Rencontre d'amour avec l'agir de Dieu à Stanstead, Québec,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus.

 

2007-08-25 – Partie 2

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : On aura beau se mettre à la pénombre, le Seigneur, lui, nous mettra dans la lumière; il nous montrera ce qu'il y a de plus beau dans notre vie, il nous atteindra.

Au moment où nous vivrons notre premier jugement, nous verrons notre vie, nous verrons tous nos choix de vie, nous verrons tout ce qu'il y a de plus beau dans notre vie et nous verrons ce qu'il y a de plus laid dans notre vie, et cela se fera dans la lumière.

La lumière nous enveloppera, la lumière nous montrera combien il nous a aimés.

Lorsqu'on fait de bonnes actions, on sait qu'on est aimé, mais lorsqu'on fait de mauvaises actions, on croit qu'on n'est pas aimé de Dieu, alors on cherche à se cacher, à se tricher, on cherche à contourner les lois de Dieu.

Mais Dieu, lui, a toujours le regard sur nous, Dieu nous prend et nous enveloppe de sa protection pour nous montrer que nous sommes à son Père; il nous donne des grâces, des grâces d'amour afin que nous puissions nous pardonner.

Lorsque nous avons des grâces, nous nous attendrissons sur sa miséricorde, et c'est là que nous apprenons à nous pardonner; lorsqu'on apprend à se pardonner, là on est prêt à aller voir le prêtre, là on est prêt à demander pardon à Dieu.

Mais c'est toujours, en premier, envers nous-mêmes : nous avons besoin de nous reconnaître pécheurs, nous avons besoin d'apprendre que Dieu nous aime; Dieu aime le pécheur, il n'aime pas le péché.

Il a pris les péchés de tous les enfants du monde, depuis le premier jusqu'au dernier et il les a pris comme si c'était à lui; il a demandé pardon à son Père : il est devenu le Pécheur.

Voyez-vous, il nous aime, il ne nous dit pas qu'il nous haït, ce serait comme s'il s'était dit : «Je me haïs.»

Certes, Jésus a porté nos péchés et lorsqu'il s'est présenté à son Père, il en a transpiré du sang; c'était à son Père, devant son Père qu'il se présentait, devant Dieu, devant l'Être parfait : il nous montre que nous devons nous regarder comme étant aimés de son Père.

Il n'est pas toujours facile de nous regarder lorsque nous venons de commettre un mensonge et que ce mensonge a nui à notre prochain; à cause de cela quelqu'un s'est suicidé, à cause de cela on a quitté une épouse ou un époux, des enfants : à cause d'un mensonge.

Voyez-vous, comment allons-nous pouvoir nous pardonner? Ce n'est que par les grâces de Dieu.

Voilà pourquoi Dieu parle avec amour, fait étendre sa miséricorde sur nous, parce qu'il guérit; mais il faut apprendre qu'on est guéri, il faut apprendre que Jésus a tout pris pour nous amener là où nous devons aller : nous avançons tous ensemble.

Nous savons qu'un tel fait des gaffes, qu'un autre fait d'autres gaffes, nous savons tout cela, mais nous ne connaissons pas l'intérieur, nous ne connaissons pas l'intérieur des autres, encore moins le nôtre.

Imaginez-vous, on regarde quelqu'un et on dit :"Je peux pas juger, mais il l'a fait parce qu'il est malheureux", mais nous, pourquoi avons-nous porté un jugement? Nous ne sommes même pas capables de le savoir, nous ne nous connaissons pas, car si nous nous connaissions, on ne jugerait pas.

La première personne qui est jugée, c'est nous-mêmes, alors on se fait mal à soi-même.

Voilà pourquoi Dieu dit : «Je vais vous mettre dans la lumière et cette lumière va vous montrer que je vous aime : vous allez apprendre à vous pardonner, vous allez apprendre à me donner ce qui vous a fait souffrir.»

Avant de lui donner ce qui nous a fait souffrir et qui nous a portés à juger, il faut savoir ce qui nous a fait souffrir, et Jésus va nous le montrer : Jésus va nous montrer la cause de notre jugement.

Nous ne savons pas ce qui a fait que nous avons jugé, mais Jésus, lui, le sait, alors il faut lui faire confiance, il faut tout lui donner.

Qu'est-ce qu'il veut que nous fassions en premier? Il veut qu'on lui donne notre vie à tous les jours avec des mots simples : "Je te donne ma vie; aujourd'hui, je vais me lever et c'est ta vie que je vais vivre."

Voyez-vous, ça va être différent dans notre vie, on va savoir que Jésus, lui, a déjà vécu notre vie; comment comprendre cela? Jésus va faire en sorte de nous le faire comprendre par une histoire.

 

Jésus : «Un jour, un enfant est venu au monde; il a grandi et il a appris des autres ce qu'il devait faire et ce qu'il ne devait pas faire.

Peu de temps après avoir fait sa première communion, il a donné son premier jugement, car sa mère ne lui avait pas fait son dessert préféré.

Alors, il a dit : "Maman, tu n'es pas gentille, tu n'as pas été capable de me faire mon dessert préféré, tu es allée jaser avec la voisine, ce n'est pas beau, maman!" L'enfant venait de porter son premier jugement.

Rendu au soir, alors qu'il était tout seul, il a pensé à ses paroles, il était tellement triste : "J'ai blessé ma maman; maman, j'ai vu qu'elle avait une larme, c'est ma faute, elle a pleuré." Alors, le petit garçon a ressenti cette souffrance et il l'a gardée pour lui, il a mis cela dans son intérieur, très loin.

Un jour, il a grandi, il a grandi et il a grandi; il s'est marié et la famille a grandi. Il avait un petit garçon dans sa vie et il a entendu une fois son petit garçon dire : "Maman, tu n'es pas gentille, tu as lavé mon jeans et aujourd'hui, je ne peux pas le mettre pour aller à l'école, il n'est pas sèche." Alors lui, le papa, a regardé son fils, il a dit : "On ne parle pas comme ça à sa mère."

Alors, au soir, le papa a réfléchi à la parole qu'il avait dite à son fils et il regrettait d'avoir haussé la voix : "Pourquoi est-ce que je ne lui ai pas fait comprendre plutôt que de lui dire ces paroles? Pourquoi est-ce que je ne lui ai pas dit que je l'aime et que cela a fait de la peine à sa maman?" Il ne comprenait pas; alors, il a rejeté cela au loin, ça lui faisait tellement mal.

Alors, il a vieilli, il a vieilli; un jour, il s'est retrouvé, il s'est retrouvé devant son jugement.

Alors Dieu lui montra, Dieu lui montra le petit enfant qu'il était, le petit enfant qui avait porté son premier jugement, et lui le regardait, il regardait sa vie, et un gros pincement est venu en lui, et Dieu lui dit : «Regarde mon Fils.»

Alors, il a vu, il a vu un homme qui traînait une croix, il a vu un homme qui continuait à aimer ceux qui l'insultaient, il a vu un homme qui se laissait crucifier, il a vu un homme qui l'a aimé jusqu'à mourir, mourir pour lui, parce qu'il venait de comprendre que lorsqu'il avait porté la croix, il avait porté ce jugement.

Alors cet être qui regardait cela s'est dit : "Oh, comme c'est difficile, comme c'est difficile de regarder et de voir combien je suis aimé! Alors, il regardait encore et il regardait encore une étape dans sa vie : ce papa qui avait repris son enfant.

Il voyait, il voyait un père, un père qui voulait protéger son enfant, un père qui voulait protéger son épouse; il voyait un père qui voulait consoler, mais qui ne savait pas comment; il voyait un père qui était incapable de se pencher sur lui-même et de se dire : "Je me pardonne, je me pardonne afin que lui aussi puisse un jour se pardonner."

Pourquoi comprenait-il tout cela maintenant? Pourquoi voyait-il tout cela avec une telle lumière? C'est parce que, dans sa vie, Jésus l'avait accompagné, Jésus lui avait montré qu'il l'aimait, qu'il le soutenait dans sa souffrance, car il avait marché avec cette croix sur son épaule.

Cet homme avait marché d'année en année avec cette douleur, il n'avait pas compris, et là, il voyait et il comprit, il comprit que Dieu l'aimait, que Dieu le voulait dans sa Croix.

Alors, l'être qui regardait sa vie a regardé, a regardé cette lumière et il a dit oui : "oui parce que tu m'aimes, oui parce que je suis ton enfant, oui parce que tu m'as aimé afin que j'apprenne à mon tour à m'aimer".»

Voyez-vous, mes enfants, vous êtes ainsi, vous êtes des tout petits enfants qui avez, dans votre vie, fait des gestes, et à cause de ces gestes vous avez souffert et vous avez mis cela très profondément à l'intérieur de vous et cela vous a suivi toute votre vie, et vous avez donné aux autres votre souffrance sans vous en rendre compte.

Et moi j'ai toujours été dans votre vie afin de vous soutenir, afin que vous puissiez comprendre que je suis la consolation, le réconfort, le pardon, l'amour.

Si vous êtes capables d'aimer votre enfant, d'aimer votre épouse, d'aimer votre frère, d'aimer votre sœur à travers votre souffrance, à travers vos paroles, vos pensées, c'est que je vous soutiens, je suis toujours là dans votre vie.

Apprenez à me donner votre vie et je vous comblerai, et vous aiderez votre prochain à me donner sa vie; commencez par vous, mes enfants, et cela se multipliera.

J'enseigne, à l'intérieur, les cœurs afin que les cœurs apprennent à aimer, à aimer l'être qu'il habite.

C'est l'amour qui guérit, c'est l'amour, mes enfants, qui vous rend lumière.

Je suis avec vous, je ne suis pas contre vous; je viens vous montrer qui vous êtes dans votre vie.

Le péché a été dans votre vie, mes enfants, parce que d'autres avant vous ont été dans le péché et ils n'ont pas su se pardonner, s'aimer à travers leurs souffrances, me donner leur vie.

Je vous apprends, vous, à me donner vos souffrances; je vous apprends à me donner vos faiblesses; je vous apprends à me donner votre vie.

Lorsque vous vous donnez de l'amour, vous recevez de moi; lorsque vous apprenez à vous pardonner, vous recevez de moi; lorsque vous apprenez à être dans la vérité face à vos choix de vie, vous recevez de moi, vous recevez de votre Dieu.

Vous devez apprendre à vous regarder, vous devez apprendre à ne rien vous cacher; celui qui se cache et qui se tient dans la pénombre n'apprend rien; il continue à vivre dans ses souffrances, il fait souffrir les autres, et un jour il va se regarder, et il va se donner son propre jugement.

Mes enfants d'amour, laissez-vous prendre par mon mouvement d'amour, laissez-vous envelopper par la lumière, c'est la lumière qui guide vos pas, ce n'est pas vous.

Êtes-vous capables, mes enfants, de mettre un pied en avant alors que vous ne voyez rien, alors que vous êtes dans la souffrance, alors que le péché vous a frappés, fait tomber? Vous êtes incapables.

C'est la Lumière, je suis la Lumière, je suis venu en ce monde pour vous montrer qui vous êtes.

Enfants d'amour, soyez des tout petits enfants, c'est là que vous apprenez.»

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Chacun de nous on apprend, chacun de nous on fait ce qu'on est capable de faire au présent; c'est lui qui nous donne les grâces, ce n'est pas nous, les grâces ne nous appartiennent pas, ce qui nous appartient, c'est un oui.

Donner notre oui, c'est dire : "Oui, me voici", c'est tout, c'est pas compliqué Dieu, c'est simplement dire : "Je te donne ma vie", et le reste va venir, tout va venir.

Vous allez vous apercevoir qu'une journée : "Ah, je viens de dire les paroles comme : je te donne ma vie, je te donne la vie de ceux que je porte, je ne m'inquiète plus pour eux, je sais que tu en prends soin."

Si on est capable de dire ces paroles, c'est parce qu'on a appris, avec les grâces de Dieu, à lui faire confiance, on a appris à lui donner notre vie : 'je te donne ma vie, je te donne mon oui'.

Il n'y a rien qui nous appartient, il y en a qui le savent; il n'y a rien qui nous appartient, absolument rien; tout ce qui est à nous, c'est un oui : moi! non; oui Dieu, non Dieu : on peut dire ça.

Tout ce qui est dans notre vie appartient à Dieu, que ce soit le bien ou que ce soit le mal, ça appartient à Dieu parce qu'il a tout pris.

Si on garde pour nous le bien, c'est qu'on va garder le mal pour nous et ça, ça va nous amener à nous regarder un jour avec nos souffrances, et plus nous aurons des souffrances en nous et plus nous aurons de la difficulté à prononcer nos oui, parce que cela va nous faire honte, nous aurons honte.

Croyez-vous que Judas n'aimait pas Dieu? Croyez-vous que Judas était dans la haine continuelle? Non, Judas aimait Dieu, Judas aimait Marie, mais il aimait sa vie, il aimait l'argent, il était orgueilleux, il avait des vices, et il les gardait pour lui.

C'était toujours un combat; ça lui faisait tellement mal qu'il préférait ne pas les regarder, ne pas les dire à Jésus, il s'en éloignait; alors, plus il s'en éloignait et plus Satan le maintenait, il le maintenait dans son pouvoir.

Voyez-vous, il ne faut pas faire ça; il faut être comme des tout petits enfants.

Des enfants, ça retient rien, ça donne! Essayez de demander à un enfant : "Là, je te donnerai un bonbon, faut pas que tu me le demandes."  "Oui, c'est vrai, faut pas que je demande! Quand est-ce que je vais te le demander?"

C'est ça un enfant, c'est tellement beau, c'est pur; eh bien, c'est comme ça que Dieu veut qu'on soit : comme des petits enfants qui ne retiennent rien, et Dieu va faire tout le reste, c'est lui qui va guider l'enfant.

C'est ce qu'il voulait qu'on sache ce soir.

Maintenant, si vous voulez bien, on va prendre une toute petite période de questions.

Il y a des personnes qui aimeraient peut-être poser des questions sur ce que vous avez entendu, mais surtout on demande à ne pas poser des questions personnelles comme : je vais déménager, vais-je rencontrer un nouveau mari, vais-je changer de job?

Allons plus profondément que ça, allons demander des questions pour ce qui est de notre vie éternelle, sur ce qui s'est dit ce soir; vous savez que c'est pour notre vie éternelle.

 

Q.  Qu'est-ce qu'on pourrait dire à quelqu'un qui vieillit et qui a trouvé une façon pour s'aider pour avoir plus d'énergie le jour, de se parler comme dire : "bon là je me lève" puis au lever "je me sens en forme et je me sens bien", c'est comme s'il s'auto suggère des affaires. Est-ce que Jésus voudrait lui répondre?

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Alors la question, je vais répéter : Qu'est-ce que l'on peut faire, qu'est-ce que l'on peut dire, qu'est-ce que Jésus suggère pour une personne qui, avec le temps, a perdu des forces. Il vieillit, il est fatigué, il voudrait être en forme. Est-ce qu'il peut se dire comme : je me sens fort, je me sens bien, je peux me formuler des…, s'auto suggérer?

 

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : L'autosuggestion, c'est prendre des paroles que l'on nous montre et qu'on peut dire comme : je me donne de la force, je suis capable, j'ai de l'énergie.

Lorsqu'on utilise ces paroles, nous prenons quelque chose qui vient de l'extérieur et nous le mettons en nous.

D'où viennent ces paroles? Est-ce que cela vient d'un enfant de Dieu? Si cela vient d'un enfant de Dieu, qui lui a montré ces paroles? Qui a fait que cette personne connaît ces paroles et elle me les apprend? Ou est-ce que ces paroles que j'ai lues dans un livre viennent de personnes qui connaissent Dieu? Est-ce que ces paroles viennent de Dieu ou de la personne?

Si les paroles viennent de la personne elle-même, eh bien, ces paroles ne portent aucune grâce, elles ne nourrissent personne, elles ne nourrissent pas mon intérieur, parce qu'elles viennent de sa volonté humaine, elles ne viennent pas de Dieu.

Mais si elles viennent de sa volonté humaine, c'est qu'elle les a apprise de quelqu'un, elle les a apprise de quelque part, mais qui a montré ça ces paroles-là? D'où sont sorties ces paroles la première fois que c’a été dit?

Cela vient de ce qui est pour soi même, cela vient de ce qui est en dehors de Dieu, cela vient de ce qu'on peut s'attribuer, cela vient de quelque chose qui me montre, cela vient qu'on peut s'admirer, qu'on peut se compléter.

Qui peut s'admirer, qui peut se compléter, qui peut se donner des forces, qui peut se dire être fort? Il y a un être, il y a un être au-dessus de nous, plus intelligent que nous, celui de qui on a accepté ces paroles : Satan.

Satan, ange de lumière qui s'appelait Lucibel, était d'une très grande beauté; il recevait tout de Dieu, il recevait sa force, sa puissance, sa lumière, son intelligence, sa splendeur.

Il était un ange, un des plus beaux, si ce n'est l'un des plus beaux; il était près de Dieu, il recevait tout de Dieu; la lumière de Dieu se reflétait sur lui, il se laissait remplir de lumière, tout n'était que beauté jusqu'au moment où il vit le Fils de Dieu fait Homme, où il refusa d'adorer.

Comme il était fait pour adorer, fait pour contempler Dieu, il refusait d'adorer Dieu et de contempler Dieu, alors tout ce qu'il était, lui, se tourna vers lui-même.

Alors, comme il avait la lumière de Dieu et qu'il ne voulait plus la lumière de Dieu, ce qu'il a tourné vers lui-même, c'est la noirceur : il ne pouvait pas avoir la lumière parce qu'il n'était pas la Lumière, il avait refusé la lumière.

Alors, lorsque vous avez éteint la lumière, il y a eu une pénombre : c'est la même chose; lorsqu'il a refusé la lumière, tout est devenu pour lui noirceur : c'est ce qu'il est devenu.

Alors, il est devenu pour lui-même une noirceur : il est devenu sa propre force, pas la force de Dieu, sa propre force; il est devenu l'orgueil, le moi; il est devenu ce qu'il voulait être : "Puisque je refuse d'adorer Dieu, je vais prendre tout ce que je suis et je vais m'en nourrir" : il se nourrissait de lui-même.

Alors, il fut chassé loin de la lumière, il est devenu les ténèbres, il est devenu une puissance, un pouvoir du mal : il attire à lui, il cherche à attirer à lui hypocritement; parce qu'il ne peut pas le faire dans la lumière, alors il le fait dans la noirceur.

Alors, lorsqu'on dit des paroles, ces paroles doivent être des paroles de Dieu.

Un enfant de Dieu se sert de l'intelligence de Dieu pour se nourrir, mais s'il se sert de ce qui est extérieur et il rapporte ça à lui, extérieur qui rapporte ça à lui : il refait le même mouvement que Satan, Satan qui s'est mis à l'extérieur de la lumière : je refuse.

Il est devenu pour lui-même un être qui se nourrit, mais il ne pouvait pas se nourrir de la lumière, il n'était pas la lumière, la lumière venait de Dieu qui se reflétait sur lui qui le rendait tellement beau, tellement splendeur, mais il ne pouvait plus.

Alors nous, lorsqu'on fait la même chose : "Je suis capable, j'ai de la force", ça vient de l'extérieur, alors Satan, lui, nous prend; alors il nous manipule, il fait ce qu'il veut de nous, il veut nous détruire.

Et son intelligence est au-dessus de nous; il est capable de nous faire miroiter un bien-être; il est capable de nous faire sentir plein de force; il est capable de faire ça parce qu'il prend ce qui est de nous-mêmes, puisqu'on lui a ouvert une porte, et il nous le fait sentir.

Mais ce qui est entré, c'est son pouvoir de manipulation, ça c'est entré; alors, plus il utilise ce qui est bien en nous et plus il prend de la place parce que ça : il l'utilise, ça disparaît; il l'utilise, ça sort de nous.

Est-ce qu'on peut retenir ce qui est de Dieu si on ne l'utilise pas pour le bien? Si on l'utilise pour l'orgueil, si on l'utilise pour soi-même, cela ne porte pas de grâce, c'est comme au tout début, le panier percé.

Alors, tout cela sort, mais lui, il entre autre chose : il entre son hypocrisie, sa haine, les doutes; il veut nous épuiser, il veut nous maintenir dans sa peur, et plus cela se fait et plus nous devenons égoïstes.

Nous devenons des êtres qui sont hypocrites vis-à-vis nous-mêmes, nous ne sommes plus capables de nous maintenir dans l'humilité, nous ne sommes plus capables de nous maintenir dans le don de soi.

Parce que nous sommes enfants de Dieu, nous sommes venus au monde pour faire la même chose que Jésus : donner sa vie pour ceux qu'on aime afin d'aller vers Dieu le Père.

C'est notre but d'aller vers Dieu le Père, mais nous ne sommes plus capables de faire ça.

Pourquoi il y a tant de divorces? Pourquoi on quitte ses enfants? Comment se fait-il qu'une femme qui va travailler à l'extérieur arrive et n'est plus capable d'élever ses enfants? Elle donne ça à la gardienne.

Mais non, elles ont perdu confiance en elles-mêmes; les mères perdent confiance en elles-mêmes vis-à-vis leurs propres enfants, des pères perdent confiance en leur force vis-à-vis leurs enfants, leurs épouses, à cause de tout cela, à cause de toutes ces paroles qui ne sont pas de Dieu, mais de Satan.

Nous sommes entourés de Nouvel Âge, nous sommes entourés du moi : le moi, c'est Satan, c'est son orgueil, c'est lui; il n'a pas voulu adorer Dieu, il n'a pas voulu se mettre à genoux devant le Fils de Dieu fait Homme.

Croyez-vous qu'une personne qui dit 'je suis capable' va facilement se mettre à genoux et adorer Dieu? Elle va développer une suffisance : 'je me suffis à moi-même, je suis capable, je suis forte, je sais me prendre en main, je connais ce qui est bon dans les produits naturels pour me soigner, je fais mes propres régimes,' et on pourrait multiplier cela.

Ça ouvre beaucoup de portes : ces portes, Jésus veut les fermer.

Ces portes ont été ouvertes par Satan et Jésus veut fermer ces portes, et nous ouvrir les portes de la lumière; il veut que nous vivions dans la lumière.

Et il vient avec amour, il ne vient pas nous taper sur la tête, Jésus, oh non, il vient nous dire : «Mes enfants, ne vous laissez pas manipuler; vous vivez dans la confusion, vous êtes tout mélangés : vous mélangez mes lois d'amour avec vos lois humaines; vous avez fait de mes lois, vos lois : je vais vous aider à voir clair».

Ça, c'est notre Jésus d'amour et c'est ce qu'il veut faire tranquillement, et là nous allons guérir, vous allez voir qu'on va guérir! Ça prendra le temps que Dieu veut, mais il a dit à Plantagenet, par Maman Marie, que des maladies vont disparaître à la mesure que nous allons faire disparaître nos idoles, parce que c'est de l'idolâtrie : le moi est de l'idolâtrie.

Plus nous allons faire disparaître cela et plus nous allons nous laisser guérir par les grâces, et plus les grâces vont être en nous et plus nous allons demander des grâces de guérison; plus nous allons demander des grâces de guérison, plus nous allons avoir la foi que Dieu va nous guérir, et nous allons guérir.

Merci Seigneur, merci Esprit Saint.

 

Q.  Jésus a fondé son Église. Est-ce qu'un baptisé, un chrétien baptisé a besoin de l'Église pour aller vers Dieu pour être sauvé?

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Jésus a bâti son Église. Est-ce qu'un baptisé a besoin de son Église pour être sauvé et aller vers lui?

 

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : "Ô Dieu tout-puissant, tu as fait le ciel et la terre, tu as meublé ton ciel, tu as meublé ta terre, tu as comblé les enfants de Dieu de tout ce que tu as meublé, tu es venu nous montrer le chemin de l'amour.

Toi le Parfait, toi le Pur, toi l'ultime Être, tu as montré le chemin, tu as fondé ton Église, parce que tu as fondé ton Église, tu nous as donné tout ce qui est bon pour notre âme, pour notre chair.

Ô chair, incline-toi, car tu as reçu de ton Dieu le sacrement de la Lumière, le sacrement qui te lave de la tache originelle; tu as pénétré les âges, tu as fait de toi la lumière, parce que tu as accueilli la Lumière dans ta vie par un oui d'amour, tu es devenu, non toi-même, mais tu es devenu le Christ, tu es devenu l'Église : tu es lumière dans la Lumière. Tu fais connaître à chaque enfant qu'il faut dire oui à notre Maître, à Celui qui s'est donné par amour pour sauver ce monde."

Jésus est l'Église, Jésus est la puissance de Dieu, nous avons besoin de Jésus pour avoir la vie éternelle.

Lorsque nous avons été créés, nous avons été créés par amour, par le choix du Père pour aller vers lui, mais à cause de la désobéissance, à cause qu'une femme et un homme ont voulu connaître la volonté humaine, nous avons connu le péché de la désobéissance et cela a pénétré en nous et a percé notre cœur, notre cœur d'enfant : il s'y est logé.

Et parce qu'il s'y est logé, nous avons dû marcher sur la terre d'année en année jusqu'au jour où le Fils de Dieu est venu sur la terre pour ouvrir notre cœur, se laisser plonger dans notre cœur et réparer.

Jésus a institué le sacrement du Baptême pour nous, pas pour lui : il est le Fils de Dieu; il n'avait pas commis le péché originel, il était la Divine Volonté.

Nous, nous avons connu la volonté humaine, alors nous sommes venus au monde avec la tache originelle; par le baptême de Jésus, par cette puissance, nous nous laissons prendre par ce mouvement et c'est ce mouvement qui purifie notre âme et la rend belle, la rend pure.

Nous sommes donc enfants de Dieu dans la pureté de ce que nous devons être dès notre venue sur la terre, parce que nous sommes tous appelés à être purs sur la terre; nous ne sommes pas appelés à venir sur la terre et marcher sur la terre en êtres impurs.

Jésus lui-même est venu nous montrer comment marcher sur la terre en êtres purs; alors, il fallait qu'il institue le sacrement du Baptême; nous le portons en nous, nous, les baptisés : nous sommes en Jésus.

Parce qu'à l'instant où nous acceptons le baptême, par nos parents, nous acceptons de mourir en Jésus, de vivre en Jésus, de suivre les dix commandements de Dieu et d'être à la suite de Jésus sur la terre; parce que nous acceptons tout cela, nous acceptons de porter tous nos frères et nos sœurs du monde entier, passé, présent et futur.

Tous ceux qui n'ont pas reçu le baptême sont en nous; ce que nous recevons, ils en reçoivent la grâce jusqu'au moment où ils diront : "Oui, Jésus, je suis à toi", et tout s'accomplit.

Jésus est l'Église, il n'y a qu'une Église et c'est celle de Jésus.

Nous appartenons à Jésus : nous sommes enfants de Dieu le Père, donnés à Dieu le Fils pour nous amener à lui.

Nous ne formons qu'une seule Église, nous n'en formons pas deux; il n'y a qu'une Église, mais à cause de la volonté humaine, il y a des religions.

Alors, l'Église s'est comme multipliée, c'est comme une grande famille : il y a plusieurs enfants; les enfants n'ont que deux parents, père et mère, alors un seul être : l'homme et la femme ne font qu'un seul être.

Donc, les enfants n'appartiennent qu'à ces deux êtres qui ne font qu'un seul être, mais ces enfants ont des opinions différentes : "Moi j'accepte ça", "moi j'accepte pas ça."

Est-ce qu'ils vont renier leurs parents? Est-ce qu'ils vont renier ces deux êtres qui ne font qu'un seul être? Non, parce qu'ils savent qu'il a fallu qu'il y ait deux êtres qui ne font qu'un seul être pour les mettre au monde; alors, c'est l'Église.

L'Église c'est la puissance, c'est Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint Esprit, trois Personnes qui ne font qu'un seul Dieu et qui réunissent tout l'amour pour ne faire qu'un seul amour.

Dieu a sorti de lui cet amour et a multiplié cet amour; chaque enfant choisi par Dieu est son amour.

Alors, il s'est multiplié sur la terre : un enfant, un enfant, un enfant, un enfant, un enfant, un enfant, et les enfants sont venus sur la terre et ils ont vécu leur vie sur la terre jusqu'au moment où ils verront leur vie devant leur Dieu, et là, ils auront un choix à faire : choisir Dieu ou se choisir.

Voyez-vous, lorsque l'être humain voit son jugement, il choisit Dieu ou il se choisit : "Dieu, je suis à toi, je suis ton enfant, je ne suis pas capable, je ne me pardonne pas, je veux continuer à faire ce qu'il me plait, je déteste le bien"; c'est tout l'enfant qui préfère demeurer ce qu'il est.

Alors, Satan le prend; parce qu'il n'est pas à lui, l'enfant ne s'appartient pas, il appartient à Dieu, alors s'il ne veut pas de Dieu, alors il va à un autre : à Satan.

Il ne faut pas laisser faire ça, il ne faut pas perdre un seul de nos frères et de nos sœurs.

Nous n'appartenons qu'à une Église, nous sommes enfants de Dieu, nous sommes baptisés et en tant qu'enfants baptisés nous devons aimer sans condition tous les enfants du monde, tous les enfants du monde.

Ça, c'est ce que Dieu nous apprend, voilà l'Église, la vraie Église : Jésus.

Merci Esprit Saint, merci Seigneur.

Alors, nous allons nous arrêter ici, je crois.

Alors si chacun de nous, nous nous réunissons pour ne faire qu'une seule voix et chanter à Maman Marie : Ave, je crois que tout le monde peut chanter.

 

♪♪♪ :   Ave Maria