Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Salem, New Hampshire,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus.

 

2008-05-20  Partie 2

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Nous avons avec nous une personne qui a vécu quelque chose voulu de Dieu. Cette personne a touché le Cœur de Dieu, cette personne a appris à connaître Dieu à travers ses mots. Au tout début, cette personne ne pouvait pas saisir la profondeur de l’amour de Dieu, c’est lorsqu’elle s’est laissée prendre par Dieu qu’elle a compris.

Plusieurs de nous avons aussi vécu une expérience d’amour avec Dieu. Cette personne, c’est une personne qui traduit les livres. Elle a pénétré quelque chose qu’elle ne croyait pas que cela pouvait exister dans sa vie : l’amour, l’amour qui guérit, l’amour qui libère, l’amour qui conduit l’enfant à toujours se donner par amour pour les autres. Cette personne est ici aujourd’hui, elle s’appelle Ursula.

Alors, Ursula, Dieu d’amour te demande de t’abandonner et, par tes paroles, viens chercher nos cœurs qui veulent battre dans ton cœur. Fais-nous partager ton amour inconditionnel afin que nous puissions être guéris. Chacun de nous, nous avons des blessures, et c’est la Vie Éternelle qui va guérir nos blessures. Alors, c’est chacun de nous qui allons contribuer à nous guérir en s’abandonnant en Dieu parce que c’est lui qui guérit. Tu veux bien, Ursula?

 

Ursula : L'an passé, j'ai lu le livre, le premier livre, et j'ai été surprise de lire tant de choses que Jésus révélait. Quand j'ai commencé à lire le livre en allemand, ma langue, que quelqu'un d'autre avait traduit, je le lisais bien tranquillement pour voir que ce qu'elle avait traduit en allemand représentait bien ce qui était mentionné en anglais. En lisant ce livre, j'ai ressenti et j'ai compris de plus en plus ce que Jésus nous expliquait et qu'il voulait nous faire comprendre. Je me suis dit : "Oui, c'est ce que nous devons faire, c'est vrai ce qu'il nous dit."

Il y a tant d'amour que nous devons donner. Nous sommes tellement concentrés sur nous-mêmes que nous ne voyons pas l'autre qui a besoin d'un simple sourire, un petit bonjour, de l'amour, et cette personne va se sentir mieux. Je me sentais reconnaissante de découvrir cette expérience.

Je pense que je suis une personne différente maintenant parce qu'en plusieurs occasions qui me rendent anxieuse, triste, je m'arrête et je me dis : "Je ne puis rester ainsi parce que Jésus va être bouleversé, triste". Je mets Jésus dans ma vie parce que je ne veux pas qu'il soit triste pour moi. Je veux l'aimer et il le sait. C'est mon expérience.

J'en suis seulement à mon premier livre, j'espère que ça ira bien pour l'autre, c'est beaucoup de travail. Il y a beaucoup de dédicaces et je veux être certaine d'avoir les bons mots pour reproduire exactement ce que Jésus dit. C'est encore un mystère pour moi. Je ne sais pas encore comment il se fait que j'en suis là, que je suis ici et que j'ai pu dire oui à faire ce travail. Parfois, ça nous amène à une certaine relation avec quelqu'un, vous entrez dans quelque chose sans vraiment savoir ce que cela sera et apportera. Voilà.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Alors, on va prendre quelques minutes de questions et de réponses. S’il y a des questions qui montent à l’intérieur de vous, c’est le Saint-Esprit qui veut que vous les disiez. Alors, c’est à vous.

 

Q.  Comment est-ce qu’on fait pour trouver un bon médecin? Je ne sais pas comment m’y prendre.

 

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Lorsqu’on prie, lorsqu’on demande à Dieu de bénir le médecin, il devient le médecin que Dieu veut pour toi : à l’intérieur de chaque médecin, il y a la science et cela vient du Saint-Esprit, ne vient pas des hommes. Alors, la prière nous aide à comprendre que Dieu veut pour nous la guérison. Alors, prions pour les médecins, pas seulement pour le médecin que vous allez aller voir, mais pour les médecins. Alors, Dieu mettra sur (le chemin de) tous les enfants du monde des médecins qui les aideront. Nous sommes l’Église, alors il faut s’entraider. Le grand Médecin, c’est Jésus, alors ils sont en Jésus.

 

Q.  Comment fait-on pour se préparer à la mort? Est-ce qu’on fait juste attendre et voir?

 

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Il est préférable de dire : "Comment se préparer pour regarder notre Père?" Dieu va prendre soin de nous jusqu’au moment où nous irons à lui. À travers les grandes souffrances, à travers les pleurs de nos enfants autour de nous, il y a toujours la présence de Dieu. Dieu, jamais il ne nous laisse seuls. C’est ce qu’il faut comprendre.

La mort terrestre, c’est une conséquence de nos mauvais choix devant le péché, mais Jésus a tout pris : il a amené à la mort ce qui nous empêchait de vivre ce moment d’amour. Lorsque nous sommes totalement entre les mains de Dieu, la mort ne nous fait pas peur parce que nous savons que la mort terrestre n’est qu’un repos. Alors, n’ayons pas peur de notre repos.

 

Q.  J’ai une amie qui dit que lorsqu’on meurt notre âme va à une autre personne qui va naître. Quoi répondre à cette personne?

 

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Tu lui demanderas : "Es-tu capable de te regarder? Alors, si tu es capable de te regarder telle comme tu es, c’est que tu es capable de comprendre que cela est faux". Ta vie est à Dieu. Elle vient de Dieu et elle va à Dieu. Chaque enfant a sa vie de Dieu, il n’a pas besoin d’emprunter l’âme d’un tel pour la donner à un tel. Dieu est la Puissance. Sa Vie est en tous les enfants de Dieu. Avant même qu’on soit en ce monde, nous étions vie. On ne prend pas vie parce qu’on vient au monde : on est vie.

Essayer d’expliquer cela à quelqu’un qui a ses propres idées, c’est essayer d’expliquer à une roche qu’elle est roche. Alors, laissons à Dieu ce qui est à Dieu. Un jour, le Saint-Esprit saura bien lui faire voir et entendre ce qu’il doit voir et entendre. Quelquefois on est obligé de passer par la souffrance, quelquefois on est obligé de passer par des chemins qui, pour nous, nous semblent impensables, et pourtant d’autres, il faut qu’ils prennent ces chemins.

La chair contient tout ce qu’elle a accepté; la chair contient toute souffrance. Plus on donne de la nourriture à notre chair, plus elle a sa propre nourriture, mais cela n’est pas toujours une bonne nourriture. Lorsque nous avons entendu l’histoire du village, ces personnes se tenaient toujours en face de Dieu, mais à l’instant où elles ont détourné leur regard du crucifix, elles ont été embrouillées. Alors, c’est ce qui se passe en plusieurs personnes.

Le chapelet est une arme d’amour, c’est ce qui nous maintient dans le Cœur de Dieu. Maman Marie, elle a mis le chapelet dans notre main, c’est comme une clé que nous avons besoin pour passer à travers de bien des portes. Les portes que nous devons passer, quelquefois nous amènent dans des grandes souffrances, alors si nous n’avons pas le chapelet dans nos mains, nous ne pourrons pas comprendre où l’on rentre, et on risque de souffrir.

 

Une personne : Mon frère, qui a été prisonnier dans les camps, avec une corde et des petits morceaux de pain a fait un rosaire. Il s’est fait un chapelet et même la croix : il le disait tout le temps. Son frère a réussi à sortir des camps, alors qu’il y en a beaucoup qui ne sont pas sortis et il a amené ce chapelet avec lui à la maison. Elle parle aussi du père Maximilien Kolbe et de ce qu'il a vécu.

 

Q.  Qu’est-ce qu’on doit dire à ceux qui croient en la réincarnation?

 

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : La réincarnation, c’est quelqu’un qui n’est pas content de sa vie, c’est toujours quelqu’un qui espère avoir une meilleure vie. Que peut-on dire à une personne qui n’est pas satisfaite de sa vie? Prions pour elle, aimons-la. Nous ne sommes pas mieux que dans le temps de saint Paul. On a voulu le mettre en prison pour cela parce qu’il ne croyait pas en la réincarnation et il disait que Jésus n’était pas dans l’œuvre de la réincarnation, car il était la Vie et la Vie avait ressuscité.

Lorsqu’on arrive à croire en cela, c’est parce que notre vie est en mouvements de souffrances. Alors ces personnes ont besoin de notre abandon : on les abandonne en Dieu. On n’essaie pas de convaincre quelqu’un qui est en train de mourir en lui disant : tu vas vivre. Lui ce qu’il pense, c’est que sa vie est en train de s’arrêter, pour lui ça devient sa vérité. Mais l’enfant qui a confiance en Dieu, lui il sait, il sait que sa vie ne fait tout simplement qu’aller là où elle doit être. Allez expliquer à quelqu’un qu’il souffre à cause de ses pensées, alors qu’il ne connaît pas pourquoi il pense ainsi : il ne comprendra pas, mais si on le donne à Dieu, Dieu viendra le toucher.

Nous ne sommes pas Dieu, nous ne pouvons pas remplacer Dieu, mais nous sommes la vie, alors nous pouvons aider à la vie. La vie, elle se présente, elle, devant Dieu et c’est là qu’on doit être : devant Dieu. Dire à Dieu : 'Je te donne'; bien, je me présente devant Dieu, alors je donne tous ceux qui souffrent en moi. La lumière devant la Lumière, c’est ce que nous devons faire.

Si aujourd’hui on voulait que tout le monde pense comme nous, on se servirait de notre volonté humaine, mais notre volonté humaine rencontrerait d’autres volontés humaines : "Pour qui tu te prends toi pour me dire ça? Qu’est-ce qui t’a dit que cela est vrai? Prouve-moi que cela est faux? Qu’as-tu à m’apporter que moi je ne peux pas t’apporter? Alors, 'retourne-toi-s-en' chez vous. Moi, ce que je sais, je le sais." C’est ainsi deux volontés qui se présentent. Alors, faisons plus confiance en Dieu qu’en notre volonté.

 

Q.  Quand on dit bien notre chapelet, la Sainte Vierge présente-t-elle ça à Jésus comme un bouquet, puis lui, en retour, nous donne des grâces spéciales? Il nous fait quelque chose de beau? Puis, Grand-maman sainte Anne est-elle toujours là?

 

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Le chapelet, c’est vouloir, c’est vouloir s’adresser à la Sainte Vierge qui nous a été donnée par Dieu. Le chapelet, ça montre aussi qui nous sommes : des enfants de Dieu qui ont besoin de la Mère de Dieu. Le chapelet, c’est croire que Maman Marie a porté Jésus dans sa sainteté, alors c’est croire en la pureté de Marie; c’est croire en Marie, non pas en notre volonté humaine; c’est demander à Marie de prier, pas nous, et c’est Marie qui s’adresse à la Trinité.

On trouve que c’est long dire des 'Je vous salue Marie' à chaque grain et pourtant, c’est un moyen de repos, c’est un moyen qui nous amène à découvrir ce que nous avons besoin; alors, à ce moment-là, nous sommes comme enveloppés d’une protection contre l’orgueil. Nous sommes aussi dans un moment de guérison : tout ce qui se passe en nous se donne continuellement à la Mère de Dieu et la Mère de Dieu prend nos peurs, nos désespoirs, nos larmes, nos cris, nos jalousies et elle nous donne des grâces : n’est-ce pas 'comblée de grâces'? Alors, c’est un moyen du Ciel. Nous n’avons pas besoin d’aller faire du yoga.

Nous avons un moyen aussi de guérir : nous touchons, avec tous nos sens, ce qui vient du Ciel. À chaque fois que nous avançons : nous avançons, c’est un mouvement qui se passe sur le chapelet, alors nous touchons à la Volonté de Dieu : "Ta Volonté, pas ma volonté. La santé que tu veux me donner, pas ce que je voudrais. Ton temps, pas mon temps. Ta patience, pas mon impatience. Ta paix, non ma colère." Et si on pouvait écouter notre intérieur, nous verrions toutes nos souffrances se changer en grâces.

Qui n’a pas répondu oui à Satan? Et pourtant elle a eu des attaques, la Mère de Dieu. Alors, lorsqu’on s’adresse à Marie, Marie est auprès de nous et elle nous enveloppe de son manteau, elle nous montre à avoir confiance en Dieu : voilà pourquoi il faut prier avec le cœur. Imaginez-vous que vous êtes assis sur un tout petit banc et Maman Marie est juste au côté et c’est elle-même qui met ses travaux entre nos mains! À chaque fois que, Maman Marie, elle a travaillé pour son Fils, pour une personne, elle le faisait avec amour avec ses doigts et elle veut qu’on en fasse autant. Ce qu’elle a mis entre nos mains, ce sont ses travaux à elle. Ses travaux à Maman Marie ont toujours porté des fruits, alors mieux vaut avoir les travaux de Maman Marie que les nôtres. Voilà pourquoi on dit : "Sainte Mère de Dieu, priez pour nous" : tes œuvres, Maman Marie, pas les nôtres, c’est toi qui as eu confiance en Dieu sans faille. Et cela jusqu’au moment où nous serons certains d’être sauvés : à l’heure de notre mort. Je vais renoncer à ma volonté humaine pour entrer dans la Divine Volonté. Amen.

 

Q.  Quoi d'autre peut-on faire à part prier le rosaire pour rejoindre nos enfants qui ont pris une distance par rapport à la foi catholique et souvent vivent de la dépression, de l’anxiété et tout ça? Les enfants adultes.

 

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : La prière va nous aider à nous abandonner. Lorsque nous sommes entre les mains de Dieu, là il se passe quelque chose en nous : on découvre qu’on ne peut rien pour nos enfants, mais que le Ciel peut tout.

La Mère de Dieu ne s’est pas inquiétée pour ce qui venait. Lorsqu’elle a reçu son petit Enfant d’amour et qu’elle l’a présenté au Temple et qu’on lui a dit : "Un glaive percera ton Cœur", elle a gardé tout ça dans son Cœur et elle le savait, elle savait qu’elle avait dit oui au Messie. Maman Marie était instruite des Écritures. Le Saint-Esprit lui faisait voir tout ce que le Messie devait endurer et elle n’a pas reculé, elle n’a pas crié, se révolter, elle n’a pas été dans l’inquiétude à tous les jours : elle démontrait la paix.

On ne peut pas démontrer la paix sans être dans la paix. Nos enfants n’ont pas besoin de notre inquiétude, nos enfants n’ont pas besoin de désespoir, nos enfants ont besoin de quelqu’un qui a foi en Celui qu’il prie. Si nous prions, c’est parce que nous espérons que Dieu exaucera, alors nos enfants ont besoin de savoir ça. Commençons par nous si nous voulons que nos enfants reviennent à la maison. Nous sommes les premiers à avoir quitté notre demeure. Dieu veut qu’on ait confiance, il veut qu’on entre dans la maison et pas sur le perron. Si nous n’entrons pas chez nous, eh bien, on va toujours être inquiets : on va voir les levers du soleil, on va voir les nuits qui avancent et qui avancent et qui avancent, on va entendre des cris qui viennent de loin, on va être toujours dans notre peur. Nous ne serons pas totalement chez nous dans la maison : "Dis Papa, tu prends soin de moi, tu prends soin de ceux qui sont au loin?"

C’est vrai que c’est inquiétant de voir nos enfants dehors, on voudrait les voir à la maison, entourés de la protection de Dieu. Mais l’enfant prodigue nous a montré ce que nous, nous avons besoin. L’enfant prodigue, il a fallu qu’il vive ses expériences; l’enfant prodigue, il a fallu qu’il touche à la misère pour comprendre qu’il était aimé inconditionnellement. Alors, il faut avoir cette confiance en Dieu. Lorsque nous manquons de confiance en Dieu, nous qui sommes dehors, nous coupons ce que Dieu a besoin. C’est Dieu qui regarde notre enfant, c’est Dieu qui lui envoie de l’amour afin que jamais il ne se perde. Mais qu’est-ce qu’on montre à Dieu? On montre un enfant sur le balcon qui se promène de gauche à droite, puis Dieu est là : «Oh! Pauvre toi, quand vas-tu apprendre à me faire confiance?» Alors Dieu, lui, va lui donner des grâces afin qu’il entre dans la maison. Une fois rendu dans la maison, là, il va aller chercher notre enfant; à travers ses expériences, Dieu va passer.

L’inquiétude n’est pas une protection pour notre enfant, c’est la confiance qui enveloppe notre enfant et la confiance, c’est Dieu qui va le lui donner. Mais Dieu veut avoir la place, il veut passer, c’est nous qui nous inquiétons. Vous souvenez-vous de celui qui était l’aîné à la demeure? Il a dit à son père : "Tu n’as pas tué le veau pour moi, tu n’as pas fait la fête pour moi" et le père lui a dit : "Ne sais-tu pas que toi tu étais à la maison?" Qu’est-ce qui faisait que l’adulte, l’aîné n’avait pas compris ça? C’est parce qu’il gardait des inquiétudes en lui. "Est-ce que, Père, tu m’aimes autant que celui qui est au loin?" On manque de confiance en l’amour du Père pour nous. C’est ce que nous faisons involontairement. Cela est venu parce que Satan est venu nous tenter et il a mis son venin dans notre mouvement d’amour : la vie.

Il n’y a pas autre (chose) que l’abandon. Le Fils de Dieu a étendu ses bras sur la Croix : le plus grand abandon qui nous a valu la vie. Alors il va falloir se plonger dans cet abandon. Oui c’est vrai que nous sentirons notre cœur se poignarder comme Maman Marie, oui nous donnerons notre confiance en Dieu, oui nous nous maintiendrons toujours à l’écoute de l’amour de Dieu, malgré toutes les souffrances que notre enfant va endurer, mais nous participerons à ses souffrances, car nous l’aimons, mais notre douleur sera abandonnée entre les mains de Dieu. C’est ce que nous devrons faire.

Nous devons passer par le même chemin que le Fils de Dieu. Croyez-vous qu’il ne souffrait pas de voir sa Maman d’amour près de lui en sachant qu’elle portait tout dans son Cœur avec une telle confiance? Dieu le Père regardait sa Fille bien-aimée : il ne lui a rien épargné, alors nous devons avoir confiance que Dieu sait ce qu’il fait. C’est ce que nous avons beaucoup de difficultés à vivre : que notre Père sait ce qui est bon pour nous et pour notre enfant. Mais ne laissons jamais notre enfant entre les mains de la tentation.

Le chapelet! Maman Marie! Nous devons nous laisser envelopper du manteau d’amour de Marie si nous ne voulons pas trop être sous les rafales, parce qu’en dehors, sur le perron, on ne sera pas épargnés de rafales, vents, pluie, orages, tonnerre : rien ne nous sera épargné. Alors, laissons-nous envelopper du manteau de Marie. Amen.