l’intérieur de nous; nous portons les conséquences des péchés des enfants de Dieu, et Dieu nous regarde.

Dieu sait ce que nous pensons, il (ne) nous punit pas pour cela; il continue à nous alimenter de son Corps et de son Sang; il (ne) se refuse pas à nous; c’est lentement qu’il veut nous apprendre à connaître sa Volonté; il use de patience, de tendresse et d’amour.

Il envoie près de nous des enfants qui, eux, (ne) veulent plus de leur volonté, mais qui ne veulent faire que la Volonté de Dieu, et lorsque nous sommes à leur contact, nous avons l’impression, ah! de voir une lumière, de reconnaître qu’il y a de l’amour; cela nourrit notre espérance, l’espérance d’un bonheur réel.

Et lorsque le petit être d’amour qui est notre frère disparaît de notre vie, il est resté quelque chose à l’intérieur de nous de tout ça, malgré que nous retombons encore dans ce que nous avons connu; mais nous retombons moins bas, nous avons été supportés par un être humain pareil comme nous.

Dieu nous a démontré : «Regarde ton frère, regarde ta sœur, ils ont écouté ma Volonté, fais de même.»

Avant de comprendre tout cela, avant de vivre tout cela, nous aurons encore un tout petit bout de chemin à faire pour accepter de voir et d’entendre; cela, c’est l’espace que nous avons : ma vie sur la terre, mon cheminement sur la terre et la Volonté de Dieu sur la terre.

Adam et Ève, le temps que nous avons eu pour connaître la Divine Volonté fut un temps de souffrances, fut un temps où Dieu a toujours pris soin de nous; maintenant, ce temps nous a amenés à découvrir que sa Volonté était une Volonté d’amour, une Volonté d’espérance, une Volonté accomplie : nous portons tout cela à l’intérieur de nous.

À l’intérieur de nous, il y a le commencement du monde; à l’intérieur, il y a une volonté humaine souffrante, une volonté humaine contrôlante qui, à l’intérieur de tout ça, a aimé Dieu, a voulu faire la Volonté de Dieu, n’a pas compris la Volonté de Dieu, et a souffert à cause de sa désobéissance, et qui a été si bas qu’il a fallu qu’elle crie très fort pour venir sauver ce qui reste : les enfants de Dieu.

Alors, Jésus, il dit : je vais décortiquer tout ça.

 

Jésus : Vint un jour deux petits êtres; ils marchaient et ils regardaient; ils contemplaient et ils aimaient; ils comprenaient l’amour de Dieu; ils se nourrissaient de l’amour de Dieu; chaque pas devenait pour eux un pas vers l’éternité, car tout en eux était en harmonie avec l’éternité : l’éternité qui est Dieu, l’éternité qui est nourrie de Dieu, l’éternité qui est présente.

Rien n’inquiétait ces enfants : tout était à Dieu et ils contemplaient; ils étaient dans cette contemplation; la joie était une nourriture de vie; ils regardaient et ils ressentaient ce qu’ils regardaient à l’intérieur d’eux; tout ce qu’ils regardaient était en eux parce que tout était connu d’eux; ils ne se posaient pas de question, car ils savaient.

Toute connaissance avait été déposée en eux; ils connaissaient l’amour de Dieu pour eux, et eux connaissaient l’amour qu’ils avaient pour Dieu; leur volonté était la Volonté de Dieu, il n’y avait pas d’écart; leur vie était en Dieu et la Vie de Dieu était pour eux ce qu’ils voulaient.

Il y eut comme un mur à franchir; ce mur, c’était l’obéissance, obéissance à ce que Dieu avait déposé en eux : l’amour inconditionnel, la pureté; tout cela était enveloppé de l’amour; il fallait qu’ils passent ce mur, mais ce mur avait été demandé pour eux : aimer Dieu sans condition, obéir à Dieu en tout. 

Ces deux êtres d’amour, qui n’avaient que de regards pour Dieu, se gonflaient d’amour pour Dieu; ils le faisaient avec humilité, car ils connaissaient qu’ils étaient des créatures de Dieu, nourries de Dieu par tout ce qu’il leur accordait; alors, c’est comme si leur nourriture était ce que Dieu mettait en eux : sa Présence.

Ils se nourrissaient de l’amour, l’Amour était Dieu; ils pénétraient Dieu; tout cela était connu d’eux, c’était si présent dans leur vie, mais ce mur devait être franchi avec tout ce qu’ils avaient en eux.

Leurs regards ont été vers la désobéissance, car la désobéissance leur a demandé d’écouter ce qu’elle avait à dire; et leurs oreilles (ont) écouté, leur cœur s’est ouvert, ils ont accueilli, et la désobéissance leur a montré qu’ils étaient aussi capables de connaître s’ils allaient vers la connaissance, afin d’être gonflés d’amour par la connaissance : être des petits dieux.

Ils ont dit oui à la désobéissance et la désobéissance est entrée en eux, leur faisant connaître ses connaissances interdites; cela les frappa et ils (sont) tombés très bas.

À l’intérieur d’eux, une volonté venait d’être connue; elle était si petite comparé à ce qu’ils avaient connu; ils n’ont pu être capables de regarder la grandeur de la Divine Volonté, car ce qui était connu était trop souffrant pour eux maintenant qu’ils avaient une connaissance à cause de leur volonté humaine.

Ils ne pouvaient plus pénétrer la Divine Volonté, car ce qu’ils avaient connu, maintenant, était impur; la Divine Volonté s’est repoussée, car leur volonté ne pouvait plus s’amalgamer dans la Divine Volonté, et tout cela a été de génération en génération.

L’impureté (qui) est en la volonté humaine n’a jamais pu approcher la Divine Volonté, car la Divine Volonté est la pureté, l’amour inconditionnel; l’obéissance a été demandée à ces deux créatures; ils connaissaient qu’ils n’avaient pas été dans l’obéissance.

Aujourd’hui, vous connaissez que vous n’êtes pas dans l’obéissance lorsque vous faites votre volonté; combien d’entre vous, mes enfants, savez lorsque vous n’êtes pas dans la Volonté de Dieu? Cela vous est connu, parce qu’il y a à l’intérieur de vous une connaissance : celle de la désobéissance.

Tout enfant de Dieu qui ne fait pas la Volonté de Dieu est en connaissance de son mouvement; il sait lorsqu’il ne fait pas la Volonté de Dieu, et parce qu’il sait qu’il ne fait pas la Volonté de Dieu, il se rebute contre lui-même, il fait souffrir l’enfant de Dieu qu’il est, il le met dans un recoin : “Tais-toi et souffre, tu me déranges, tu m’empêches d’être ce que je veux être, tu es comme un être qui met devant moi cette désobéissance.”

Voyez-vous, enfants d’amour, tout en vous il y a ce petit être; vous savez qu’il est là.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : À l’intérieur de nous, nous savons lorsque nous désobéissons à Dieu, parce que nous avons une connaissance; souvenez-vous qu’Adam et Ève ont été vers la connaissance du bien et du mal.

Cette connaissance du bien est en nous; alors, cela veut dire que nous connaissons lorsque nous désobéissons à Dieu; cela fait partie de notre être, nous ne pouvons pas nous séparer de cette connaissance.

Mais il y a aussi ce non à Dieu; c’est comme si ce non di(sait) à (ce) petit être : “Tais-toi, reste à ta place, tu me déranges”; voyez-vous, souvent, à l’intérieur de nous il y a des combats qui se (font).

Nous savons qu’à l’intérieur de nous le bien et le mal se (font) présence, c’est comme si nous étions en présence de ce qui se passe à l’intérieur de nous : “Tu dois écouter Dieu, tu dois aimer Dieu, tu dois être obéissant à Dieu : j’suis pas capable, c’est trop difficile; ah! ça m’tente pas, j’vais m’ennuyer; ah! si c’est ça, je veux rien savoir, j’veux pas souffrir; comment est-ce que je peux, moi, être bien dans ce que je suis; j’suis rendu trop loin dans mon impureté?” (Ce sont) des non; alors, c’est le mal en nous qui, lui, prend trop de place.

Le oui, c’est nous, c’est l’enfant qui connaît, qui veut faire plaisir à Dieu : “Oui, j’accepte; oui, je veux voir; oui, donne-moi tes grâces; oui, j’suis trop petit, ma souffrance m’étouffe, mais tu es là, j’ai confiance en toi; ton amour m’a sauvé, et j’ai confiance en toi.

Oui, je suis un pécheur; oui, j’ai besoin de confesser mes péchés; oui, je veux accepter tes grâces; oui, je veux me reconnaître comme étant faible dans le péché, mais sauvé par toi; oui, il est difficile de suivre les commandements de Dieu, mais avec tes grâces, oui, les commandements de Dieu sont amour et j’y crois; Dieu m’aime; si, moi, j’ai de la difficulté à comprendre tout cela, je sais qu’avec ses grâces j’y arriverai.” 

Tout cela fait partie de nous, c’est vers le oui que nous devons aller; lorsque nous nous apercevons que le non se manifeste à nous, alors nous devons le mettre dans le oui de Jésus : “Oui, j’ai des mauvaises pensées, je te les donne; oui, j’ai peur, je te le donne; oui, je juge mon prochain, je te le donne; oui, parfois il est difficile d’avouer tel péché, je te le donne.” 

Tout ce qui est faible en nous doit être donné à Jésus; (ce sont) les non qui doi(vent) être transformés en oui, et il (y) en a eu des non dans notre vie! Comprenez que tous les non qui ont été faits à Dieu sont en notre présence.

Si, aujourd’hui, nous connaissons le luxe, il a fallu que le luxe existe, il a fallu que des enfants entrent dans ce luxe et se laissent prendre par la tentation de l’envie : toujours en vouloir de plus en plus, toujours désirer de plus en plus, toujours comparer avec les autres ce qu’il a pour avoir plus.

Cela n’est pas venu en nous en 2004, 2005, 2006! Cela est venu depuis la première personne qui, elle, a donné de la nourriture à cette envie.

Cette personne, ce qu’elle a fait, elle a donné son non à Dieu et elle a fait taire son oui à Dieu : “Ma volonté : ce qui me plaît; tu as fait ça, Seigneur, eh bien, c’est pour moi!” : vouloir faire sa volonté devant la Volonté de Dieu, mais comme ça me plaît.

Et tout cela vient de génération en génération; d’année en année, cela s’est multiplié; et tout cela s’est fait connaître à nous, tout cela fait partie de notre intérieur.

Dieu dit : «Mes enfants, comment voulez-vous, vous, combattre l’envie? Il faut connaître la cause et les conséquences de l’envie; vous ne les connaissez pas, alors ne vous débattez pas contre ce que vous ne connaissez pas, mais donnez-moi ça; moi, je vais arracher de vous ce mal, et avec mon feu d’amour je vais purifier tout cela à l’intérieur de vous; votre âme, elle, elle reconnaît la puissance de Dieu; l’âme, elle, est entre les mains de Dieu».

Lorsque nous consentons à aller vers le prêtre pour confesser notre péché d’envie, nous le confessons et nous sommes pardonnés; aussitôt que nous sortons (de) la confession, nous allons acheter une robe, alors que nous n’en avons pas besoin.

Comment se fait-il que nous (ayons) ce désir en nous? Pourquoi nous avons ce besoin en nous de toujours avoir plus, et plus, et plus? C’est qu’en nous, nous avons les causes et les conséquences de ce péché; nous sommes incapables de se débarrasser de tout cela, parce qu’il s’est logé; il a attaqué notre âme parce qu’il voulait notre âme afin de l’amener à l’Enfer, afin qu’(elle) souffre pour l’éternité.

Jésus a institué les sacrements pour protéger notre âme; il est venu nous parler de sa miséricorde, de son amour; il nous a parlé aussi de ce qu’elle pourrait subir si on n’obéissait pas aux commandements de son Père; il est venu nous parler comment regarder les commandements de son Père avec amour; il est venu nous parler de l’amour, de l’amour de son Père, de l’amour du prochain; il est venu nous parler de pardon, de miséricorde; il est venu nous parler d’espérance, de foi, de charité : ce qui protégeait l’âme, son épouse.

Mais notre chair, elle, elle était dans la souffrance, toujours assujettie au péché : la volonté humaine s’accrochait à ce corps; la volonté humaine nous a fait tomber amoureux de ce corps; ce corps, qui est le temple de l’âme, devenait pour les enfants de Dieu son bien : “C’est à moi, il m’appartient; je veux en faire ce que je veux; je veux l’habiller comme je veux; je veux lui donner du plaisir; je veux qu’il connaisse le confort”; tout ça, c’est connu aussi de nous.

Pourquoi cela est connu de nous? N’est-ce pas l’orgueil qui s’est logé à l’intérieur de nous? La désobéissance nous a fait miroiter l’orgueil, parce que l’orgueil a été la cause de la chute de Satan, et c’est avec l’orgueil que Satan veut notre perte : “Je ne veux pas renoncer à ma volonté humaine, je veux penser par moi-même, réagir par moi-même; je ne veux pas être esclave, je veux être maître de mes pensées, de mes choix” : c’est l’orgueil.

Tout cela est en nous, en notre chair, et elle fait apparaître en nous des besoins : voilà le plus grand esclavage; nous sommes esclaves de ce que nous avons connu par l’orgueil, la désobéissance à Dieu; tout cela est en nous; comment faire avec tout cela? Ça (ne) nous est même pas connu le début de tout cela.

Jésus nous habite, Jésus est le Oui du Père, Jésus a obéi à son Père : un Être humble; Dieu a accepté de prendre chair par amour : Dieu, par amour, s’est mis plus bas que tous les êtres humains, parce qu’il a pris tous les péchés des êtres humains, il n’en a oublié aucun, il a porté en lui la cause de tout péché et les conséquences de tout péché.

Voyez-vous, Jésus a accepté d’être le plus grand des pécheurs, et le plus grand des pécheurs n’est-il pas le plus éloigné de la Divine Volonté? Il l’a fait par amour, par obéissance, pour nous montrer que tout est vivant.

Lorsqu’on est obéissant, humble devant Dieu le Père, Jésus le Fils est : il n’y avait que le Fils de Dieu qui pouvait prendre tout, car le Fils de Dieu connaissait son Père, il connaissait l’amour de son Père, et c’est avec foi et amour qu’il a tout accompli.

Eh bien, nous devons en faire de même; nous devons accomplir la Volonté du Fils, et la Volonté du Fils est en la Volonté de Dieu le Père : donner tout au Fils, tout ce qu’il a connu; il n’y a que le Fils qui connaît la cause et les conséquences de tous les péchés du monde; il est le seul qui arrachera le mal qui s’est logé en notre chair; il est le seul qui purifiera notre chair d’un feu d’amour afin que la chair ne se souvienne plus du péché.

Lorsque vous êtes malades, que vous connaissez la souffrance, vous avez toujours votre pensée vers votre jambe qui vous élance, et vous avez beau dormir, la douleur est toujours présente; vous marchez, la douleur est là; vous êtes assis, la douleur est là; tout d’un coup, la douleur n’est plus; vous ne pensez plus à la douleur, elle est disparue, vous ne vous souvenez plus de la douleur.

Voyez-vous, c’est ce que nous allons connaître : nous (ne) nous souviendrons plus du péché, nous serons dans la joie et dans la paix; nous (ne) nous souviendrons plus que nous avons désobéi à Dieu, parce que cela nous ferait encore souffrir et Dieu ne veut plus qu’on souffre; tout cela, nous sommes en train de le vivre.

La Grande Purification est pour nous. Quand elle se terminera? Cela ne nous regarde pas; nous devons nous accomplir au présent, nous devons vivre ce que nous avons à vivre, là, aujourd’hui.

Au moment où nous avons une pensée et que nous disons à Jésus : “Cette pensée impure, je ne la veux plus, elle est à toi, je te la donne; je te donne la cause de cette pensée et je te donne les conséquences de cette pensée,” Dieu est un Dieu présent, Dieu est un Dieu lumière, Dieu est la Miséricorde et il enlève cette pensée, le mal de cette pensée, la cause et les conséquences.

Que quelques minutes après avoir fait cela, vous mourez, vous ne porterez pas la conséquence de cette pensée, parce que cela aura été donné à Jésus; Jésus veut tout, il veut tout ce qui nous a fait souffrir.

Nous allons aider nos frères et nos sœurs, mais eux devront aussi faire leur choix : prononcer leur oui; nous devons les aider.

Si nous, nous donnons une pensée qui nous a fait souffrir, qui a fait souffrir ceux que nous portons en nous aussi, et que nous donnons toutes les pensées, qui sont comme celles que nous avons, à Jésus, que nous donnons la cause et les conséquences, cela apporte des grâces à l’Église, des forces.

Pensez au Corps de Jésus; nous sommes les membres de Jésus; il y a les membres actifs et il y a la tête qui est Jésus; Jésus connaît le membre qui veut tout lui donner; lorsque ce membre reçoit la grâce et que le mal sort de lui à cause de ce don d’amour, Jésus donne la paix; il guérit une plaie, tous les autres s’en ressentent.

À eux maintenant de faire de même; mais comment peuvent-ils le faire (s’ils) refusent d’entendre Dieu? Il faut qu’ils donnent leur oui; alors, Dieu dit : «J’ai besoin de mes petites âmes; donnez-vous pour vos frères et vos sœurs, je viens changer ce monde de souffrances pour faire un monde d’amour.»

Tout est en nous, tout est présent en nous; nous devons nous accomplir au présent, à petits pas de bébé.

Le temps appartient à Dieu, il ne nous appartient pas; il a attendu tout ce temps pour nous parler de la Divine Volonté, c’est parce qu’il connaissait le temps; nous devons nous accomplir, et maintenant que c’est commencé, ça va continuer pour l’éternité.

Comprenez bien que la Purification est commencée et elle ne s’arrêtera pas; il y aura des mouvements, parce que le mal ne voudra pas se faire déloger, il s’est rendu maître de notre vie.

Lui, il n’est pas prêt, alors, lui, il va se manifester : “Pour qui tu te prends? Tu crois à cela, toi? Ce sont tous des mensonges; regarde autour de toi, le monde continue à souffrir, il y a encore plus de violence; si Jésus était si présent, il aurait arrêté ça; tu vis comme une cloîtrée; regarde, t’es toute seule, les autres s’amusent, puis toi t’es là à t’ennuyer, à prier; tu n’es même plus capable d’aller magasiner, tu passes ton temps à prier et à être seule, les autres lèvent le nez sur toi; as-tu vu, t’as le cancer, il t’a même pas guéri; on a prié sur toi, puis tu l’as encore le cancer; perds pas ton temps.”

Le mal va s’acharner contre nous et il va nous montrer nos enfants qui souffrent, qui ne vont plus à la messe, qui ont changé de religion; tout cela va être devant nous, mais d’une façon si blessant(e) (qu’il) se rira de nous.

Ceux qui garderont leur paix ne s’attarderont pas à écouter cela, ils vont le donner à Jésus afin que Jésus puisse écraser le mal, avoir victoire sur le mal, afin que nous puissions lui donner la cause et conséquence de ce que nous venons d’entendre; tout cela va être dans notre vie.

Un jour, Maman Marie m’a raconté une histoire; elle m’a dit : «Des enfants ont vu la violence, ont vu que les événements approchaient.»

Tout ce que la Mère de Dieu avait dit était devant leur vie : tout s’écroulait; ils voyaient les tornades, les tempêtes, les maladies qui augmentaient, la foi qui n’était plus dans les enfants de Dieu; alors, ils se sont réfugiés dans la forêt pour se protéger; alors, dans la forêt, ils ont entendu des paroles; ces paroles leur faisaient peur; ils ont commencé à tomber malades.

Alors, la Mère de Dieu m’a expliqué : «Ma fille, ceux qui vont être en présence de tout cela seront ceux qui ont suivi les messages; les priants, s’ils se réunissent ensemble, et s’ils parlent et que leurs paroles ne portent pas la confiance en Dieu, l’abandon en Dieu, que ces paroles ne (sont) pas données à Jésus alors qu’il y a de l’inquiétude, ces enfants connaîtront la peur; ils ne vivront pas cela dans la paix et ils n’aideront pas ceux qui ont besoin d’aide : ils vont tomber dans le piège de Satan.»

Il est très important de garder notre paix pour tout ce que nous voyons et entendons.

L’Église de Dieu a été instituée par le Fils de Dieu, elle est la force parce qu’elle est Jésus; nous devons toujours avoir les yeux fixés vers Dieu; ne regardons pas la douleur de ce monde, elle ne ferait que nous nourrir; nous devons donner la douleur de ce monde à Celui qui est le seul qui peut guérir; voilà ce que nous devons faire.

Lorsque nous entendons des enfants, nos frères et nos sœurs, parler contre l’Église, ridiculiser les prêtres, abaisser les consacrés, traiter de menteuse l’Église, ne portons pas oreille à tout ça, parce que nous savions que cela était pour arriver; nous savons que c’était dans les plans de tous ceux qui complotaient pour faire tomber l’Église.

Jésus a mis en nous la foi, et il la nourrit de son Corps et de son Sang; quand nous devons entrer en nous et prier pour eux, donner ce que nous entendons; si nous (disons) : "C’es-tu épouvantable ce qu’ils sont en train de dire contre Jésus? C’est effrayant tout ce qu’ils sont en train de sortir et mettre à la face du monde (tous) ces mensonges”, lorsque nous disons ça, nous (ne) donnons pas à Jésus ce qu’il attend de nous; nous laissons seuls nos frères et nos sœurs qui ont besoin de nous; ils ont besoin de nous, ils n’ont pas besoin de ces conversations inutiles.

Jésus nous demande de tout lui donner et de faire confiance en son Église; son Église est vraie, son Église est vivante, elle est solide son Église; alors, comportons-nous en enfants de Dieu, ayons confiance en ce que nous sommes : des enfants de Dieu, nous portons en nous le oui à l’Amour et il est vrai le oui à l’Amour.

Si nous avons de la difficulté à croire à tout cela, croyons en Marie, croyons en Jésus, ils vont nous donner des forces.

Il est permis de tomber puisque Jésus, lui, nous a montré comment tomber; lorsque Jésus est tombé avec sa Croix, il n’a pas pleuré sur lui-même, il n’a pas crié contre son Père, il a pris sa force et il s’est relevé : il recevait la force de son Père, alors nous marchons sur les pas du Christ.

Et c’est la même chose pour nous : prenons la force qu’il y a à l’intérieur de nous.

Alors Jésus, il a dit : «Maintenant, mes enfants, vous en avez eu assez.»