Rencontre d'amour avec l'agir de Dieu à Stanstead, Québec,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus.

 

2007-08-26 - Partie 2

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : À chaque fois que Dieu réunit ses enfants, il veut donner encore plus et encore plus; alors, Dieu va nous donner beaucoup.

Il veut vous donner des guérisons et il va faire des mouvements d'amour à l'intérieur de vous, et ces mouvements viendront de la puissance de Dieu lui-même.

 

Jésus : Au cœur même de l'Amour, il y a un mouvement et ce mouvement est en vous.

Petits enfants d'amour, laissez-vous prendre par la puissance du Saint-Esprit, laissez-vous envelopper.

Tout ce qui est autour de vous est pour vous un gage d'amour, un gage qui vous dit : «Croyez, croyez en la Bonne Nouvelle.»

Dieu est bon avec chacun de vous; il vient pénétrer à l'intérieur de vous afin de vous apporter des grâces de paix, des grâces d'amour, des grâces de lumière.

Je suis la Lumière du monde; je parle en vos cœurs, je rends droit ce qui vous a fait souffrir; je fais naître en vous le besoin de vous donner par amour pour Dieu.

Qu'un seul d'entre vous apprenne à se donner à son prochain, il l'apprend de l'Amour : je suis l'Amour.

Je viens apporter l'espérance dans votre monde sans amour, je viens prendre vos souffrances que vous ne m'avez pas données : vous avez gardé pour vous ce qui était à moi.

Il faut que vous vous accomplissiez dans la Volonté de mon Père.

Chacun de vous, vous devez vivre votre vie d'enfant de Dieu sur la terre en accomplissant des actes d'amour : ce sont vos œuvres.

Il n'y a œuvre que si vous le faites dans l'amour, que si vous le faites en ayant la foi que cela fait plaisir à mon Père; si vous le faites sans être convaincu de votre amour pour mon Père, il n'y a pas de joie dans votre vie.

Je suis, moi, Celui qui vient vous apporter de la joie.

Votre bonheur est en vous, mes enfants, mais vous n'y croyez pas; laissez-vous envelopper de ma lumière, recevez des grâces, recevez des grâces de joie.

Laissez-moi prendre vos souffrances, donnez-les-moi; ne gardez pas pour vous ce qui est à moi, j'ai porté ma Croix et cette Croix a été faite de votre croix.

Soyez attentifs aux paroles de votre Dieu, soyez vrais, conduisez-vous en enfants, en enfants dignes de mon Père, et vous, petits enfants qui suivez cet instrument, renouvelez en cet instant votre oui, gardez-vous vrais, il y a guérisons, mes enfants.

Vous me demandez de guérir une personne que vous aimez, vous me demandez une guérison pour vous-mêmes, alors faites-le dans l'amour, dans la joie, dans l'espérance, dans la foi; il y a la foi lorsqu'il y a la joie.

Croyez-vous, mes enfants, que je n'ai pas reconnu la joie lorsque le paralytique a été guéri? Lorsque j'ai guéri l'aveugle, sa joie était si grande! Il faut que vous soyez ainsi, mes enfants, n'attendez pas.

Soyez certains que j'agis dans votre vie, gardez-vous dans cette optique; soyez toujours attentifs à ce qui se passe à l'intérieur de vous.

Quittez ce monde, ce monde ne peut pas vous apporter ce que moi je veux vous donner, ayez les pensées de Dieu.

Lorsque vous me demandez une guérison, alors faites votre acte de grâce, tout s'accomplit comme mon Père le veut; s'il y a des doutes dans votre pensée, rejetez cela, votre chair doit obéir aux grâces de Dieu.

Vous devez être vrais dans votre quotidien; gardez dans votre cœur des mouvements d'amour, gardez dans votre cœur la vérité de Dieu, le don de Dieu.

Vous ne pouvez voir ce que mon Père vous accorde, mais il vous l'accorde; il vous accorde à tous les jours la vie, il vous accorde les grâces de l'amour : il nourrit la vie qu'il vous accorde.

Croyez-vous qu'il vous donne la vie sans nourrir votre vie? Vous êtes vivants, vous êtes à mon Père et mon Père prend soin de ses enfants, tout comme il a pris soin d'Adam et Ève après le péché.

Il leur a donné tout ce qui leur était nécessaire pour connaître l'habitation : avoir de la nourriture, comment se servir d'outils, tout cela venait des grâces de mon Père.

Est-ce que cela aurait changé parce que vous êtes en l'an 2007, mes enfants, après ma naissance? Mon Père a toujours pris soin de vous et il prend soin de vous.

Vous vivez votre vie avec les grâces de mon Père, vous vivez la vie de Dieu en Dieu, enfants de Dieu en le Fils de Dieu; vous êtes tous unis les uns et les autres.

Soyez bons envers vous-mêmes; une seule parole qui est prononcée de vous doit vous nourrir, une seule action faite par vous doit vous montrer que vous appartenez à mon Père; un seul sentiment ressenti en vous vous démontre que vous êtes en relation avec tous vos frères et vos sœurs.

Soyez dans ce mouvement, toute action vient de moi.

Je parle à l'intérieur de vous afin que vous puissiez comprendre la puissance de Dieu.

Vous m'avez reçu : vous avez mangé mon Corps, vous avez bu mon Sang; tout cela est vivant, votre vie est en moi.

J'ouvre en votre intérieur tout ce qui vous est nécessaire pour que vous puissiez vous accomplir au quotidien; demain appartient à mon Père, ne vous appartient pas.

Gardez-vous humbles, gardez-vous comme des petits enfants; ne cherchez pas à devancer la pensée de mon Père, l'agir de mon Père, la Volonté de mon Père, vous allez vous perdre.

Il n'y a pas à vous inquiéter pour demain; il n'y a inquiétude que si vous manquez de foi en l'amour de mon Père et mon Père vous aime, il est un père : un père veut du bien pour ses enfants.

Si vous, les humains, vous vous donnez de l'amour avec des petites attentions, combien plus mon Père vous en donne! L'amour que vous vous servez est de lui, ces attentions sont de lui, ne sont pas de vous : tout est de mon Père, il n'y a rien qui vient de vous-mêmes.

Regardez-vous les uns et les autres : vous regardez en même temps l'agir de mon Père pour vous.

Tout ce qui est abus n'est pas bon pour vous, tout ce qui est égoïste n'est pas bon pour vous; partagez, donnez ce que vous recevez et mon Père vous récompensera.

Il ne vous donnera pas la fortune pour que vous vous perdiez, mes enfants; le bonheur ne se calcule pas avec de l'argent; le bonheur, c'est se donner pour ceux qu'on aime, là est le bonheur : apprenez à vous donner, apprenez à donner de vous-mêmes.

Qui que vous soyez ici, aujourd'hui, vous avez tous une mission : celle de vous donner comme je me suis donné.

Vivez pour l'amour, ne vivez pas pour ce qui est extérieur de vous-mêmes, vous allez continuer à souffrir.

Je viens guérir les cœurs, je viens donner de l'espoir à votre vie.

Vous êtes en la Vie, vous êtes dans un monde qui ne regarde plus Dieu, alors priez pour ce monde, priez pour les enfants de ce monde, car bientôt ce monde, mes enfants, devra se regarder.

Ces paroles sont des paroles de vérité, ce ne sont pas des paroles pour vous maintenir dans la tromperie, Satan vous maintient dans la tromperie.

J'ai toujours été lumière et je suis la Lumière.

L'Évangile, mes enfants, est pour vous vérité, est pour vous lumière; toute parole dans l'Évangile est venue par la puissance du Saint-Esprit qui a rappelé aux apôtres, aux disciples ce qu'il avait en eux, en moi : ils n'étaient plus eux, ils étaient moi, le Christ.

Soyez ainsi, soyez vrais dans tout ce que vous faites; ne regardez pas votre prochain dans ses souffrances, mais donnez-les moi, servez-vous de paroles simples.

Je vous aime, mes enfants, recevez des grâces, recevez les grâces de l'Amour et vous, mes petits qui suivez mes enseignements depuis plusieurs années, recevez vous aussi : tout est nouveau à chaque instant.

C'est moi qui suis la Parole, je suis le Verbe, je suis l'Éternel.

Je viens démontrer à ce monde qu'il ne peut continuer ainsi : il s'est détruit par lui-même; ce monde s'est détruit, mes enfants, et il verra sa destruction.

Recevez mon amour, recevez ma force; votre volonté humaine, mes enfants, doit être donnée à Dieu.

Voyez-vous, j'ai donné ma Vie pour vous sauver; lorsque vous me donnez votre volonté humaine, je vous nourris de ma Divine Volonté, vous avancez dans la foi, dans l'amour; vous ne cherchez plus à vous écouter, vous cherchez à écouter la voix en vous; vous ne voulez plus de votre volonté qui vous fait souffrir, vous voulez de la Volonté de mon Père qui vous accorde à chaque jour ses grâces; vous voulez être vrais.

Il faut que votre chair reconnaisse qu'elle appartient à Dieu, qu'elle se doit obéissante à Dieu; votre chair a été, mes enfants, dans la souffrance à cause de votre volonté humaine.

Je veux marquer votre chair d'un signe d'amour, un signe qui lui rappellera qu'elle a été dans le mouvement de l'amour : la Croix.

Votre chair, mes enfants, a connu la passion et connaît la passion; elle doit reconnaître que la Croix a vaincu le mal, elle doit être obéissante à la Volonté de mon Père, car votre chair, mes petits amours, est appelée à voir la gloire du Christ en elle.

Tout est dans le mouvement de Dieu.

J'ai demandé, par Moïse, à mes enfants de mettre au-dessus de leur porte un signe d'amour; je leur ai demandé de prendre le sang de l'agneau et de mettre cela sur leur tour de porte; ils ont obéi et ceux qui ont refusé : ils ont gardé leur volonté et la Volonté de mon Père leur a montré qu'elle était plus puissante que leur volonté.

Je vous demande, mes enfants, d'être dans la Volonté de l'Amour : acceptez la Croix, acceptez de vous reconnaître obéissants à Dieu, acceptez de vous donner pour vos frères et vos sœurs, acceptez de vous donner de l'amour, acceptez d'être fidèles en tout aux commandements de mon Père.

La chair doit être obéissante comme votre âme, mes enfants; lorsque vous venez à la confesse, votre âme reçoit des grâces et elle en ressort toute belle.

Votre chair doit recevoir ce signe d'amour afin d'avoir une force, car lorsque vous verrez le Fils de Dieu en vous, vous verrez tout ce que vous avez consenti à faire et à ne pas faire.

Une grande joie sera connue en vous, celle d'avoir soutenu vos frères et vos sœurs du monde entier; ils devront vivre ce que vous, vous allez vivre.

Tous ceux qui acceptent ce signe d'amour acceptent déjà la purification, acceptent que Dieu fasse d'eux des mouvements d'amour afin qu'ils puissent se reconnaître être enfants de Dieu.

Je vais demander, mes amours, à mes prêtres de faire sur votre front un signe d'amour : la croix, et cela, mes enfants, c'est le Christ-Prêtre qui le fera.

Adam a sorti mes enfants de la Divine Volonté et moi, le Fils de Dieu, je vais faire entrer les enfants de mon Père dans la Divine Volonté : telle est la Volonté de Dieu.

Vous êtes tous libres, mes enfants, d'accepter cette étape qui marquera votre chair; une lumière que vous ne pourrez voir vous entourera.

Vous porterez sur vous ce signe d'amour et tous ceux qui auront ce signe reconnaîtront que vous avez accepté, tout comme eux, d'être dans l'obéissance totale en votre âme, en votre chair.

Ce mouvement, mes enfants, vous est présenté; à vous maintenant de choisir.

Je vous aime.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Alors, le Seigneur va demander à ses fils, ses prêtres, qui sont consentants, à venir faire le signe d'enfant de Dieu sur le front avec une huile.

Ce ne sera pas une onction, c'est un signe d'amour.

Merci, Seigneur.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Chacun de nous, nous allons essayer de faire de notre mieux avec ce que nous venons d'apprendre, ce que nous venons d'apprendre.

Nous venons d'apprendre que Dieu accomplit des merveilles pour nous, nous venons d'apprendre que nous sommes appelés à une mission, nous venons d'apprendre que nous sommes tous liés les uns aux autres, nous venons d'apprendre que notre quotidien doit être vécu dans les grâces de Dieu, avec les grâces de Dieu.

Nous allons retourner chez nous et nous allons rencontrer des personnes qui n'ont pas entendu ce que nous avons entendu.

Nous allons marcher dans la rue et nous regarderons des regards qui vont nous fuir, alors que nous aurons le goût de leur dire : "Jésus est là, Jésus est en toi", mais nous devrons marcher, nous devrons marcher comme Dieu veut qu'on marche.

Laissons à Dieu ce qui est à Dieu, c'est Dieu qui vient parler dans les cœurs.

Croyez-vous que cela n'est pas agissant ce que nous venons de vivre? Si nous avons reçu des grâces, ils ont reçu des grâces; marchons dans la rue et sourions, aimons, n'attendons pas qu'eux nous sourient, ils n'ont pas entendu ce que vous avez entendu.

Vous devez profiter des grâces que vous avez reçues; plus vous allez vous accomplir et plus Dieu va vous en donner.

Vous allez arriver chez vous, votre mari peut-être n'est pas ici, votre épouse n'est peut-être pas ici ou vos enfants, – c'est qui, qui nous a évangélisés ce matin? Ce n'est pas la volonté humaine, c'est Jésus, c'est le Saint-Esprit, alors laissons à Dieu ce qui est à Dieu – mais montrons, montrons que nous avons reçu, mais avec de la patience.

"Oh! Donne-moi de la patience de me taire Seigneur; donne-moi de l'amour, Seigneur, pour que je lui serve ce bon plat que je viens de préparer avec ton amour"; c'est ce qu'ils ont besoin.

Nous, aujourd'hui, on avait besoin d'amour, on avait besoin d'entendre quelque chose qui fasse bouger notre intérieur : "Enfin, je respire! Enfin c'est vrai, j'ai pas passé toutes mes années à croire à quelque chose qui est peut-être vrai, peut-être pas vrai, non c'est vrai!" Alors, nous avions besoin de ça.

Alors, eux ont besoin de savoir; est-ce que papa, est-ce que maman, est-ce que mon frère, est-ce que ma sœur, est-ce que mes confrères, mes consoeurs, ils m'aiment, ils sont capables d'être avec moi, amour? C'est ce qu'ils ont besoin de savoir.

Et nous aujourd'hui, nous avons entendu que nous vivons dans un monde sans amour; eux savent qu'ils vivent dans un monde sans amour; alors, ils ont besoin d'amour, tout comme nous on a besoin d'amour.

Nous avons reçu de l'amour cet après-midi, alors, si c'est ce qu'ils ont besoin, apportons ce que nous avons reçu : de l'amour.

Ouvrons nos bras comme Jésus a ouvert ses bras, et il a encore les bras ouverts sur la croix, et accueillons-les, offrons notre épaule; eux autres, ils n'ont pas besoin de notre volonté humaine.

Si nous parlons, parlons avec amour comme Jésus nous l'a enseigné, soyons patients comme Jésus nous l'a enseigné.

Quand Jésus allait avec ses apôtres et que ses apôtres avaient de la difficulté à comprendre, savez-vous ce qu'il faisait Jésus? Il leur racontait des histoires, alors racontez des histoires à vos enfants, mais des histoires qui les amènent à s'aimer, pas des histoires comme ce monde nous a appris.

Sachons écouter notre cœur, c'est ce qu'ils veulent entendre, c'est ce qu'ils veulent vivre.

Lorsque nous venons à la messe, nous venons nous nourrir, nous nourrir de la Parole de Dieu, de la Présence de Dieu, alors eux qui ne viennent pas, retournez à la maison et allez leur donner de la nourriture : une nourriture d'amour, une nourriture vivante, une nourriture de présence.

Jésus est présent, alors montrons que nous sommes habités de Jésus : voilà le beau témoignage, voilà la Grande Évangélisation!

Nous devons être des témoins vivants de la présence de Jésus en nous, c'est ce qu'ils veulent; nous devons répondre à leur appel.

Ils ne veulent pas : "Parle-moi pas de tout ce que tu as entendu", ils ne sont pas prêts encore; ne nourrissons pas nos enfants avec un steak, alors qu'ils n'ont même pas commencé à se nourrir avec un pot de bébé; offrons-leur à la cuillère ce petit pot de bébé que nous avons reçu, cette petite alimentation.

Nous, nous avons aujourd'hui été nourris d'une saveur céleste, nous avons été enveloppés de grâces d'amour; alors, c'est ce qu'ils veulent, enveloppez-les de votre regard, montrez-leur que vous êtes attentionnés : "Oh! oui, mon garçon arrive, il m'annonce qu'il veut se divorcer. Oh! oui, ma fille arrive, oh! elle est dans les vapeurs, elle vient de prendre sa drogue. Oui, ma petite-fille arrive, oup, mon doux, regarde donc son tatouage, hummm!"

Eh bien, est-ce qu'ils ont changé depuis hier? Hier, vous les avez aimés, c'est vrai!

Il vient m'annoncer qu'il a, oh, encore une nouvelle amie! Il vient voir maman, il vient voir papa, il vient voir sa sœur, il vient voir son frère, il vient dire : "Moi, malgré la mauvaise décision que je viens de prendre, que tu vas continuer à m'aimer"; voilà ce qu'ils viennent recevoir.

Cela ne sort pas de cette façon, mais ils viennent voir qui? Ils viennent voir quelqu'un qui les a mis au monde, ils viennent voir quelqu'un qui est plus fort qu'eux, ils viennent voir quelqu'un qui approuverait leur souffrance.

Alors, aimons, ce sont des blessés, tout comme nous nous sommes blessés.

Nous avons reçu des guérisons aujourd'hui et ils ont besoin aussi de guérison, ils ont besoin de force, ils ont besoin de prières, alors prions, prions avec notre regard, prions de la façon que nous leur répondons : c'est prière, et lorsqu'ils seront partis, regardez votre crucifix et donnez : "Je te donne ma souffrance parce que c'est souffrant. Je te donne mon enfant. Cette croix qu'on vient me montrer, unie à toi, je te la retourne."

Dieu ne nous demande pas de jeter la personne qui s'approche de nous par terre, il nous dit : «Porte sa croix, fais ce qu'on a fait pour moi.»

Croyez-vous que la personne qui a porté la croix de Jésus était une personne sans reproche? Il avait même peur d'approcher quelqu'un qui portait la croix parce qu'il était pour se faire crucifier : "c'est un damné, c'est un infidèle, il mérite la croix", mais lorsqu'il a vu Jésus, lorsqu'il a goûté à ce Sang, lorsqu'il a vu ce regard, lorsqu'il a été vers cet amour, il a senti : tout a pénétré à l'intérieur de lui, ça a changé sa vie.

Il a porté la croix du Christ avec amour, alors c'est ce qu'ils attendent de nous.

Ils ont besoin d'un regard, alors jetons un regard, sur eux, d'amour; aimons-les tels qu'ils sont : un amour inconditionnel; mais n'aimons pas le péché, donnons cela à Dieu, il l'a porté et il l'a mené à la mort.

Alors, nous devons aimer, nous devons prier, donner et donner, ne pas cesser de donner; c'est le chemin que Dieu nous demande aujourd'hui, demain sera demain.

Vous vous rappellerez, vous vous rappellerez de la Vie de Jésus : demandez-vous, avant d'ouvrir la bouche, avant de prendre une décision : "Qu'est-ce que Jésus, lui, répondrait en ce moment même?" Vous allez voir que vous ne pourrez pas sortir ce que vous aimeriez sortir.

Jésus est doux et humble de Cœur, il ne vient pas pour nous taper sur la tête, il vient mettre des baumes d'amour dans notre cœur pour que notre cœur de pierre se change en cœur de chair.

Eh bien, c'est la même chose qu'il veut que nous fassions à tous les jours : "Toi Jésus tu vis, moi je vis en toi, alors c'est toi qui travailles, c'est toi qui est avec mon prof, avec mon professeur, montre-moi."

Et vous allez voir! Quelqu'un va venir près de vous, il va vous insulter; ça ne vous atteindra pas, pourquoi? Parce que ce sera Jésus qui prendra toutes les insultes et pas vous.

Jésus les a toutes prises.

Oh! vous dites : "Ben voyons donc, je vais tout laisser à Jésus et je n'aurai rien!" Oh! laissez ça, laissez Jésus faire, il va vous en donner, il va vous donner ce que vous êtes capables d'accepter et pas plus.

Il va toujours s'arranger pour que nous soyons dans la paix, et là, plus nous allons être dans la paix et plus nous allons supporter, aimer.

Nous allons prendre sur nos épaules la maladie des autres, la souffrance des autres, ce sera pour nous de la joie; comment cela se fera? Ça, c'est l'affaire de Dieu parce qu'un tel, et un tel et un tel c'est différent.

Le langage de Dieu est un langage qui nourrit, qui rend fort, ça, c'est le langage de Dieu.

Alors, mon père, les prêtres ont un langage qui nous nourrit continuellement.

Savez-vous ce que Jésus dit lorsque je suis devant un prêtre? «Regarde ma lumière, écoute ma lumière, elle te nourrit.» Lorsqu'on s'approche d'un prêtre, on s'approche de la lumière.

Nous devons écouter parce que chaque parole dite par un prêtre nous guérit : pouvez-vous réaliser que nous guérissons?

Lorsque nous approchons un prêtre et qu'il nous parle, je ne parle pas de sa volonté humaine, je parle des prêtres, là, nous recevons, et nous repartons avec des blessures en moins.

Eh bien, il ne faut pas non plus épuiser nos prêtres parce qu'on en a pas beaucoup, alors il faut faire attention; mais ne manquons pas une occasion que le Bon Dieu nous donne lorsqu'il nous fait approcher sa lumière.

Alors, il y en a qui ont une bonne route à faire : trois heures, il y en a d'autres aussi; alors, nous allons repartir avec cette foi en nous.

Nous sommes en ébullition d'amour et ça ne s'arrêtera pas; vous allez voir que les jours qui vont venir, cela va vous apporter beaucoup.

À vous de vous nourrir par la puissance de Dieu parce que le oui vous appartient; ça, c'est ce qui est à nous : un oui.

Il y a aussi ce fameux non qui est là en nous; alors, donnons-le à Jésus celui-là, laissons-le-lui et s'il revient, continuons à le redonner; parce que, croyez-moi, vos pensées, elles vont se faire aller : "Ah, c'est vrai, ah, si c'était pas vrai! Ah oui, regardons ça; ben oui, peut-être, non! Bien, oh, bien peut-être. Ah, si c'était aujourd'hui, mais si c'était pas vrai!" Voyez-vous, à chaque fois qu'il y a ces pensées : je donne. Ce sont des non, des non hésitants, donnez : "Non, Seigneur, c'est à toi, j'offre", alors dites : "Je te donne, Seigneur, je ne veux pas de ça, ne me laisse pas seul, viens me combler, donne-moi ta main"; ça, c'est des soutiens.

Alors, pour une dernière fois, une dernière fois avant de partir, donnons un chant d'amour à celle qui nous a donné son Fils, celle qui a déposé un fiat dans tous les cœurs des enfants de Dieu : le fiat de Marie qui a pris naissance en nous. ♪♪♪