Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Sainte-Cécile-de-Milton (Québec)

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus.

 

2004-12-04 – P.M.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Beaucoup de grâces nous sont accordées : il y a des grâces de paix, de lumière, de guérison; lorsque Dieu parle de guérison, il pense à l’âme, il pense à notre chair.

Notre chair a souffert à cause de nos pensées; notre chair a souffert à cause de ce que nous avons entendu; notre chair a souffert à cause de nos actions : tout cela a pénétré en nous parce que nous l’avons fait pénétrer en nous.

Lorsque nous étions très jeunes, cela a pénétré en nous sans que nous, nous puissions nous défendre; seule la prière aurait pu nous défendre : la prière que les parents doivent prononcer pour que les anges protègent leurs enfants.

Dieu a tout prévu pour chacun de nous au moment où nous venions en ce monde.

Dieu instruit chacun de nous en ces temps; ces temps sont des temps de grâces, des temps de libération : Dieu veut nous libérer de nos souffrances, Dieu veut nous libérer de nos douleurs : douleurs du cœur, douleurs physiques.

En chacun de nous, nous portons beaucoup de douleurs causées par nos péchés : ce sont les conséquences de ce que nous avons fait dans le passé, ce sont les conséquences de ce que nos parents ont fait, de nos grands-parents, de nos arrière-grands-parents et nous pouvons reculer jusqu’au premier : premier qui a été la désobéissance.

À cause de la désobéissance, Adam et Ève ont dû quitter le Paradis, mais aussi, ils ont été retirés de la Divine Volonté; la Divine Volonté les enveloppait, leur donnait la connaissance de tout ce qui était bien pour eux; la Divine Volonté prenait tout ce qu’ils étaient afin qu’ils soient amour, afin qu’ils soient complets, parfaits comme le Fils, parfaits comme Marie en Jésus : cela était pour les êtres d’amour, c’était notre mouvement à chacun de nous.

Aujourd’hui, à cause de la désobéissance, nous vivons tous dans notre volonté humaine,

et notre volonté humaine nous fait souffrir.

C’est notre volonté humaine qui a eu un choix (à faire) : le choix de choisir entre ce qui était bien ou mal.

Mais nous, lorsque nous étions tout petits bébés, nous ne savions pas que le mal était en nous, nous ne savions pas que les conséquences du péché faisaient partie maintenant de notre vie : même dès notre naissance; voilà pourquoi tant d’enfants viennent au monde avec des maladies, voilà pourquoi tant d’enfants viennent au monde avec des souffrances mentales et physiques alors qu’ils sont innocents, alors qu’ils n’ont rien fait de mal.

Nous, les parents, nous devons prier afin que nos enfants souffrent moins, afin que nos petits-enfants souffrent moins, parce que, eux comme nous, nous portons la trace du péché : notre chair porte la trace du péché.

Tous, nous avons entendu parler du péché, mais nous n’avons pas compris les conséquences de ce que le péché a fait à nos parents, à nos arrière-grands-parents, à nos arrière-arrière-grands-parents : tous ceux qui sont venus après nos premiers parents, Adam et Ève.

Aujourd’hui, Jésus nous parle de la conséquence due au péché, Jésus nous dévoile toutes ces choses afin de nous préparer à ce qui vient.

En ce moment même, plusieurs d’entre nous qui ont entendu parler des enseignements de Jésus, plusieurs d’entre nous qui ont voulu comprendre les enseignements de Jésus, plusieurs d’entre nous qui ont accepté de vivre en Jésus la purification, sont en train de vivre leur libération : libération de la souffrance due au péché, libération des conséquences dues au péché.

Chacun d’entre nous a accepté de voir, chacun d’entre nous a accepté d’entendre.

Dieu respecte, Dieu ne force aucun de ses enfants à voir et à entendre, c’est nous qui avons donné notre oui; Dieu ne nous a pas forcés, il nous a appelés; lentement, il nous a appelés à suivre son chemin de vie, il nous a parlé de la porte étroite : cette porte étroite, c’est le chemin de la Croix.

Lorsque nous entendions parler du chemin de la Croix, souvent on ne voulait pas, on ne voulait pas connaître cette souffrance que Jésus, lui, connaissait et connaît : on ne voulait pas souffrir à cause de nos péchés.

Dieu nous dit : «Mes enfants, regardez-vous : vous vivez votre souffrance dans le silence de votre intérieur, car votre intérieur souffre du manque de votre acceptation.»

Lorsqu’on accepte de souffrir en Jésus, on reçoit les grâces, et notre intérieur souffre moins : on découvre la paix, on découvre ce qu’est se donner pour les autres, alors Dieu comble.

Lorsqu’on donne, Dieu, lui, comble parce qu’il veut qu’on continue à donner; il ne cesse jamais, Dieu le Père, de nous donner des grâces.

Il nous a appris par son Fils à lui demander des grâces dans le “Notre Père”.

Nous demandons à Dieu de jeter un regard sur nous, d’étendre sa miséricorde sur nous, de nous faire comprendre que nous sommes à lui, qu’à lui, qu’il est notre Père et qu’il nous aime envers et contre nous-mêmes.

Malgré toutes nos erreurs, Dieu le Père continue à nous aimer; malgré toutes nos erreurs, Dieu le Père continue à nous combler de ses grâces : quotidiennement nous recevons des grâces, sans cesse; Dieu le Père ne cesse de nous accorder ce qui nous est nécessaire pour vivre notre journée.

Si, aujourd’hui, nous regardons nos souffrances, nous devons aussi regarder toutes les grâces que Dieu nous a accordées; Dieu le Père nous a donné beaucoup afin que nous puissions poursuivre notre chemin avec son Fils.

Comme il a comblé son Fils, il nous comble.

Il a soutenu son Fils : pas un instant Dieu le Père ne s’éloignait de lui, pas un instant Dieu le Père ne lui donnait pas son amour afin qu’il poursuive sa Passion; alors il le fait pour nous : pas un instant Dieu le Père n’est pas avec nous, il nous regarde, il prend soin de chacun de nous et il nous donne ce qui nous est nécessaire.

Malgré que nous ne tournons pas notre regard vers son Fils, malgré que nous n’avons pas tourné notre regard sur lui, lui nous regardait, lui nous aimait, lui nous disait :

 

Dieu le Père : «Enfant d’amour, tu es à moi; je t’ai donné mon Fils. Parce que je t’ai donné mon Fils, je t’ai donné une partie de moi : tu es en moi, tu es amour parce que je suis Amour, tu es vie parce que je suis Vie, tu es grâce parce que je te comble de grâces. Oui, tu es grâce lorsque tu te donnes pour tes frères et tes sœurs : tu deviens un don de toi-même; je te nourris de mes grâces et tu deviens pour eux un moyen d’accéder au Père. Dieu est amour pour toi, Dieu veut te combler; continue à avancer sur les pas de mon Fils, car la lumière est toi; tu acceptes d’être lumière pour toi et pour ceux que tu portes en toi. Dieu est amour, Dieu est le Tout et toi, tu es un tout en Dieu; par mon Fils, tu es venu à moi, par mon Fils, je t’ai appris à me prier, par mon Fils, Dieu t’appelle : mon enfant

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Ces mots sont des mots pour chacun de nous; Dieu lui-même vient à nous, nous parler; il accepte d’être pour nous un Guide d’amour : à nous de prendre ses grâces, à nous d’être comblés par Dieu le Père.

Mais nous lui devons beaucoup, nous lui devons la vie : la vie en Dieu; chaque pas que nous faisons est un pas vers notre propre vie éternelle, chaque mot que nous disons est un mot qui nous démontre que Dieu nous aime.

Dans notre vie nous avons prononcé des mots qui n’ont pas toujours été amour.

Combien d’entre nous avons jugé notre prochain? Combien d’entre nous avons été en colère? Combien d’entre nous avons rejeté l’amour de Dieu en disant des paroles contre l’Église? Combien d’entre nous avons douté des commandements de Dieu?

Nous avons voulu justifier notre conduite en essayant de nous prouver que les commandements de Dieu n’étaient pas pour nous, nous avons voulu justifier avec des mots notre conduite, alors que Dieu le Père continuait à nous aimer; Dieu le Père déversait des grâces de miséricorde en nous afin que nous puissions comprendre que nous étions dans l’erreur : Dieu nous démontrait à chaque instant qu’il nous aimait.

Il n’a pas cherché à détruire notre vie puisque nous sommes ici à écouter sa Volonté, parce que toutes ces paroles sont du Saint-Esprit; pas un seul mot n’est connu en moi et en vous, parce que moi, tout comme vous, nous entendons ces mots pour la première fois; ces mots coulent à l’intérieur de moi comme une source d’amour et se fait entendre pour chacun de nous parce que ces mots nous appartiennent; ces mots, c’est nous qui les entendons à l’intérieur de nous.

Dieu déverse en nous, en ce moment même, des grâces d’abandon, de lumière, des grâces de bonté : nous laissons à l’intérieur de nous couler ces paroles afin d’être enveloppés du Saint-Esprit.

Tout nous est donné en ces temps de grâces afin que nous puissions comprendre

ce que nous sommes en train de vivre : notre propre purification.

Nous sommes dans un mouvement qui nous fait avancer; nous ne pouvons pas demeurer sur place parce que nous sommes vivants, nous sommes en Jésus, nous vivons en Jésus; parce que nous acceptons d’être en lui, nous acceptons notre purification.

À tous ceux qui veulent comprendre, Dieu dépose des grâces en eux afin de s’accomplir; chacun de nous doit vivre ces moments d’amour en Jésus pour ce qui vient.

Ce que nous sommes en train de faire présentement, c’est la Volonté de Dieu le Père; Dieu le Père lui-même a décidé de ces moments, Dieu le Père lui-même a réuni qui nous sommes ici aujourd’hui et dans les autres rencontres, afin que nous puissions vivre notre purification et préparer nos propres enfants à vivre leur propre purification.

Nos propres frères et sœurs, à l’intérieur de nous, qui ont délaissé leur religion catholique, nos propres (frères) et sœurs qui jettent un regard de loin vers Dieu sont en nous; eux aussi, il faut qu’ils vivent leur purification; par nous, Dieu leur donne des grâces : c’est un mouvement d’amour.

Dieu le Père savait tout ce que nous nous étions pour accepter en ce temps, Dieu le Père avait préparé chacun de nous à nous donner pour eux.

Dieu le Père a déposé en nous des grâces de lumière afin que nous puissions voir notre intérieur, car nous vivons maintenant de notre intérieur : nous avons tourné notre regard en nous et nous avons détourné notre regard de ce monde.

Nous ne pouvons plus retourner en arrière, car maintenant nous savons ce qui vient, nous savons que la Grande Purification va se faire bientôt, notre bientôt : c’est pour notre temps.

Lorsqu’on accepte de vivre notre purification, lorsqu’on accepte les grâces de lumière, de paix, et que nous vivons dans la paix, malgré nos souffrances, c’est que c’est commencé.

Nous vivons, en ce moment, ce temps de libération.

Dieu libère tranquillement, sûrement, notre chair du mal, de tout ce que notre chair a connu à cause du péché.

Dieu est en train d’irradier par un feu d’amour ce qui a pénétré en nous à cause de nos pensées, à cause de ce que nous avons entendu, accepté de faire, négligé aussi de faire.

Oui, nous avons fait beaucoup d’actions contre nous, nous avons fait beaucoup d’actions contre notre prochain, et lorsque nous faisons beaucoup d’actions contre nous et notre prochain, nous faisons des actions contre Dieu.

Nous avons aussi omis de faire de bonnes actions pour nous, pour notre prochain : combien de fois, nous (qui) savions que nous devions rendre service, nous avons détourné nos pensées vers autre chose pour ne pas y penser? Alors, nous n’avons pas aidé notre prochain : cela aussi doit être donné à Dieu, cela aussi doit être libéré de notre chair.

Dieu va nous faire comprendre tout cela : lorsqu’à l’intérieur de nous s’éveillent des actions qui ont été contre nous et que ça nous fait mal d’y penser, il ne faut plus maintenant les rejeter loin (en nous) pour les oublier : nous n’avons plus le droit maintenant d’oublier.

Dieu fait surgir en nous des actions oubliées afin que nous puissions les lui donner, afin que nous puissions laisser Jésus sortir de nous le mal, libérer notre chair, purifier par un feu d’amour ce qui nous fait souffrir en nous : ce sont des mouvements pour notre purification.

Maintenant que notre chemin est en Dieu, tout est à son Fils : nous devons tout lui donner, nous ne devons plus baisser la tête, nous ne devons plus nous cacher; nous devons regarder ce que nous sommes devenus à cause de ce que nous avons laissé entrer en nous, soit en connaissance de cause, soit par ignorance : à Dieu de nous purifier, à nous de (tout) lui donner.

Dieu attend de chacun de nous nos oui.

Dieu a parlé dès le commencement du oui à l’Amour; il fallait que Jésus nous parle du oui à l’Amour; il fallait qu’il nous fasse découvrir notre intérieur : lui en nous et nous en lui, et nous en lui avec tous nos frères et nos sœurs; il fallait que cela se fasse, il fallait que nos oui soient connus de nous; mais pour dire un oui, il fallait aussi que nous apprenions qui nous étions, d’où nous venions, ce que nous faisions sur la terre et où on devait aller.

Tout cela Jésus nous en a parlé, il a pris des mots d’amour; il nous a appris cela avec des gestes de miséricorde, des gestes de paix, de libération, afin de nous apprendre à nous connaître; nous avons appris qu’à l’intérieur de nous, il y a tous nos frères et nos sœurs; qu’ils ont fait des actions, tout comme nous nous avons fait des actions bonnes et mauvaises.

Dieu nous a instruits sur nous-mêmes : il nous a parlé des mouvements d’amour, il nous a révélé la présence de Dieu le Père dans notre vie, la présence de Dieu le Saint-Esprit dans notre vie, sa présence continuelle; oui, Dieu le Fils nous a parlé de sa présence en nous.

Nous avons avancé, depuis quelques années, dans ses enseignements d’amour; ils nous ont révélé, à nous, notre intérieur : tout a été pour nous des enseignements d’amour.

Dieu nous a fait voir combien, nous, nous avons été contre nous; Dieu nous fait voir que maintenant Dieu veut que nous soyons pour nous un être d’amour.

Par sa miséricorde, Dieu nous apprend à nous pardonner.

Dieu veut que nous puissions prononcer des mots d’amour pour nous, en nous; avant que nous puissions sortir de nous des paroles qui vont aider nos enfants, il faut que nous cessions de souffrir, il faut que nous cessions de regarder nos douleurs avec des mots de reproches, de culpabilité; Dieu ne veut pas que nous puissions nous regarder en ayant pour nous des paroles qui vont nous blesser.

Depuis quelques semaines, Dieu nous parle de nos pensées, pensées qui ont été en nous, pensées que nous avons acceptées en nous et qui venaient des autres; tout cela est en nous et parce que cela est en nous nos enfants ont eu des pensées contre eux, ont eu des pensées contre l’Amour.

Alors Dieu le Fils nous dit : «Enfant d’amour, moi qui suis en toi, j’ai vécu avec tes pensées, j’ai regardé ta vie et je l’ai nourrie de mes grâces, je t’ai donné ma propre Vie afin que tu sois sauvé, j’ai déversé en toi des grâces de force, mes grâces de miséricorde, afin que tu puisses être à la hauteur de ton repentir, afin que tu puisses être à la hauteur de ta purification, car ce qui t’appartient est ton oui, et la Purification va se faire par moi et non par toi : à moi de te libérer et à toi de tout accepter sans condition.

Je t’ai parlé d’amour afin que tu puisses t’aimer, afin que tu puisses aimer l’être que tu es, comme tu es.

Moi, je t’aime comme tu es; je n’ai pas accepté le péché en toi mais toi, toi l’être de mon Être, toi à qui j’ai donné la Vie, je t’ai porté avant que tu ne sois dans le sein de ta mère, avant que tu ne connaisses le péché, avant que tu ne connaisses les souffrances : je connaissais tout de toi.

Aujourd’hui, je te parle pour que tu puisses te reconnaître dans ce que tu es, non pas pour que tu puisses t’accuser, non pas pour que tu puisses te faire souffrir, je te parle pour que tu puisses t’abandonner entre mes mains, t’abandonner totalement avec ce que tu es.

À moi de te transformer : je veux que tu me donnes tout de toi.

Chaque pensée que tu vas découvrir et qui ne sera pas amour, je vais t’apprendre à me la donner afin que j’enlève de toi la souffrance, afin que je ferme des portes au mal en toi; plus que tu vas me donner tes pensées qui ont été contre l’amour, des portes vont se fermer au mal, et, moi, je vais prendre toute la place en toi, et le bien va surabonder en ton être, ta chair va en profiter; plus que tu vas me donner tout cela, et plus ta chair va connaître le repos, plus ta chair va connaître la libération, et ta chair va devenir une chair sans douleur.

Le processus est commencé, il faut continuer maintenant que tu as appris à me donner ton oui; il faut que tu fasses, à chaque jour, des pas vers la lumière, car tu es dans la lumière : avance, je te guide, je te montre comment faire, ce n’est qu’un début.

Ne crains rien pour ce que tu ne vois pas, car lorsque tu ne vois pas ce qui est en toi, c’est que c’est mon Père qui le veut; c’est l’Esprit Saint qui ne te le montre pas, puisque tu n’es pas encore assez grand pour cela : tu es un enfant d’amour, il faut que tu t’abandonnes.

Dieu seul sait ce qui est bon pour toi, il faut que tu connaisses ce que je te prépare, et cela se fait par moi.

Chaque fois que tu acceptes un enseignement, chaque fois que tu acceptes de te laisser envelopper par la puissance du Saint-Esprit, je fais sortir de toi des paroles qui sont entendues par toi à l’extérieur et tu avances vers ta purification; tant que tu ne seras pas totalement purifié, je vais continuer, je vais continuer à te faire avancer car j’ai besoin de toi.

En toi, il y a tant d’enfants qui n’ont même pas entendu parler que je vais me montrer en eux bientôt, qu’ils vont voir leur vie, qu’ils vont devoir choisir entre moi et cette vie sans amour : ces enfants sont ignorants de ce qui vient mais toi, toi qui as accepté, aujourd’hui tu vois et entends.

Tu acceptes de voir les conséquences de tous tes péchés, tu acceptes d’aller vers mes prêtres pour obtenir des grâces, car lorsque tu regardes ce que tu as fait et que tu vois qu’à cause de tes pensées tu as calomnié mon Église, tu as calomnié ta propre famille, tu vas, après avoir vu, vers mon prêtre pour obtenir des grâces sanctifiantes qui purifient ton âme, et ta chair est entre mes mains; moi Jésus, moi le Ressuscité, je mets en toi un feu d’amour : un feu de miséricorde, et ta chair connaît la libération.

Il faut que tu acceptes tout cela pour eux, pour ceux que tu aimes; il faut que tu acceptes tout cela parce que mon Père t’a choisi : avant même que tu sois en ce monde, tu avais été choisi pour ce que tu vas vivre avant les autres; et lorsque viendra le moment de la Grande Purification, tu connaîtras une joie si grande que je vais déverser en toi des grâces de ma Présence, grâces de lumière par la puissance du Saint-Esprit, grâces d’amour par l’amour de mon Père afin que tu vives ce moment : toi et moi dans la joie, toi et moi dans la gloire.

Crois et tu verras ta gloire, tu sauras que tu es en moi et que tu vois ma Gloire : tu es à moi, tu n’appartiens qu’à moi, tu n’appartiens plus à ce monde, tu ne fais plus partie de ce monde, car ce monde ne sait pas qui il est, car ce monde a renié qui il était.»

À nous maintenant de vivre ces moments d’amour pour ceux que nous aimons parce que chacun de nous tenons beaucoup à nos enfants, à nos petits-enfants, à nos frères et à  nos sœurs; nous serons des témoins d’amour, des témoins d’enfants de Dieu; nos paroles seront ce que nous serons; nos gestes seront ce que nous sommes : nous serons des êtres faits à la grandeur de Dieu le Père.

Dieu le Père est avec nous; Dieu le Père, en ce moment même, étend sa main sur nous; en ce moment même, il me montre une main : cette main est ouverte et elle se plie tranquillement sur nous.

Dieu dit : «Rien ne pourra maintenant vous détourner du regard de Dieu, rien ne pourra vous empêcher d’arriver à la Purification : telle est ma Volonté. Souvenez-vous de ce moment, il vous sera utile, mes enfants.»

Dieu nous fait comprendre que ces moments sont pour nous. Amen.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Il a choisi l’instrument que je suis, il a choisi chacun de nous : moi et vous, c’est comme si nous ne formions qu’un seul instrument.

Lorsqu’il m’a retenue depuis 2001 à la maison, afin que je puisse entendre la voix à l’intérieur de moi et écrire ces paroles, nous étions tous ensemble : cela a été voulu de Dieu; il préparait chacun de nous à entendre sa Volonté, il préparait chacun de nous à accepter sa Volonté, il préparait chacun de nous à vivre notre purification : cela ne pouvait pas se faire pour moi seule, car l’instrument que j’étais était associé à chacun de vous.

Lorsque j’entends à l’intérieur de moi des mots, c’est parce qu’ils sont en vous ces mots lorsque nous sommes ensemble; lorsque le Saint-Esprit me fait entendre ces mots et que ces mots font partie de mon être comme s’ils étaient ce que je suis, c’est que chacun de nous, nous sommes en le Saint-Esprit, chacun de nous, nous sommes la Parole du Saint-Esprit.

On ne peut pas être les un uns sans les autres; je ne peux pas répéter ces mots sans vous, (il faut) que vous soyez là parce que ces mots font partie de chacun de nous, parce que ces mots forment notre vie; alors, lorsqu’ils sont entendus à l’extérieur de nous, c’est nous-mêmes qui les formons ces mots.

Le Saint-Esprit est la Puissance, il est Dieu; il connaît ce que nous, nous pensons; il connaît nos souffrances parce qu’il connaît notre chair; tout ce qui a été en nous depuis Adam et Ève, il le connaît, Dieu, parce que Dieu est Dieu; alors il fait sortir de nous ce qui nous habite et il ne forme qu’une parole, parce que ne nous formons qu’un seul corps : c’est le Corps de Jésus.

Lorsque nous disons oui à Jésus, nous n’acceptons plus d’être nous-mêmes, nous acceptons d’être lui; alors, nous ne formons qu’un seul corps : c’est celui de Jésus.

Voilà pourquoi nous entendons ces paroles et que nous entrons dans ces paroles parce qu’elles nous appartiennent, parce qu’elles sont nous-mêmes; nous ne pouvons pas nier notre nous-mêmes; nous avons soif de connaître qui nous sommes, nous avons un besoin d’entendre et de comprendre : nous voulons vivre.

Maintenant que nous savons qu’un grand mouvement se prépare sur toute la surface de la terre,

nous nous sommes mis tous ensemble pour ne former qu’une seule parole pour l’entendre,

 pour faire ce que Dieu nous demande.

Lorsque nous acceptons de donner à Jésus une seule de nos pensées qui surgit en nous, que ce soit une pensée contre notre mari, que ce soit une pensée qui nous amène à acheter quelque chose d’inutile, que ce soit une pensée qui nous porte à avoir de la jalousie, que ce soit une pensée qui nous donne le goût de manger quelque chose qui n’est pas bon pour notre foie, que ce soit une pensée qui nous amène à découvrir ce qui n’est pas bon pour notre famille, eh bien, cette pensée doit être donnée à Jésus.

Nous n’avons plus le droit de dire : "Ah! moi, ça ne vient pas de moi parce que je ne suis pas jalouse. Ah! moi, ça ne vient pas de moi parce que je n’ai pas mon mari, il est décédé. Oh! ça, ça ne vient pas de moi parce que je n’ai pas d’appétit!" Nous n’avons plus le droit de dire cela parce que, en nous, ces pensées nous habitent.

En nous, nous avons, sans nous en rendre compte, accepté des paroles des autres, et elles ont pénétré dans notre intérieur : que ce soit quand nous étions tout petits et que maman disait des paroles contre papa, nous les avons entrées en nous et nous les avons cachées en nous : cela va surgir; que ce soit parce que nous avons vu un film où il y avait de la jalousie, et que ces paroles sont entrées en nous : cela va surgir; que ce soit des paroles de blasphèmes : cela va surgir parce que nous les avons aussi entendues : tout cela nous habite et nous allons maintenant consentir à tout laisser à Jésus.

Comment va-t-on faire maintenant avec tout cela? Lorsqu’une pensée surgit à l’intérieur de nous, que nous réalisons que cette pensée n’est pas bonne, alors tout de suite, nous allons dire : "Jésus, cette pensée, je te la donne, enlève-la de moi. Jésus, j’ai eu aussi d’autres pensées comme cela, elles sont en moi : viens, Jésus, les arracher de moi; Jésus, beaucoup de personnes sont en moi et elles ont les mêmes pensées que moi, alors je te donne ces pensées : viens, Jésus, leur donner des grâces par le sacrement du Baptême; Jésus, enlève-leur le mal; viens les libérer, Jésus"; nous devons consentir à donner tout cela à Jésus.

Maintenant que nous avons dit ces paroles, ça ne nous appartient plus, cela appartient à Jésus; si encore les mêmes pensées reviennent, alors donnez-les à Jésus parce que, n’oubliez pas, tant que nous allons porter des enfants à l’intérieur de nous, des frères, des sœurs qui n’ont pas tout donné à Jésus, ça va encore nous habiter.

Nous allons devoir les donner constamment à Jésus, mais il ne faut pas s’étourdir non plus, il faut attendre que cela surgisse en nous; si nous commençons à nous asseoir et à analyser toutes nos pensées, eh bien, nous allons être bien fatigués parce qu’au bout d’un mois, nous allons être assis encore parce qu’il y en a des pensées à l’intérieur de nous : nous portons tous nos frères et nos sœurs du monde entier; alors laissons cela à Dieu : vivons cela dans la paix.

Dieu lui-même se charge de (nous faire) faire notre purification.

Ce qu’il attend de nous, ce sont des oui, alors nous devons les lui donner, mais soyons attentifs à ce qu’il va nous montrer, à ce qu’il va faire surgir de nous et gardons notre paix.

Lorsqu’à (l’extérieur) de nous, il y aura des paroles qui viendront : soit par nos propres enfants, notre mari, notre épouse, soit par une annonce qui nous vient (par les médias), soit par quelque chose qu’on vient de regarder et qui porte un écrit, et que ça réveillera en nous quelque chose : c’est que ça veut rentrer en nous, ça veut pénétrer notre intérieur.

Maintenant que nous savons, nous devons dire : "Jésus, je ne veux pas que cela entre en moi"; vous allez voir que le Saint-Esprit va vous faire comprendre cela, car vous allez en avoir connaissance.

Nous devons dire : "Jésus, cela ne m’appartient pas, je n’en veux pas", mais en même temps souvenez-vous que nous avons souvent regardé les annonces et c’est entré en nous, alors profitons-en pour donner à Jésus tout ce qui a pu entrer; tout ce qui a pu nous nuire, il faut le donner à Jésus et il ne faut pas oublier ceux que nous portons en nous parce qu’eux aussi ont vu beaucoup d’annonces : nous devons donner cela à Jésus, c’est notre purification.

Cela se fait comme Jésus le veut, pas comme nous, nous avions pensé que cela était pour être.

Il faut laisser à Dieu ce qui est à Dieu, mais il faut s’accomplir aussi, c’est à chaque jour que nous devons faire des pas.

Si nous devons faire des pas, ils doivent être à la grandeur de Dieu, pas aux nôtres, parce qu’il y en a qui vont s’apercevoir qu’ils ont fait telle ou telle action, alors qu’un autre ce n’est pas encore en lui; c’est parce que chacun doit vivre sa propre purification (et) parce que Jésus connaît aussi chacun de nous : cela va se faire à notre rythme à nous.

Il ne vient pas, Jésus, nous parler pour nous faire souffrir, il ne vient pas nous demander au-delà de ce que nous, nous ne sommes pas capables de faire : Jésus le sait, lui.

Aujourd’hui même nous entendons des paroles; certains d’entre nous les comprennent d’une telle façon, et si on allait chez le voisin, à côté de nous, on verrait que cela est différent pour l’autre, parce que Dieu nous connaît.

Souvenez-vous que, tantôt, le Saint-Esprit nous a dit qu’il nous connaissait : il connaissait toutes nos pensées, il connaissait tout ce qui nous a fait souffrir dans notre chair à cause de ce que nous avons laissé entrer en nous et que nous avons en nous sans que nous, nous le voulions, eh bien, cela est différent pour les uns et pour les autres, il faut tout donner à Dieu.

La Purification, c’est Jésus qui la fait pour nous, c’est lui qui va purifier notre chair, ce n’est pas nous, mais à nous par contre de nous donner sans cesse.

Alors, Dieu dit : «Maintenant, prenez un moment de repos.»

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Nous donnons (de la paix) à nos frères et à nos sœurs : à chaque fois que nous ressentons la paix, la paix descend sur ce monde; qu’un seul enfant soit dans la joie, nous le ressentons tous en le Corps du Christ; qu’un seul enfant ressente la paix, nous le ressentons tous dans le Corps du Christ.

Alors, arrêtons-nous un seul instant pour penser que lorsque nous, nous consentons à donner notre vie à Jésus, Jésus prend notre vie, et ce n’est plus nous qui vivons, c’est Jésus; alors Jésus ressent la joie et cette joie se fait ressentir en tous les enfants du monde : lorsqu’ils verront Jésus en eux, cette joie sera connue d’eux, cette joie fera partie d’eux et la Purification sera moins douloureuse pour eux.

Dieu dit : «Mes enfants, soyez en joie et dans la paix; vivez ces instants d’amour; j’ai donné à votre intérieur tant d’amour, donnez à votre tour.»

Avant que la messe commence, il veut expliquer combien c’est important de s’abandonner dans son mouvement d’amour : mouvement vivant, mouvement qui est pour nous un mouvement de donation.

Jésus va se donner à nous, il va se donner pour que nous soyons vivants en lui.

C’est nous qui allons aller en lui, mais c’est lui qui va nous prendre, c’est lui qui va (nous faire) participer à la messe, c’est lui qui va nous faire comprendre l’importance de toutes ces paroles.

Ces paroles viennent du rite de la messe : c’est sacré la messe; la messe, c’est un mouvement d’amour qui prend notre vie et qui la rend rayonnante; la messe, c’est pour nous un mouvement en Jésus, et Jésus est tout-puissant, il est le Fils de Dieu, il est Dieu : il nous fait entrer en lui pour vivre une partie de sa Vie, à lui.

Et nous, nous vivons notre vie : depuis que nous sommes en ce monde, Jésus est en nous, il vit notre vie; mais lorsque c’est la messe, nous vivons la Vie de Jésus : nous nous arrêtons pour vivre sa Vie.

Voyez l’importance de la messe : Dieu veut qu’on participe à sa Vie à lui lorsqu’il était sur la terre.

Il nous fait vivre son mouvement d’amour : il nous parle de sa miséricorde par les Écritures.

Il nous parle de notre choix de vie lorsque nous consentons à donner nos oui pour les prières universelles.

Il nous parle à travers sa Parole : elle est vivante sa Parole, elle est vraie, elle nous nourrit.

 

Il nous amène sur le Calvaire : au pied de sa Croix nous vivons sa mort; au pied de sa Croix, Jésus laisse couler son Sang sur nous; réalisons que nous sommes en la Vie de Jésus et que c’est nous qui sommes là, en sa Vie : alors, tantôt, nous ne serons pas ici à cet instant, et cela nous sera connu; nous saurons que nous avons été sur le Calvaire, au pied de la Croix.

Lorsqu’il a donné son Corps et son Sang, lorsqu’il est mort, nous y étions; ce moment est important dans notre vie, ce sont des grâces pour nous, ce sont des mouvements en Jésus, en la Vie de Jésus; et tout cela nous est donné, nous est accordé à nous, des simples humains, de participer à la Vie de Dieu, du Fils de Dieu fait homme; tout cela nous est donné : à nous maintenant de nous donner avec humilité en laissant notre intérieur grand ouvert à ces grâces.

Nous ne devons pas porter notre pensée vers ceux qui sont à l’extérieur de nous, nous ne devons être qu’à Dieu (le Fils) pour la plus grande Gloire de son Père, car son Père veut nous accorder des grâces au moment de l’Action de grâce pour nous afin que nous puissions connaître une vie meilleure, une vie éternelle.

La messe, c’est précieux dans notre vie spirituelle, précieux dans notre vie temporelle, mais plus grand encore pour l’éternité.

Chaque fois que nous aurons participé à la messe, Dieu dit : «Ce sera un mouvement d’amour pour l’éternité», et il nous y fera plonger; nous allons nous laisser plonger dans son infini amour lorsque nous vivrons dans l’éternité, et cela nous fera grandir.

Et à chaque fois que nous allons goûter cet amour, une autre messe sera dite et nous la vivrons avec ce que nous avons reçu et nous y goûterons : cela sera un mouvement dans l’éternité.

Nous ne pouvons pas comprendre, mais nous ne pouvons qu’accepter ce que Dieu, dans l’Esprit Saint, nous fait entendre pour nous : Dieu dit que lorsque la messe sera terminée, tous ceux qui n’ont pas reçu le signe d’enfants de Dieu pourront le recevoir.

C’est Jésus lui-même qui en a décidé parce que Dieu le Fils fait la Volonté de Dieu le Père, et Dieu le Père veut que nous soyons marqués par son Fils, sur le front, d’un signe de la croix.

Nous sommes les élus, les choisis pour vivre en êtres immortels sur la terre, vivre en son temps d’amour, en Jésus; il nous a dit la semaine passée que c’est le temps millénaire; cela est pour nous et tous ceux qui ont ce signe sur le front sont les choisis.

Nous devons nous donner à Jésus, c’est notre choix; chacun, nous devons choisir si nous voulons de ce signe.

Plusieurs d’entre nous ici avons déjà été marqués du signe d’enfants de Dieu; ce signe ne se fait qu’une seule fois, mais parce que Dieu nous aime, il nous accorde des grâces lorsque nous le recevons encore pour nous et pour ceux que nous portons en nous, et pour ceux qui ne l’ont jamais reçu, cela signifie que Jésus lui-même nous marque au front du signe des élus de Dieu.

Lorsque viendra le temps de la Grande Purification, beaucoup de forces nous seront accordées; lorsque viendra le temps où la terre se laissera purifier, nous qui serons marqués du signe sur le front, ainsi que tous ceux qui portent un oui en eux, eux aussi seront marqués du signe d’enfants de Dieu sur le front, soit par Jésus, soit par les anges : rien ne les frappera; les anges ne les toucheront point; la nature ne touchera pas les enfants de Dieu, car nous serons tous en Jésus.

Pour ceux qui ne savent pas, c’est avec une huile, une huile qui vient du Ciel que nous sommes marqués.

Jésus a choisi ses prêtres; par le sacerdoce, ils ne sont plus eux, mais Jésus : voilà pourquoi c’est Jésus lui-même qui nous marque.

Cette huile coule des statues, et c’est pour nous; cette huile est bénie par le sacerdoce du prêtre, ce n’est pas une onction, c’est une huile bénie par la puissance du sacerdoce, et nous recevons une bénédiction.

Ce signe doit être pour nous un gage des promesses de Dieu, car il est dit que tous ceux qui entreront seront bénis de Dieu, comme les Israélites, ils ont été bénis de Dieu lorsqu’ils ont accepté, avec le sang de l’agneau, de marquer le seuil de leur porte; cela signifiait qu’ils étaient choisis afin d’entrer dans la Terre Promise; alors, nous aussi, nous sommes choisis afin d’entrer dans la Terre Promise.

Maintenant, nous allons, si vous le voulez bien, nous garder dans le silence afin qu’on puisse préparer la table, la table qui va recevoir la Présence de Dieu et qui va nous recevoir parce que nous sommes tous invités à la Table de Dieu.

Merci.