Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Stanstead, Québec,

par son instrument la Fille du Oui à Jésus.

 

2003-07-05

 

Jésus : Je suis avec chacun de vous, Dieu est en votre présence; vous vivez en moi. JE SUIS.

C'est avec ma puissance qu'elle entend ces mots pour vous.

Je me suis donné à vous par les mains consacrées de mon fils choisi, vous m'avez reçu dans la Sainte Eucharistie.

Je suis la Présence et vous, mes enfants, vous êtes la présence en moi.

C'est moi qui vous porte, c'est moi qui vous fais moi par moi, car je suis le Verbe.

J'accomplis la Volonté de mon Père.

Si vous êtes vivants, c'est parce que moi, je suis la Vie.

Tous ceux qui viennent mourir en moi ont la vie : par moi, vous êtes.

Oh! mes amours, voici un temps qui vous fait savoir que vous êtes en ma Présence.

Je sais que vous avez toujours été au courant que moi, votre Jésus, je suis dans la Sainte Eucharistie, mais combien d'enfants, en ce moment même, ne savent pas que je suis en eux!

Vous qui êtes mes choisis, vous qui êtes les enfants de la Lumière, vous portez vos frères et vos sœurs; c'est pourquoi je me fais entendre à vous, afin que chacun de vous portiez mes enfants, portiez vos frères, vos sœurs.

Ces grâces que vous avez reçues par la Présence sont aussi pour vos frères et vos sœurs,

je passe par vous, vous êtes mes membres, je suis l'Église.

Oh! enfants d'amour, je vous demande de vous donner.

Beaucoup d'entre vous consacrent leur vie à vos frères et à vos sœurs.

Je connais vos journées quotidiennes, c'est moi qui les nourris de ma Vie, c'est moi qui vous donne la force d'avancer dans un monde où on a perdu la foi.

Oh! enfants d'amour, persévérez en gardant en vous la foi; persévérez en avançant auprès de vos frères et de vos sœurs qui ont perdu la foi; persévérez malgré toutes les objections qu'on vous fait connaître à cause de la volonté humaine.

Beaucoup d'enfants ont en eux des paroles d'encouragement, mais ces paroles, mes enfants, sont parfois épineuses, car ils veulent vous faire connaître leur opinion à travers ce que eux connaissent.

Moi je suis l'Amour, moi je suis la Vérité, moi je suis la Lumière, je ne veux pas

vous induire en erreur, car je suis la Présence.

Lorsque vous vivez au moment même votre vie, 'au présent', vous êtes avec moi; moi, je déverse en vous des grâces de paix, des grâces d'amour. Lorsqu'un enfant vous parle pour vous conseiller, lorsqu'un enfant vous parle pour vous dire qu'une telle ou telle attitude n'est peut-être pas la meilleure, mes enfants, ces enfants pensent à ce qui va arriver dans le futur, ils utilisent leur volonté humaine : seul Dieu peut connaître l'avenir.

Je vous demande de me donner ces enfants.

À vous de garder la paix, de demeurer en moi, en la Présence, au moment même que vous vivez : là sont les grâces, là est la vie.

Je vous parle de la Présence, de votre présence en vous, en moi qui suis en mon Père.

Un monde d'amour s'ouvre à vous.

Vous êtes en train de vivre ce monde; vous êtes en train de vivre avec ce monde car, moi, je porte tous les enfants.

J'ai purifié toutes actions, j'ai purifié toutes pensées, j'ai purifié toutes paroles.

Lorsque vous êtes en ma Présence, vous êtes; qu'importe les paroles, mes enfants, que vous entendez, si vous êtes en moi; parce que moi je les ai purifiées, parce que vous êtes en moi : vous êtes dans la purification!

Voyez-vous, vous vivez un temps d'amour, un temps de grâces!

Vous portez en vous la présence même de Dieu en connaissance de ce que moi je mets en vous.

Ce que vous pouvez comprendre : que cela soit et ce que vous ne pouvez pas comprendre : donnez-le-moi, car, moi, j'ai déjà purifié ce qui vous est impossible de savoir, ce qui vous est impossible d'analyser, ce qui vous est impossible de comprendre.

Moi seul je porte en moi la justice, vous portez en vous votre oui à l'Amour :

votre consentement à me donner votre vie, à me donner la vie de tous ceux qui sont

autour de vous, à me donner la vie de tous ceux que vous portez en vous.

Petits enfants d'amour, Dieu même est, en ce moment, en vous qui vous parle.

La voix que vous entendez à l'extérieur de vous est un mouvement fait par la volonté humaine dans ma Divine Volonté.

C'est moi qui fais parler cette enfant, c'est moi qui lui dicte ces paroles.

Elle ne pourrait le faire par elle-même; il a fallu qu'elle me donne son oui, son oui à s'abandonner en ma Volonté, à mourir à sa volonté humaine.

Oh! enfants d'amour, beaucoup d'enfants entendent des paroles, beaucoup d'enfants voient des choses, mais si ces paroles ne portent pas ma Volonté, cela ne peut vous apporter des grâces; si ce que vous voyez n'est pas la Volonté de Dieu, cela ne peut vous aider à avancer dans l'amour, dans l'amour pour vous, dans l'amour pour votre prochain. Je vous aime, mes amours.

Tout est en Dieu, chaque mouvement est à Dieu.

Lorsque Dieu est en présence d'un mouvement que vous, vous vous êtes donné, si vous me le donnez, ce mouvement va porter des grâces comme ce mouvement que vous venez d'entendre.

Les hommes ont fait connaître leur volonté en voulant donner au monde des mouvements d'évolution; moi, mes amours, je vous dis, donnez-moi tout, car tout est de moi et tout doit retourner à mon Père.

Je suis la Lumière, je viens éclairer ce monde.

Bientôt, (les enfants de) ce monde verront la puissance même de Dieu se présenter à eux.

Une lumière va percer la voûte de votre ciel, elle va apparaître à vos yeux : elle va vous montrer la puissance de l'Amour, et tous ceux qui seront en moi reconnaîtront l'amour de Dieu pour eux et l'amour de Dieu pour tous les enfants de la terre.

Ce mouvement d'amour sera la Volonté de mon Père.

Quand cela arrivera, vous vous garderez en moi, dans l'amour, dans l'amour de Dieu : vous connaîtrez une paix, une joie.

Tel je l'ai annoncé, tel cela s'accomplira au moment que mon Père le voudra.

Je vous préviens, mes enfants, que ce temps est pour vous.

Il annonce ma venue en les cœurs.

Mon saint Vicaire vous parle d'amour, mon saint Vicaire vous parle de paix.

Je veux réunir tous mes enfants dans mon Cœur, dans mon Sacré Cœur, afin que vous soyez tous un avec l'Amour.

Seul Dieu peut faire ce mouvement.

Il n'y pas de plus grand amour que le mien, il n'y pas de plus grand mouvement d'amour que le mien.

Je  me suis donné à mon Père pour vous prendre en moi et vous présenter à mon Père.

C'est ce que je viens faire en chacun de vous : je viens vous prendre en moi afin que vous ne soyez qu'un avec moi, unis avec vos frères et vos sœurs, et lorsque ce mouvement sera en moi avec tous les oui, je présenterai à mon Père ce mouvement d'amour.

Comme je me présente à mon Père lorsque le prêtre offre mon Corps et mon Sang : je vous prends en moi, je vous prends avec ce que vous êtes, avec tous vos péchés, je vous prends avec ce que vous m'offrez : votre vie, et je vous présente à mon Père, et parce que vous, les enfants de la Lumière, vous consentez à vous donner à moi, je prends aussi tous les enfants que vous portez en vous, et qui n'ont pas prononcé leur oui, et qui ne m'ont pas donné leur oui.

C'est par vous, mes enfants, que je passe.

Mais voici venir le temps de l'amour où moi, Jésus, je vais demander à tous les enfants, s'ils veulent de moi,

s'ils veulent de l’Amour, s'ils veulent me donner leur oui afin que je puisse les réunir avec leur propre consentement.

Oh! amours de ma vie, vous entendez l'Amour vous dire :

C'est à toi que je parle, à toi en particulier qui m'a donné son oui.

Tu es amour parce que c'est moi qui l'ai voulu, tu n'as pu être amour par toi-même.

Tu n'aurais pas pu, tu es trop petit, tu es trop petite, tu es trop fragile, il n’y a que moi qui ai pu faire ce mouvement en toi.

Laisse-moi te couvrir de ma tendresse, de ma douceur.

Je veux te dire combien je suis amoureux de toi, combien je suis ton serviteur.

Oui, je suis à toi, je suis en toi.

Comme je suis venu sur la terre pour servir, je suis en toi pour servir.

Je veux te rendre heureux, je veux te rendre heureuse.

Parce que tu es enfant de Dieu, je veux te rendre tel comme tu es.

Mon Père m'a donné à toi afin que je puisse te transformer en enfant d'amour, en enfant de la Divine Volonté.

Je veux tout faire pour toi, je veux prendre ta vie et la vivre.

Je veux ta volonté humaine.

Donne-la-moi avec ton oui, je veux te transformer en enfant d'amour.

À chaque jour, je veux ton oui.

C'est à chaque jour que je veux te donner le pain de vie, un pain qui te nourrit, qui te transforme, qui te fait moi.

Lorsque tu acceptes de me donner ton oui :

tu acceptes de mourir en moi,

tu n’es plus en toi, tu es en moi,

tu renonces à ta volonté humaine, et moi, je te donne ma Vie, je te donne ma Vie qui est divine,

alors tu viens vivre dans ma Divine Volonté,

et moi, c'est avec amour que je fais tout pour toi;

je prends chaque mouvement de ta vie et l'enveloppe de mon mouvement de vie.

Tu vois l’importance que tu as pour moi? Je t’aime.

Amours de ma vie, vous venez d'entendre des paroles d'amour qui sont des sources de grâces.

Je veux vous nourrir de ma Parole.

Ma Parole est vivante, ma Parole est l'Évangile. Elle est, elle a été et elle sera votre nourriture.

Je vous donne la Présence à chaque instant afin que vous me donniez votre vie et la vie de vos frères et de vos sœurs.

Si vous pouviez voir votre intérieur au moment de vos oui, que de joie mes enfants vous ressentiriez!

Mais moi, mes enfants, je vous retiens dans votre humilité.

L'humilité est une grâce, elle vous montre votre place auprès de mon Père.

Vous devez demeurer petits, tout petits comme un enfant.

Ne grandissez pas et ne demandez pas à Dieu de vous faire grandir.

Laissez à Dieu de décider de votre vie, de la manière que vous devez penser, de la manière que vous devez parler aussi : laissez tout à Dieu.

Soyez témoins de ma Présence en vous auprès de vos frères et de vos sœurs, en gardant le silence avec votre volonté humaine, et prenez parole avec ma Divine Volonté, c'est moi qui veux tout faire pour vous.

Lorsque vous mourez en moi, vous découvrez la vraie valeur de votre vie en moi.

Voilà votre place quotidienne.

Je vous aime, mes amours.

Je vous donne des grâces de paix, des grâces d'amour, des grâces d'abandon, de piété, mes enfants.

Soyez pieux dans la façon de vos paroles en moi, de vos regards, de vos mouvements.

Ma Mère a reçu de nous, la Trinité, des grâces en abondance.

Lorsque vous priez, elle déverse en vous de grâces de piété.

Elle est remplie de grâces, ma Mère!

Ô amours, je vous bénis par les mains consacrées de mes prêtres.

Recevez des grâces d'amour, mes enfants d'amour.

Amen.

 

Bénédiction du prêtre : Que Dieu tout puissant vous bénisse, le Père, le Fils et le Saint-Esprit.

 

Tous : Amen

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit :

Il a donné à chacun de nous des dons d'amour et ces dons d'amour : on doit les faire fructifier, mais pas par nous-mêmes.

Si on compte sur nous-mêmes pour faire fructifier ces dons d'amour : on ne pourra pas les savourer, car on n'aura que notre volonté humaine devant nous.

Dieu demande de s'abandonner en lui pour savourer ces dons d'amour qu'il nous a donnés.

Lorsqu'on donne tout à Jésus, lorsqu'on apprend à mourir en Jésus : on apprend à découvrir qui on est, on apprend à découvrir notre place sur la terre.

Bien souvent, on vit avec des frères et avec des sœurs, mais on ne sait pas tout à fait où vraiment est notre place : on se sent gêné, on se sent complexé; dans tout ça : quelquefois on développe en nous des colères, quelquefois on développe en nous de l'orgueil, quelquefois en nous il y a des mouvements qu'on ne veut pas faire, et pourtant on le fait sans qu'on le veuille,

c'est parce qu’on s'est trop fié à notre volonté humaine depuis plusieurs années.

Dieu nous regarde, il nous aime tel comme on est, il nous accepte tel comme on est.

Mais il est en train de nous faire découvrir quelque chose de merveilleux : l'abandon, mais l'abandon total, ne plus se fier sur notre volonté humaine, mais que sur la Divine Volonté, que sur la Volonté de Dieu.

Vivre sa vie à chaque seconde sans penser à ce qui va arriver dans cinq minutes, c'est ce qu’il veut qu'on vive.

Il veut qu'on vive notre vie en Jésus.

Saint Paul nous l'a dit dans la Bible : «Mourir en le Christ»; alors, Jésus il va nous apprendre.

Il est en train de nous apprendre à mourir en Jésus.

En le Christ : c'est de ne pas vivre avec notre volonté humaine, c'est de la lui donner à chaque instant.

Ah! ce n'est pas facile de donner notre volonté humaine à toutes les minutes, mais on a un ange gardien, il faut s'en servir.

Il faut dire à notre ange gardien : «Présente ma vie à Jésus, donne-lui ma vie à chaque seconde», et notre ange gardien le fait, car il est à notre service aussi.

Il est là pour rendre gloire à Dieu, adorer Dieu, servir Dieu.

Pour servir Dieu, il faut présenter quelque chose aussi à Dieu, alors il nous présente.

Il faut qu'il nous prenne, mais notre ange gardien respecte aussi notre volonté humaine.

Si on ne lui demande pas, bien, lui, il va attendre! Lui aussi il est patient!

Il va attendre qu'on donne notre vie, notre vie humaine.

Quand on la lui donne, il ne l'oublie pas, lui : nous, on l'oublie.

Quand on dit à notre ange gardien : "C'est à toutes les fractions de seconde que je veux que tu présentes ma vie à Jésus", il ne l'oubliera jamais! Chaque fraction de seconde, pensez-vous qu'il va arrêter dans une heure? Mais, non! Alors c'est un contrat pour la vie qu'on lui demande.

Et si on écoute bien Jésus au plus profond de nous-mêmes, on découvre qu'il veut qu'on présente aussi nos frères et nos sœurs, parce qu'il a dit qu'il n'y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ceux qu'on aime : alors on doit aussi demander à notre ange gardien d'offrir la vie de tous nos frères et de nos sœurs à chaque fraction de seconde.

C'est un don d'amour.

Voyez-vous, on n'est pas capable de penser comme cela nous.

Il n'y a seulement que Dieu qui peut nous faire découvrir la vraie valeur de notre vie : la vie en le Christ, la vie en Jésus, et c'est comme ça qu'il nous nourrit et qu’il nous donne.

Quand on donne sa vie, il ne cesse, à chaque fraction de seconde, de nous donner des grâces et aussi pour nos frères et nos sœurs : on ne le réalise pas.

On ne le réalise pas, nous, qu'il nous change; comment voulez-vous qu'on réalise qu'il est en train de changer la vie de nos frères et de nos sœurs? C’est impossible! Alors, on doit accepter de vivre notre vie en Jésus, avec un oui total,  avec de l'abandon, sans chercher à comprendre qu'est-ce qu'il attend de nous, mais en le lui donnant dans la confiance, avec amour, et encore là, c'est lui qui fait tout, même ça, il le fait.

Ce qu'il a besoin de nous, c'est notre oui, et le restant, il se charge de tout.

Il se charge de nous combler, de nous couvrir de son amour, de sa tendresse, il est le Chemin.

On a seulement qu'à donner un oui : il met même nos pieds dans ses pieds, il met même nos paroles dans ses paroles, nos regards dans ses regards.

Il fait tout pour nous : il est venu nous servir, il est venu prendre notre vie et la faire sienne.

Mais il respecte qui on est, il veut qu'on le fasse avec son oui :

notre oui dans son oui.

Quand, au commencement, j'ai commencé à donner mon oui à Jésus, je l'ai fait inconsciemment, je ne le savais pas.

Quand on est jeune, on donne notre oui à Jésus, on est toute petite, tout petit.

Quand on dit à maman : "Maman! oui", parce que maman nous a demandé de faire la vaisselle ou aller chercher quelque chose, quand papa on lui rend un service, on donne un oui, mais c'est un oui quand même d'enfant! On le donne à Jésus parce qu'il est en notre mère et en notre père : il est là; alors on donne un oui, mais un oui qu'on ne connaît pas, c'est un oui d'enfant.

Ce oui d'enfant est là pour faire plaisir, il est là pour rendre service.

C'est un oui qui est beaucoup plus pur que le nôtre parce qu'il est fait avec amour, il est fait avec

désintéressement : il n'attend pas une guérison, il n'attend pas une faveur.

Un enfant n'attend pas ça, il donne un oui.

Alors, tranquillement, il nous fait avancer, et lorsque l'adolescent prononce un oui, savez-vous, c'est un oui de souffrance parce que lui : il veut vivre son oui, il ne veut pas que maman ou papa le fasse vivre; alors quand il consent à dire oui à papa puis à maman, à l'adolescence, alors il commence à piler sur sa volonté, à écraser sa volonté humaine.

Il ne voudrait pas donner son oui, mais il le fait par amour encore, mais ce n'est pas toujours avec gaieté de cœur :

quelquefois, c'est un oui qui est beaucoup plus forcé, qui commence à souffrir, à cause de la volonté humaine.

Il connaît déjà la souffrance, ce oui.

Et lorsqu'on a 30 ans, 40 ans, 50 ans, 60, 80, 90 et plus, là ça devient un oui d'adulte : un oui qui comporte des intérêts.

Savez-vous qu'il y a des personnes qui disent oui et lorsqu'elles rencontrent une maladie ou lorsqu'elles rencontrent un manque d'emploi : leur oui est torturé par l'orgueil, il est torturé par la colère, il est torturé par des intérêts financiers :

ce n'est pas un oui d'enfant, ça devient un oui humain.

C'est plus difficile! c'est ce qu'on vit nous autres! Ça nous a amené pas très très loin! Tous les jours : on est tellement épuisé qu'on est rendu qu'on pense tout le temps au futur, on n'est même pas capable de vivre notre vie au présent parce qu'on n’a pas confiance : on a perdu la confiance en Dieu, on a plus confiance en nous, en notre volonté, qu'en Dieu; ça devient tellement lourd pour nous qu'on en perd la foi : on ne croit plus au bonheur, on ne croit plus aux douceurs, on ne croit plus aux tendresses, on ne croit plus en son prochain, et Dieu, lui, voit où on est rendu à cause de notre oui d'adulte, notre oui humain, et il est patient, il attend.

Mais il est venu un temps où la patience de Dieu va se faire connaître! C'est comme si maintenant elle est arrivée à un point où nous, nous devons découvrir quelle est notre place en Jésus.

On est en train de se perdre, on a de la difficulté à avancer, on est rendu qu'on juge notre prochain, à tort et à travers, à la moindre petite parole, un regard qui ne fait pas notre affaire : on juge.

C'est incroyable, on est des jugeurs tout le temps! On est des mauvais modèles!

Les petits enfants nous regardent, ils ont besoin de modèles d'amour.

Savez-vous qu'ils doivent être déçus? Et inconsciemment, ils sont en train de vieillir.

Oui, l'innocence de l'enfant commence à changer à cause de nous.

Savez-vous que dans nos écoles, on ne répond plus aux besoins de l'enfant?

On est en train de vouloir les faire grandir selon la société.

C'est nous qu'on doit penser à ce qui est bon pour eux! On ne pense plus avec notre cœur, mais avec notre tête, puis nos enfants souffrent.

Ce sont nos petits amours!

Ils ont besoin de tendresse et de douceur, tout comme nous,

nous avons besoin de tendresse et de douceur de Dieu.

Dieu veut nous combler, mais on ne sait pas trop, trop comment accueillir ça.

C'est pour ça qu'on est en train de bifurquer, de prendre des chemins individualistes :

tout pour soi, rien que pour soi, en ne pensant pas à nos frères et à nos sœurs.

Dieu veut nous faire comprendre ce qu'on est en train de faire à notre propre vie et à la vie de nos frères et de nos sœurs.

Il parle dans nos cœurs, il nous fait savoir sa Volonté.

Il utilise des instruments bien petits! Mais Dieu est tellement patient qu'il prend des personnes qui ne connaissent rien, puis il les instruit tranquillement.

Mais lorsque Jésus instruit, c'est tellement accompagné de grâces que les leçons vont beaucoup plus vite que quand c'est les humains qui instruisent. C'est plus vite!

Il est en train de changer le cœur des enfants.

Il se sert de chacun de nous en ce moment : il est en train de mettre des grâces d'amour dans nos frères et dans nos sœurs qui ne prient pas, qui ne vont pas à la messe, même ceux qui parlent contre leur prochain, qui font de la violence.

Jésus les aime, Jésus leur donne des grâces en passant par les enfants de la Lumière, par nous.

Lui peut faire ces mouvements d'amour; nous, on n’est pas capable de le faire, mais lui est capable.

On laisse ouvrir notre cœur pour que lui nous remplisse d'amour pour eux.

Oui, les personnes qui sont ici, les personnes qui ne peuvent pas sortir à l'extérieur, sont remplies d'amour de Dieu.

Dieu prend ces personnes-là et les fait agissantes pour ceux qui sont à l'extérieur et qui se croient bien alertes.

Qui sont les plus agissants? Ce sont ceux qui sont en Dieu.

Ce ne sont pas ceux qui courent après un bonheur extérieur, ce ne sont pas ceux qui cherchent dans le matériel, dans les plaisirs anodins; non, ce sont les personnes qui consentent à prier en Jésus.

Voilà les personnes agissantes dans le monde qu'on vit aujourd'hui.

C'est une ère d'amour, c'est une ère de grâces qu'on vit.

Ça fait depuis combien de temps que notre saint Père voyage, mon père?

 

L'abbé : Vingt-cinq ans, une génération.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Vingt-cinq ans, une génération! Il n'en faut pas plus pour Dieu pour changer le monde.

Notre saint Père a été pour nous le témoin du mouvement d'amour de Jésus en les cœurs.

Il a semé en chacun de nous une semence d'espérance en la venue du Christ en les cœurs.

Il est venu nous parler d'amour.

Il est l'amour même de Jésus sur la terre.

On le voit, on le sent; quand on regarde notre saint Père le Pape, ça vibre! Ce qu'on regarde en lui, ce n'est pas la personne qui est courbée, ce n'est pas la personne qui est malade : on voit la présence de Jésus parmi nous qui vient nous parler, qui vient nous montrer que Jésus est agissant, que Jésus nous veut coûte que coûte. Qu'importe la religion, il vient nous parler; qu'importe s'il y a la guerre ou la paix, il vient nous parler; qu'importe qu'il soit avec des personnes de tous âges ou avec la jeunesse, il vient nous parler.

Notre saint Père est l'homme de Dieu sur la terre; il est pour nous le gage de la présence de l'amour de Dieu sur la terre :

il est en Jésus, il est le choisi, et nous, nous l'accompagnons.

Lorsqu'on se promène avec notre chapelet, avec la croix : nous témoignons de la présence de Jésus; nous témoignons que nous voulons faire ce que notre saint Père le Pape veut que nous fassions : être témoins pour ceux qui nous regardent.

Il est l'amour! C'est contagieux l'amour!

On l'aime notre saint Père et, vous savez, beaucoup de personnes qui ne sont pas catholiques romains aiment notre saint Père.

Savez-vous (pourquoi?) Parce que notre saint Père les aime : il nous apprend à aimer toute race, toute nation, toute langue.

On est un seul peuple : le peuple de Dieu. On est tous enfants de Dieu :

on est tous frères, on est tous sœurs : on n’a pas d'âge.

S'il permet qu'on parle ainsi, s'il permet que le Saint-Esprit nous fasse connaître ses paroles, c'est qu'il est en train de nous préparer à quelque chose de très beau! Ce quelque chose, ce n'est pas à nous de savoir; ce quelque chose, ce n'est pas à nous de l'analyser, parce que ça ne nous regarde pas en tant qu'humain, mais en tant qu'enfants de Dieu, oui : on doit dire oui à tous les jours et, par notre ange gardien, à chaque fraction de seconde.

C'est ça qu’il veut, c'est ça qu'il attend de nous.

Il nous parle à nous, parce qu'il nous prépare.

Il vient un temps, après celui-ci, un temps d'amour où il y aura beaucoup de choix à faire : des renoncements, on ne pourra pas continuer à vivre en ignorant les besoins de nos frères et de nos sœurs.

Vous savez qu'il y a beaucoup de souffrances dans le monde, il y a beaucoup de demandes; nous, par notre volonté humaine, on n’est pas capable de rien faire, mais Dieu oui, et lorsque qu'il nous demandera quelque chose : il faudra dire oui.

On ne sait pas ce qu'il va nous demander, mais il faut se préparer à dire oui : "Oui, je veux."

Tout comme Jésus a prononcé son oui,

le premier oui après le Père; et on sait aussi que le Saint-Esprit, en le Père et en Jésus : il a prononcé son oui avant Marie, et elle l'a reçu pour recevoir ce mouvement d'amour du Saint-Esprit; il a bien fallu que le Saint-Esprit dise oui, et Marie est la première sur la terre à prononcer son oui.

Il y en a eu d'autres avant nous!

Maintenant, nous devons, nous, prononcer des oui suite à ces oui-là.

D'autres vont suivre après les nôtres, on doit les soutenir.

Ce ne sera pas facile pour eux, ça va être très difficile.

Nous, on a appris depuis quelque temps à s'abandonner, mais pour eux : ça va être plus difficile.

Il vient un temps où le signe se fera voir.

Il m'a dit, à la communion, lorsque j'avais les yeux fermés, il a dit : «Mon enfant, un signe d'amour percera la voûte : une lumière.

Vous verrez ce signe, il sera pour vous le gage de ma promesse : "JE SUIS"». Voilà, il a dit ça à la communion.

Je ne sais pas ce qu'est ce signe, mais je n'ai pas vraiment à l'analyser, ce n'est pas ce qu'il m'a demandé tantôt.

J'ai tout simplement vu quelque chose, et c'est tout!

"C'est bien, Seigneur". C'est tout!

On doit dire oui, et on doit l'accueillir.

Ce qui va arriver demain et après demain, on se garde dans l'amour de Dieu, enveloppé dans sa tendresse, dans sa douceur, et c'est tout ce qu'il nous demande! C'est pour ça qu'il fait des rencontres d'amour, c'est pour ça qu'il nous fait entendre des paroles du Saint-Esprit pour chacun de nous, pour chacun de ceux qu'on porte en nous.

Il y a des mouvements d'amour qui se font et qu'on doit accueillir.

Les apôtres ont accueilli ces mouvements d'amour; ils n'ont pas cherché à les analyser, ils ne les comprenaient même pas : ils ont accueilli.

C'est seulement quand le Saint-Esprit a descendu sur eux qu'ils ont commencé à comprendre tout ça : ils ont été témoigner, ils ont été évangéliser. Nous, ce qu'il nous demande, en ce moment même, c'est d'accueillir.

Il nous instruit, c'est bien! On fait ce qu'il a fait déjà.

Il n'y a rien de nouveau dans les mouvements d'amour de Dieu.

Ce n'est pas de la répétition, c'est tout simplement ce qu'il a fait avec ses apôtres; il le fait encore et il le fera, parce que Jésus est un mouvement d'amour.

Jésus est l'Amour qui n'arrête pas, il est éternel, et là, pour nous, on vit au présent : on vit dans ce mouvement, et ce qui va se passer demain, c'est en Jésus qu'on va le vivre, et on doit l'accueillir, on doit le faire, on doit garder sa paix, ne pas se troubler avec ce qui va venir.

 

Jésus : Il n'est pas bon pour vous d'analyser les paroles, elles vous portent à vous inquiéter.

Si vous commencez à analyser ces paroles inquiétantes, vous allez laisser votre volonté humaine prendre le dessus

et, vous, vous n'accueillerez pas mes grâces qui vous préparent à ma venue en vous, en les cœurs.

Ne cherchez pas à savoir ce que demain sera, mais prononcez votre consentement.

Dieu ne force pas, Dieu est un Dieu libre.

Il a laissé Adam et Ève dans leur liberté, et vous, mes enfants, vous devez aussi vivre votre vie dans la liberté.

Cette liberté, laissez-la à Dieu.

Dieu est le seul mouvement qui fait avancer.

Si un enfant analyse des paroles qui semblent inquiétantes, c'est qu'il est entré dans sa volonté humaine.

Il n'est pas dans le mouvement de la vie, dans le mouvement de la liberté :

il se met prisonnier à cause de sa volonté humaine.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Tout est dans le mouvement de Dieu : on doit demeurer libre.

Dieu est le seul qui est libre, il n'y en a pas d'autres.

À cause de notre volonté humaine, on a dit souvent ça cette parole : "Je veux être libre, je veux vivre ma liberté."

Ces paroles n'étaient pas des paroles vivantes.

Il n'y a seulement qu'en allant mourir en Jésus qu'on va goûter à la liberté parce que Dieu le Père est un Dieu libre :

alors il faut aller mourir en Jésus pour goûter à cette liberté.

On a beaucoup à apprendre.

Ce n'est qu'un commencement et c'est à chaque instant qu'on va apprendre, à chaque instant d'amour.

Il va nous faire voir des belles choses, il va nous faire sentir des mouvements qu'on ne peut même pas s'imaginer.

Certains d'entre nous, ici, vivons des choses merveilleuses parce qu'on a prononcé un oui d'enfant, sans forcer, sans analyser.

Il nous les fait voir, il nous les fait comprendre, et ceux qui ne les voient pas et ceux qui ne les entendent pas, ça ne veut pas dire que cela ne se fait pas :

c'est l'âme qui voit tout, qui entend tout.

Regardez vos mouvements, vous ne pourriez faire ces mouvements sans que vous soyez en train de vivre quelque chose de merveilleux.

C'est la merveille des merveilles qui se passe en nous, et on est en train de le réaliser.

Ça fait longtemps qu'on sait que Jésus est notre Sauveur, notre Rédempteur.

Ça, la plupart des baptisés le savent, mais que d'ignorance! On a entendu les sermons de nos bons prêtres, mais on passait trop notre volonté humaine à essayer de comprendre, à essayer d'analyser : on voulait tellement que, quelquefois, pas quelquefois, la plupart du temps, on sortait de là, et on n’avait rien compris.

Oui, on s'en excuse beaucoup, on demande pardon pour tout ça.

Vous savez, on a beaucoup de pardon à dire à nos prêtres.

Ah! mon Dieu! on va avoir nos genoux avec de la corne parce que, vous savez, c'est vrai qu'un prêtre représente le Christ.

Ils sont comme une multiplication de notre saint Père le Pape sur la terre.

Quand il a dit, Jésus : «Je vais multiplier», il n'a pas seulement multiplié les pains, il a multiplié notre saint Père en petits pains, et à nous d'écouter, à nous de savourer tous ces délices-là, mais on ne l'a pas fait.

Il va nous apprendre, tranquillement, à demander des pardons.

Ça, ça va être aussi un renoncement à notre orgueil, à notre savoir, à notre indépendance.

On va apprendre à devenir des tout petits enfants, des petites Myriam et Lisa, des toutes petites filles, des tout petits garçons.

On va devenir des enfants prêts à apprendre à chaque instant.

Tant qu'on ne sera pas dans la pleine transformation, c'est-à-dire, tant qu'on ne sera pas enfants de la Divine Volonté, nous allons apprendre.

On va connaître des belles choses tantôt, nous qui se disons savants avec tout ce qu'on nous a appris!

On a des bibliothèques dans toutes les villes.

Ça remplit des murs et plusieurs murs, là, et pourtant, on est tellement ignorant! On a bourré notre crâne de paroles vides.

Il est temps qu'on laisse remplir notre cœur de paroles d'amour.

Ces paroles d'amour vont être pour nous éternellement, non pas seulement que pour une venue sur la terre et après on ne se sert plus de ça : ça va être des paroles d'amour.

On vit des moments sublimes, des belles leçons d'amour.

Vous savez, lorsque Jésus nous fait vivre au présent : on ne sait pas qui on rencontre, on ne sait pas ce qu'on va dire durant notre journée : c'est ça qui fait qu'en ce moment même c'est merveilleux! Savez-vous que c'est toujours nouveau?

On apprend, c'est toujours merveilleux! À chaque instant, on ne sait pas ce qui va se passer!

Comme c'est ennuyant, vous savez, de se lever le matin puis d'analyser notre journée.

Qu'est-ce qu'on va faire? Avant même de se lever, on pense à tout ce qu'on va faire, et si ça n'arrive pas, on est déçu, ou si on n’a pas eu le temps de faire ce qu'on a voulu, on est encore déçu : alors on est toujours déçu.

Il va falloir lâcher prise, il va falloir vivre minute par minute, si on ne veut pas avoir des ulcères! La santé va dépendre de nous.

Jésus est en train de nous faire découvrir la vraie valeur de notre vie.

S'il veut que notre intérieur soit dans l'amour de Dieu, c'est qu'il veut que tout notre corps soit en santé.

Ça va de pair : s'il soigne notre âme, c'est qu'il va soigner notre corps.

Combien demandent la guérison du corps avant la guérison de l'âme? C'est comme s’ils voulaient mettre la charrue avant les bœufs. – Ça, c'est bien québécois, hein! – Mais, c'est ce qu'on a toujours fait.

Il va falloir se remettre à sa place, aller en arrière.

La charrue, c'est nous ça, puis les bœufs, bien ce sont nos demandes; vous savez, les bœufs ce sont des bêtes qui travaillent, ce sont des bêtes de somme : alors nous, nous devons diriger nos demandes.

Dieu nous a dit : "Demande et tu recevras", et nous, on a dit : "aide-toi et le Ciel t'aidera".

Il va falloir qu'on apprenne à demeurer à notre place, en arrière, et laisser passer en avant les demandes utiles qui vont nous faire avancer.

Si on demande quelque chose pour notre corps, on va avoir de la difficulté à avancer.

Pourquoi? Parce qu'il n'y aura rien en avant de nous autres qui va nous aider.

Si on est en arrière et on laisse passer en avant la nécessité : les demandes pour notre âme,

eh bien, là, on va pouvoir plus facilement avancer.

Si notre âme reçoit des grâces de force, des grâces qui vont nous faire voir la lumière de Dieu, eh bien, ça va être plus facile durant notre journée d'avancer : on va laisser passer notre âme en avant et notre nous en arrière, on aura moins de difficulté à avancer, et notre corps, lui, va être moins fatigué.

On va avoir une meilleure santé à la longue.

Notre corps va redevenir en santé.

On a trop souvent voulu mettre nos propres demandes corporelles avant nos demandes spirituelles.

Et pourtant, il nous l'a dit! combien de saintes et de saints nous l'ont fait savoir? On était trop sourd! Eh oui! on n'avait pas demandé à notre âme l'écoute, alors notre corps voulait, lui, s'écouter.

Notre volonté humaine a détruit notre corps.

Dieu veut qu'on donne toute la place pour l'âme, et c'est notre âme qui, elle, va nous donner, va nous nourrir.

Il faut que ce soit notre âme en premier, c'est elle la plus importante, ce n'est pas notre corps.

Dieu est la Patience.

Nous, nous devons aussi être patients.

Notre âme va se nourrir de grâces et il va falloir qu'on soit patient pour voir les résultats qu'on va obtenir pour notre corps.

Ça va prendre de la patience.

Eh bien, Jésus prendra le temps que ça voudra parce que lui, il sait nos besoins, il connaît tout notre intérieur et notre extérieur; il sait, dans sa divinité de vue, ce qui va se passer dans une semaine, un mois, un an, dix ans, il le sait lui, et c'est pour ça qu'il va falloir tout lui laisser.

Ça prendra le temps que ça voudra, il faut lui faire confiance, il faut s'abandonner.

Toutes ces belles journées qu'on a en ce moment de rencontres d'amour, c'est un pas qu'on fait : on laisse notre âme se nourrir en ce moment même. Ce n'est pas notre corps en ce moment qui est en train de recevoir, c'est notre âme.

D'ailleurs, on peut le sentir : on a une soif d'entendre Dieu nous parler, on a une soif de connaître la Volonté de Dieu et pas notre volonté.

Vous ne voulez pas, vous, savoir ce que moi je suis et ce que je fais, vous voulez savoir ce que je vais sortir : les paroles que je vais sortir.

Mais ces paroles-là ne viennent pas de moi, elles viennent du Saint-Esprit.

Je ne sais pas ce que je vais dire, qu'importe!

Le Saint-Esprit, lui, vous nourrit et c'est ce que vous voulez entendre : la nourriture de Dieu.

Beaucoup de nos frères et de nos sœurs ne sont pas prêts encore d'entendre ce que vous entendez : une personne, comme eux, parler et se dire être en Jésus! Non! Ils ne sont pas prêts encore à ça! C'est pour ça qu'il fait réunir des groupes et qu'il vous choisit pour que nous, ensemble, en Jésus, on puisse les aider à accepter ce mouvement d'amour qu'il nous fait connaître.

Ce sont des paroles qui portent à nous aimer les uns les autres.

Il y a d'autres personnes, vous savez, qui sont comme moi, qui sont comme vous, et qui veulent entendre Dieu.

Ça se propage partout.

On court les pèlerinages pour voir l'agir de Dieu parce qu'on a découvert quelque chose qu'on ne pouvait pas penser.

Et pouvez-vous vous imaginer? Aujourd'hui même, Maman Marie se sert de pierres pour parler.

Lorsqu'une statue suinte, c'est une pierre de plâtre et ça suinte : ça parle! Lorsque des images se mettent à suinter, c'est comme des pierres, il n'y a pas de vie!

Et pourtant, on le voit, on le sent.

Souvenez-vous lorsque Jésus, il a dit aux gens de la ville qui lui demandaient de faire taire les enfants qui criaient "Hosanna", c'était à l'entrée à Jérusalem, il a dit que s'ils arrêtaient de crier, les pierres crieraient :

eh bien! les enfants ne crient pas assez! Il est obligé de se servir de pierres!

Aujourd'hui, on court, nous, après l'agir de Dieu comme ça, partout, pour voir ce que Dieu fait pour nous.

Il veut nous faire avancer avec lui pour nous amener à la rentrée de sa Terre Nouvelle.

Lorsqu'il s'est promené avec ses apôtres, Jésus il a été de ville en ville parler, enseigner, annoncer la bonne nouvelle.

Eh bien, qu'est-ce qu'il fait en ce moment même? De ville en ville, il fait connaître sa Parole, il fait connaître ses enseignements qu'il a donnés.

Il fait connaître l'annonce qui est sa venue en les cœurs.

C'est le même mouvement qui se reproduit et on va entrer avec Jésus dans sa Terre Nouvelle, en les cœurs, et là, il n'aura plus besoin des pierres parce que c'est nous qui allons crier : "Hosanna au plus haut des cieux."

C'est ce qu'on va crier nous aussi : on va le crier dans nos cœurs.

On ne pourra pas se retenir, car lorsqu'on va voir Jésus Glorifié : on va le glorifier, on va avoir soif de le crier, nous aussi, l'Amour.

Voyez-vous que tout est un mouvement continuel?

Nous allons être bénis.

De génération en génération, Dieu a fait descendre sur nous des bénédictions afin de nous amener au Royaume de Dieu.

On a entendu aujourd'hui Isaac qui a fait descendre la bénédiction de Dieu sur son fils.

Lui, Isaac, avait choisi Ésaü, Dieu avait choisi Jacob.

Dieu veut choisir tous ses enfants, il ne veut pas seulement les descendants de David, il veut tous les enfants du monde entier, car nous sommes tous les choisis de Dieu.

Mais, parmi nous, il y aura aussi des enfants qui diront non à l'amour de Dieu.

Quand cela arrivera, ce mouvement d'amour sera en nous aussi, parce qu'on portera tous les enfants de la terre : il y aura aussi un cri de douleur qui se fera entendre.

Ce cri sera prononcé par les enfants qui diront non.

Vous savez, lorsque Ésaü a su que son frère avait reçu la bénédiction, il a crié de douleur.

Mais voici venir un temps d'amour pour nous où on n’entendra plus le cri de douleur de ceux qui auront dit non, car cela sera impossible pour nous, car nous allons vivre dans la Divine Volonté où le mal n'existera plus.

C'est le mal qui va crier, ce n'est pas les enfants de Dieu.

Comprenez ce que l'Esprit-Saint veut nous faire comprendre.

Tout enfant qui sera en présence même de Dieu découvrira la grandeur de la puissance de Dieu dans le bien, et tout enfant qui dira non à Dieu ne sera plus en présence de Dieu : il sera avec le mal.

Le bien sera retiré de lui totalement, il ne sera pas enfant de Dieu, car il aura refusé de se reconnaître dans le bien qui était son héritage.

L'héritage de Dieu est pour chacun de nous, pour tous les enfants.

Lorsque l'enfant prodigue a voulu vivre sa vie loin du Père, il a connu la douleur et lorsqu'il est revenu vers le Père, la joie l'a envahi.

Il a été enveloppé de la tendresse du Père, il n'a plus pensé à ce qu'il avait vécu, car cela ne lui appartenait plus, c'était du passé.

Ça va être la même chose pour chacun de nous.

Nos frères et nos sœurs qui diront non seront du passé, on ne se souviendra plus :

telle est la Volonté de Dieu.

 

Jésus :

Je parle dans les cœurs pour faire savoir qu'en chacun de vous vous portez des enfants qui vont dire non.

Je vous prie, mes enfants, de les porter jusqu'à la dernière fraction de seconde,

car telle est la Volonté de mon Père.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit :

Je vous aime. Soyons amour et gardons-nous tous réunis dans le Cœur de Jésus.

 

Merci, Seigneur.