Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Saint-Janvier, Québec,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

 

2003-11-01    

 

Jésus : Dieu veut étendre ses mains sur chacun de nous afin de faire la Volonté de son Père : «Mon fils, donne à mes enfants par tes mains consacrées les grâces de la lumière afin qu’ils puissent ouvrir leur cœur à ce qu’ils vont entendre.» Par la puissance de l’Amour, je viens vous parler par cet instrument d’amour.

Ce monde, mes enfants, ne croit plus qu’à lui-même.

Ce monde, mes enfants, ne fait que sa volonté.

Ils ont laissé de côté mes préceptes d’amour; ils n’ont plus foi en mes sacrements; ils ne viennent plus puiser à la source même, ce qui est nécessaire pour vivre en enfant de Dieu.

Être enfant de Dieu : c’est apprendre à s’aimer, c’est apprendre à se donner comme moi, Jésus, je me suis donné.

Je viens vous parler, mes enfants, dans votre cœur, car je parle en vous, j’agis en vous.

Votre vie est en ma Vie : c’est moi qui suis la Nourriture vivante.

Si vous êtes présents ici, c’est que c’est moi qui vous y ai amenés, tout comme je prends soin de mes enfants qui ne viennent plus à l’Église, qui ne veulent plus suivre mes commandements, qui refusent d’entendre d’autres enfants leur parler de Dieu.

Mes enfants, sur votre terre, il y a des enfants qui croient, qui croient qu’il y a un Être supérieur à eux.

Ces enfants sont des tout-petits qui ont accepté d’être à l’écoute d’un Être supérieur à eux.

Ils sont des êtres bien différents de vous par leur façon de vivre, par leur façon de s’exprimer.

Ces enfants ont gardé en eux la simplicité.

Ces enfants n’ont pas connu, pour la plupart, ce qu’était la richesse.

Ils se vêtissent, à chaque jour, de ce qu’ils ont bien souvent porté la veille.

Ils n’ont pas comme vous l’eau en abondance.

Ils n’ont pas cette abondance de diversité de nourriture à chaque repas.

Ce sont des enfants qui ont comme nourriture ce qui pousse bien maigrement dans leur pays, et, bien souvent, leur gouvernement ne peut pas les aider, ou ils sont sous la tutelle de personnes qui ne pensent qu’à gouverner avec un pouvoir de dictateur.

Oh! mes enfants, vous qui êtes dans un pays riche, vous qui avez connu la liberté, vous avez à chaque jour dans vos maisons tout en abondance, tellement, mes enfants, que vous ne savez même pas comment vous vêtir, car vous en avez trop : le choix est trop grand.

Votre nourriture, mes enfants, est selon ce que les exportations viennent vous apporter : vous avez tellement de choix que vous en abusez.

Oh! enfants d’un monde qui a oublié que tout vous vient de Dieu,

je vous annonce, mes enfants, que vous allez connaître la pauvreté.

Enfants d’amour, lorsqu’on connaît la pauvreté de l’intérieur par votre propre choix : n’est-il pas de rigueur de connaître ce qu’il y a à l’extérieur? Vous êtes à l’intérieur ce que vous êtes à l’extérieur : vous êtes de l’extérieur ce que vous voulez être à l’intérieur de vous.

Il faut apprécier ce que vous avez en ce moment et rendre grâce à Dieu.

Il faut partager ce que Dieu vous a donné afin d’avoir plus.

Lorsqu’on donne, Dieu donne.

Mais voyez-vous,  votre monde vous a appris à ne pas faire de l’abus dans vos dons : il contrôle votre argent, il contrôle votre consommation, il contrôle votre vie, et vous vous dites libres.

Non, mes enfants, lorsque vous êtes dans votre propre richesse, vous êtes à la merci de ceux qui vous les ont procurées.

Vous n’êtes pas libres.

Celui qui, à chaque jour, se lève en ne pensant pas comment il doit se vêtir, celui qui ne pense pas comment obtenir encore plus d’argent pour pouvoir conserver ce luxe qu’il y a autour de lui, celui qui se lève le matin en ne pensant pas à ce que demain sera afin qu’il puisse conserver sa maison, son auto : lui est libre, lui a la paix en lui, lui vit son quotidien, car il sait que l’Être supérieur va prendre soin de lui.

Mais vous, mes enfants d’amour, vous avez peur!

Vous avez peur de perdre ce que vous avez acquis.

Combien ici présents avez entendu vos parents parler de privation, parler de crise? Vous avez connu, vous-mêmes, ce qu’était la pauvreté; oh! pas aussi grande que les pays du Tiers-Monde, mais vous avez connu la privation et, aujourd’hui, comme vous connaissez l’abondance : vous avez peur de perdre tout cela.

Mais, mes enfants, réalisez que vous avez perdu ce qu’il y a de plus précieux : la foi, la foi en Dieu.

Ce n’est pas par vos moyens que vous allez retrouver la foi; ce n’est pas en vous déclarant des enfants de Dieu et en étant dans l’abondance, en voulant conserver ce que vous avez accumulé; non, mes enfants d’amour, c’est en donnant tout à Dieu, en lui faisant confiance.

Heureux ceux qui ont faim, c’est moi-même qui vais leur donner à manger.

Heureux ceux qui, aujourd’hui, pleurent parce qu’ils n’ont pas le bonheur sur la terre,

moi, je vais leur donner le bonheur sur la terre, car ces enfants se reconnaissent malheureux sans Dieu.

Heureux ceux qui veulent être des enfants de Dieu comme ils sont : tout petits, humbles,

Dieu va les combler de ses grâces, afin qu’ils puissent vivre en Dieu dans un renoncement total de leur être.

Tout cela, mes enfants, est pour votre présent.

Vous devez connaître qui vous êtes sur la terre afin que vous puissiez venir goûter à toutes les splendeurs que Dieu veut vous faire connaître.

Je ne parle pas pour que vous, vous demeuriez vous-mêmes dans cette abondance avec votre volonté humaine : ne vous prenez pas pour des petits dieux.

Vous avez acquis un semblant de bonheur avec votre matériel : tout cela n’a fait que vous éloigner de moi.

C’est moi, votre Dieu, qui suis vivant en vous, qui parle par cet instrument, qui vous parle et qui vous dit ces paroles :

«Laisse tout et suis-moi; viens en toi.

Renonce à tout ce que tu as accumulé avec l’argent, moi, je veux te donner tout ce que mon Père m’a donné.

Le bonheur sur cette terre est pour toi, il faut que tu viennes mourir en moi, que tu renonces à tout ce que tu as connu.»

Je sais, mes amours, que ces paroles vous sont connues.

Je sais, mes amours, que vous voulez vivre en moi, mourir en moi; mais comme c’est difficile pour vous de réaliser que vous allez bientôt être dans la pauvreté!

Je vous dis, mes amours, que ce monde de richesse va devoir choisir :

 vivre en moi, Jésus, avec humilité, renoncer à soi-même pour Dieu.

C’est difficile pour chacun de vous, n’est-ce pas? Mais c’est moi qui vais vous aider.

Beaucoup d’enfants ont commencé à donner leur oui avec toute leur âme, leur force, tout leur esprit pour mourir en moi, Jésus.

Ils ont commencé à le faire avec un oui d’enfant, et ce oui commence à grandir.

Ils voient autour d’eux cette abondance et ils commencent à renoncer à tout cela, pour moi, et moi, je les couvre de mon amour.

Ils commencent à entendre ma voix qui leur parle.

Ces enfants entrent dans la Divine Volonté parce qu’ils renoncent à leur volonté humaine.

Ce n’est qu’un commencement, car d’autres vont venir, d’autres et d’autres.

Mes enfants, je vais vous revêtir de mon amour.

Je vais vous montrer combien il est bon de vivre en Jésus, de tout abandonner pour moi.

Cela vous apparaît, avec votre volonté humaine, compliqué.

Lorsque votre volonté humaine se met à s’apeurer, donnez votre oui et dites :

"Je te donne ma vie, Jésus. Je ne sais pas ce que tu attends de moi, mais qu’importe, je veux être tout pour toi. Toi, tu sais mieux que moi ce qui s’en vient. Je te donne mon oui d’amour.

Apprends-moi à renoncer à tout cela pour toi."

Oh! mes amours, je parle à travers cet instrument pour vous, je parle à travers d’autres instruments pour vous.

Ce monde est en train de se laisser transformer par la Divine Volonté; bien que beaucoup de mes enfants de la Lumière résistent, bien que beaucoup de mes enfants choisis, de mes élus, ne veulent pas croire à certaines de mes paroles.

Ces enfants sont en ce moment même en train de choisir.

Ces enfants : je connais leur oui, leur oui s’est donné, mais il est si petit qu’ils hésitent, ils calculent, ils regardent, ils ont peur et se demandent si tout est vraiment de Dieu ou si la volonté humaine ne passe pas.

Ils ont de la difficulté à s’abandonner.

C’est à l’intérieur qu’ils vont trouver la réponse en s’abandonnant, non en disant leur doute à d’autres personnes, leur opinion qui viennent de leur volonté humaine.

Croyez-vous que votre volonté humaine va laisser sa place aussi facilement que cela? Cela se fera à chaque jour et c’est moi, le Fils de Dieu, avec les grâces de mon Père qu’il vous donne quotidiennement, que je vous transformerai.

Il faut que vous passiez par le Fils pour faire la Volonté de mon Père.

Mon Père m’a envoyé sur la terre parce qu’il voulait que vous passiez par moi,

le Fils bien-aimé du Père.

Enfants d’amour, lorsque je parle à mes instruments d’amour, je les enveloppe de ma puissance et eux vous font savoir ce qu’il y a en eux qui vient de moi, Jésus, pour vous faire avancer.

Je vous dis, mes enfants, que je vis en vous, que lorsque je parle à un instrument d’amour, je dis à cet enfant ce qu’il doit entendre pour vous afin que vous vous nourrissiez de mes paroles.

Oh! je pourrais vous parler à chacun de vous, mais, voyez-vous, votre faiblesse humaine, votre volonté humaine, met tellement d’obstacles entre ma Volonté et ce que vous, vous voulez entendre!

Il y a des enfants, sur la terre, choisis par mon Père, qui reçoivent des messages.

Ces messages leur sont dictés par la Divine Volonté et moi, Dieu, je ne me contredirai pas par ce que je dicte à un ou que je dicte à un autre.

C’est vous, mes enfants, qui devez laisser votre intérieur ouvert à la lumière laisser, par votre consentement, le Saint-Esprit vous nourrir : c’est le Saint-Esprit qui vous couvre, qui vous fait voir la lumière.

Si cette enfant entend ma voix, c’est qu’elle est enveloppée du Saint-Esprit.

N’ai-je pas annoncé à mes apôtres que le Paraclet viendrait sur eux? N’ai-je pas dit : «Je pars vers mon Père, mais je vous envoie celui qui vous éclairera»? 

Je parle à chacun de vous, je suis en vous, je suis en mon Père, le Saint-Esprit est en vous.

Nous sommes en votre présence, nous vous nourrissons de nos grâces d’amour, nos grâces de lumière.

Lorsque vous prononcez votre oui, vous consentez que votre vie ne soit plus dans votre volonté, mais dans notre Volonté.

Vous êtes en train de vivre, mes enfants, une transformation annoncée par ma Mère.

Vous vivez ce temps d’amour, vous vivez la Divine Volonté.

Vous êtes entrés dans la Terre Nouvelle, vous êtes en moi, Jésus.

Il faut quitter vos maisons, il faut marcher sur le chemin; ce chemin, c’est moi.

Votre maison, mes enfants, c’est votre volonté humaine.

Entrez chez-vous, là où est ma maison; je l’ai bâtie avec mon amour, je l’ai purifiée avec mon Sang.

En chacun de vous, je vis; en chacun de vous, j’ai bâti ma demeure.

Mon Père, mes enfants, a créé la terre : c’est sa création.

Est-ce que la création de mon Père serait devenue imparfaite? Oh non! La terre, mes enfants, est l’œuvre de mon Père.

C’est votre volonté humaine qui a pollué la création de Dieu et c’est le Fils de Dieu qui va vous montrer où vous vivez.

Je vais effacer de vous tout ce que vous avez créé avec votre volonté humaine pour vous montrer que vous étiez des petits dieux.

Ma terre est à l’endroit où vous, enfants de la Divine Volonté, acceptez de vivre.

Je suis, moi, le Fils bien-aimé du Père; vous devez venir mourir en moi pour voir toutes ces merveilles que mon Père vous a faites.

Je ne viens pas vous parler de quelque chose qui n’existe pas : tout est là, autour de vous.

J’ai bâti mon Église, elle a été faite de mon amour par mes paroles.

Mes saints apôtres vous ont enseigné la Volonté de mon Père.

Je suis, moi, l’Église, je suis la tête de l’Église, mes prêtres sont mes membres actifs et vous, mes enfants, vous êtes mes membres.

Je suis l’Église! Est-ce que vous y croyez? 

Alors, croyez à la bonne nouvelle que vous êtes entrés dans la Divine Volonté par votre oui à l’Amour.

Tant qu’il y aura en vous un tout petit peu de votre volonté humaine, vous allez devoir vous laisser purifier par moi.

Je suis en le prêtre, le prêtre est en moi : par la puissance de mon Église qui est moi, je vais vous purifier.

Mes enfants, je vous dis d’être dociles à mes commandements.

Je vous dis d’écouter la voix qui crie en vous, de vous aimer les uns les autres comme je vous aime.

Il y a autour de vous des enfants qui vont devoir renoncer à leur volonté humaine pour avoir la Vie divine; mais ceux-là ne sont pas prêts encore : ils se refusent à l’appel de Dieu, ils ne croient que ce qu’ils entendent qui vient de la volonté humaine : tout ce qui est de la foi, ils n’y croient plus.

Vous, mes enfants de la Divine Volonté, je suis en train de vous préparer à la Grande Évangélisation.

Vous allez devoir, mes amours, tout me donner à chaque jour.

Pour ce grand événement, tous devront connaître la Divine Volonté; et pour entrer dans la Divine Volonté, il faut qu’ils aient prononcé leur oui à l’Amour.

Ces enfants qui ont été engourdis par un monde de consommation, par un monde facile, vont vouloir entendre parler de l’Amour, vont vouloir entendre d’autres enfants parler dans le Saint-Esprit, car ils auront prononcé leur oui à l’Amour.

C’est pour cela, mes enfants, que je parle par des instruments d’amour; c’est pour cela, mes enfants, que je dicte les mots qui s’inscrivent sur des pages blanches; c’est pour vous, afin que vous soyez prêts pour ce grand événement qui va bientôt arriver.

Tout ce qui s’inscrit ouvre les cœurs.

Le premier livre, mes bien-aimés, et l’unique livre, est la Bible, l’Évangile.

Mais, mes enfants, vous devrez, vous, évangéliser ceux qui sont dans les rues, autour de vous, avec des mots connus de vous, des mots simples, et ces enfants vont aller vers mes prêtres et mes prêtres leur parleront : telle est la Volonté de mon Père.

Un grand mouvement d’amour se prépare : le nombre d’enfants de la Lumière est calculé, le nombre de mes choisis, de mes consacrés est choisi.

Je vous enverrai parmi mes enfants afin que vous parliez de moi, afin que vous leur disiez qui ils sont en eux, pourquoi ils ont eu tant de blessures.

Il faut, mes amours, que vous puissiez leur dire ce que, moi, je vais déposer en vous pour eux.

Ce temps est choisi par nous, la Divine Volonté, non par vous.

Laissez-vous transformer par les grâces de la Divine Volonté : tout s’accomplit! Je suis avec chacun de vous et c’est pour vous ces paroles parce que Dieu, mon Père, l’a voulu ainsi, à sa façon à lui, non à la vôtre.

Ne cherchez pas le magnifique, mes enfants, cherchez en vous : c’est là que vous trouverez tout ce que vous avez toujours cherché : l’amour en Jésus.

Par mon prêtre choisi, par celui qui a tout donné,

recevez des grâces d’amour de mon amour.

Amen.

 

Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Parce qu’il veut se faire entendre, il parle à chacun de nous, il est en nous, Jésus; mais certaines personnes ont été choisies pour répéter les mots qui sont à l’intérieur d’elles.

C’est ce que je fais, j’entends les mots et je les répète.

C’est aussi clair que lorsque l’abbé Charron parle : c’est en moi et je répète.

Je peux le faire que par les grâces, que par les grâces du sacrement de la Pénitence, par les grâces du sacrement de l’Eucharistie.

Lorsque Dieu nous donne la bénédiction par son prêtre, cela nous couvre; cela nous couvre de ses grâces d’amour et ce qu’il fait en moi, il le fait à vous autres aussi.

Moi, j’entends ce qu’il dit à l’intérieur de vous, alors Dieu parle en chacun de nous en même temps : c’est sa Volonté.

On vit vraiment un temps de grâce, on vit un temps de découvertes.

Il nous prépare à la Grande Évangélisation : ça, je l’ai su dans les premiers temps.

Il me disait qu'il ne parlait pas seulement pour moi, mais pour eux; c’était pour les enfants, qu'il disait : tous les enfants de la terre.

Mais je me disais : comment il fait ça puisque je suis à la maison, moi? Comment est-ce qu’il peut parler à tous les enfants de la terre? En fin de compte, lorsqu’il me parle à l’intérieur de moi et qu'il me donne les mots que j’écris, c’est à mesure que je les écris, il dicte et j’écris : tout ça, on le recevait tous en même temps.

C’était parce qu’à l’intérieur de moi, il y a Jésus, puis vous êtes aussi en Jésus, alors je suis avec vous à l’intérieur de Jésus, à l’intérieur de moi.

Alors on est tous en communication : c’est l’Église Mystique.

Alors il nous parle, pas seulement pour vous, ici à Saint-Janvier, mais partout dans le monde et il fait la même chose aussi lorsqu’il parle à d’autres messagers.

Lorsqu’il leur parle à eux, il parle à nous aussi.

C’est pour ça qu’il est en train de nous préparer à quelque chose de très grand.

Si nous, avec notre volonté humaine, on viendrait à tout savoir globalement, tout ce qu’il dit à l’un et à l’autre, est-ce qu’on serait prêt à entendre tout ça? Ce n’est pas sûr!  Parce qu’il y a des messages différents selon les messagers.

L’un va parler de Marie, comme à Don Gobbi : c’était spécifique aux prêtres, ce n’était pas pour nous, et pourtant, on est dans les prêtres : on est en eux.

Alors ce que les prêtres ont, avec leur oui, consenti à lire en se laissant envelopper du Saint-Esprit et à comprendre :

eh bien, nous, on en a profité parce qu’on est en les prêtres.

et lorsqu’un autre messager parle de la Vraie Vie en Dieu, comme Vassula : eh bien, on a profité nous aussi de tout ce qu’elle a reçu.

Mais ça, ça se fait sans qu’on le sache : on ne le savait pas ce qui se passait.

Dieu nourrit ses enfants quotidiennement de grâces d’amour, de grâces d’abandon.

Et il le fait aussi pour J.N.S.R. et il le fait aussi pour d’autres messagers.

Il y a Dominique aussi, c’est un messager.

Il y en a d’autres aux États-Unis qui en reçoivent, partout dans le monde.

Et vous en connaissez plus que moi là-dessus parce que je ne connaissais pas ces messagers avant que j’aille à Marmora.

Maintenant, j’en connais peut-être un tout petit peu.

Mais avant, je ne savais pas tout ça, et pourtant, j’ai accueilli tout ça avec un abandon!

C’est parce que j’étais en eux, je recevais aussi ces grâces.

D’autres enfants qui sont à l’extérieur et qui n'entendent pas ce qu’on entend, ou qu’ils ne les acceptent pas parce qu’ils sont dans leur volonté humaine : eh bien, ils profitent aussi de ces grâces-là.

Ils sont en train de se laisser transformer eux aussi, mais sans entendre, avec leur volonté humaine.

Leur âme est en train de se laisser transformer; mais il faut un consentement pour ça, il faut un oui à l’Amour, un oui à Dieu.

Beaucoup ne savent pas qu’ils ont ce oui-là en eux.

Lorsqu’ils commencent leur journée en voulant du bien à leur prochain, lorsqu’ils font du bien à leurs enfants, à leur épouse, à leurs parents, mais ce sont des oui : alors les grâces entrent à l’intérieur d’eux.

C’est eux autres qui ne savent pas qu’ils prononcent des oui.

Mais, un jour, nous, les enfants de la Divine Volonté, nous allons tous leur dire tout ce qu’ils ont reçu, tout l’amour que Dieu a eu pour eux.

Ils vont être tellement enflammés d’amour! Tout ce que nous, nous recevrons, eux vont le recevoir aussi avec connaissance.

La différence (entre eux et) nous, en ce moment, c'est ce qu'on est en train de vivre : nous entendons, nous acceptons d’entendre et de nous déplacer.

Eux, vous savez, ils sont aux prises avec leur volonté humaine.

Il y en a beaucoup, hier, qui ont passé dans les rues, tout déguisés, maquillés, sous un personnage de mort, la plupart : c’est leur volonté humaine.

C’est un peu ce que nous, nous étions un peu avant, et ce que nous, nous avons accepté de ne plus porter.

La volonté humaine a laissé Satan nous couvrir de honte, parce que lorsqu’on va prendre conscience qu’on s’est laissé couvrir d’habits de squelettes, de fantômes, de sorcières : on va avoir honte, vous savez, et pourtant c’est notre vie, dans la volonté humaine, que nous avons portée.

Lorsque nous avons consenti à juger notre prochain parce que celui-ci a quitté son épouse pour aller en voir une autre : nous avons consenti à nous laisser couvrir d’un vêtement de jugement.

Lorsqu’on va voir ça, croyez-vous qu’on n’aura pas honte? Oui, on va avoir honte de ce qu’on a fait, à cause de la volonté humaine parce qu’on va avoir découvert quelque chose de merveilleux : la Divine Volonté qui est la miséricorde de Dieu.

Nous allons la sentir, nous allons y goûter.

Lorsqu’on accepte de goûter avec les grâces de Dieu ce qu’il nous donne, c’est différent, ce n’est pas la même chose.

On est venu entendre parler de Dieu, mais c’est avec notre volonté humaine.

Combien de fois, sur les bancs de l‘église, on est resté là à ne pas comprendre ce qu’on nous disait en avant.

Combien de fois on a été porté même à penser à qu’est-ce qu’on était pour faire une fois arrivé à la maison : "les enfants s’en viennent manger, ah! je vais préparer le dîner!" Combien de fois on a combattu le sommeil, on ne le voulait pas pourtant! Mais est-ce notre faute? C’est notre volonté humaine, c’est elle qui nous rendait faibles.

On va tout découvrir ça, mais on commence à le découvrir tranquillement.

C’est en lisant la parole de Dieu dans l’Évangile :

 voilà la première, voilà la vraie Nourriture de Dieu : la Parole vivante.

Mais à cause de notre volonté humaine, Dieu choisit des personnes bien simples, vous savez, pour parler avec des mots connus de nous-mêmes afin que nous puissions mieux comprendre la Parole de Jésus.

Oh! c’est vrai, il y en a qui disent : "Ce n’est pas écrit ça dans l’Évangile! Lorsque Grand-Maman Sainte Anne parle, mais ce n’est pas écrit ça, dans l’Évangile!" Jésus a dit dans l’Évangile : «Je vous enverrai mon Paraclet.»

Eh bien, ça, c’est  écrit dans l’Évangile! Nous devons écouter aussi le Saint-Esprit qui nous laisse voir quelquefois, qui nous laisse entendre quelquefois, qui nous laisse percevoir l’agir de Jésus, le Verbe.

Jésus est venu sur la terre pour nous faire connaître l’amour du Père qu’il a pour chacun de nous.

L’amour du Père est infini, il a créé tout.

Tout ce qu’il y a autour de nous, c’est le Père qui l’a créé et il nous a créés : alors le Père, dans sa Divine Volonté, permet que des enfants entendent son Fils nous parler de nous-mêmes.

Est-ce que cela serait une erreur de dire que Jésus est en train de nous montrer qui nous sommes? Ne sommes-nous pas l’amour du Père?

Nous sommes ses créatures, nous sommes créés par la Divine Volonté.

Si nous sommes ici, chacun de nous, c’est Dieu le Père qui nous a choisis, c’est son amour : alors, le mouvement de l’amour ne peut pas s’arrêter, il est continuel.

Il est venu tout nous dire dans son Évangile, mais il est venu aussi nous dire que le Saint-Esprit nous éclairerait : il l’a dit à ses apôtres.

Ce qu’il a dit à ses apôtres, il nous l’a dit à nous aussi : nous étions dans les apôtres.

Puisqu’ils étaient habités de Jésus, puisque les apôtres ont consenti à mourir en Jésus, nous aussi, nous étions en les apôtres : alors, les apôtres qui ont entendu ces paroles, mais c’est nous aussi qui les avons entendu ces paroles, mais dans notre temps, pour nous : nous vivons au présent en Jésus.

C’est bien compliqué, vous savez, tous ces mots-là! C’est seulement par les grâces qui sont en nous que nous pouvons comprendre tout cela.

La puissance du prêtre est très grande, vous savez, et nous ne savons pas aller puiser tout cela.

Il m’est arrivé quelque chose la semaine passée, lorsque j’étais à Plantagenet.

Il y en a qui connaisse Noëlla Saint-Onge? Elle a été choisie, c’est une choisie.

Elle a entendu parler de la Fille du Oui à Jésus; elle ne me connaissait pas, mais un prêtre qui a lu les écrits de Jésus, il a dit : "C’est du Seigneur."

Alors, comme elle est en Jésus, elle a voulu en savoir plus, elle est venue à la maison – tout comme vous – ce n’est pas moi qui lui ai montré que j’étais en Jésus, c’est le Saint-Esprit.

Et lorsque j’ai été pendant trois jours à Plantagenet, il y a eu cinq enseignements et ce que nous avons entendu était merveilleux parce que lorsque je dis "nous" c’est que, moi aussi, j’entends en même temps que vous cet enseignement qui nous a été donné tantôt, je l’ai entendu au même moment que vous et même, je vous dirais que j’ai toujours hâte de le réécouter, parce que lorsqu’on s’abandonne, ce n’est pas tout à fait la même chose que d'être témoin.

Là, en ce moment même, ces paroles aussi j’ai hâte de les réentendre parce qu’elles viennent en moi tout seules, je les découvre en même temps que vous. Et en fin de semaine, il y avait un prêtre : ce prêtre  s’appelle le père Smith.

J’ai déposé mes mains dans ses mains, c’est le Seigneur qui me l’a demandé, et mes mains sont devenues brûlantes; mes mains, elles fourmillaient : il y avait tellement une puissance dans ses mains.

Et lorsque j’ai retiré mes mains du prêtre, ça a duré un certain temps, tant que c’était puissant! Jésus m’a fait sentir les mains du prêtre consacré.

La puissance des prêtres est très, très grande!

Alors, lorsqu’on reçoit une bénédiction venant du sacerdoce du prêtre, Dieu passe, c’est la puissance de Dieu, c’est la Trinité.

Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint-Esprit nous donnent des grâces.

Je les ai senties dans mes mains : ça, on ne le voit pas et c’est là.

C’est la même chose pour nous, on ne peut pas voir la Divine Volonté, mais elle est présente en nous.

Dieu est en train de nous transformer en enfants de la Divine Volonté.

Nous ne pouvons pas le voir, mais c’est là, c’est vrai! Il est en train de faire de nous des instruments d’amour pour ceux qu’on aime et qu’on porte en nous.

En ce moment même, lorsque vous dites un "Je vous salue Marie" à Maman d’amour, ce sont tous ceux qu’on porte en nous qui disent un "Je vous salue Marie" : on ne le voit pas, mais c’est vrai, c’est la puissance de Dieu.

Il est en train de nous transformer tel qu'il le veut.

Comment vous décrire tout ce que je vis dans la Divine Volonté? Ça ne se dit pas, j’aurais beau vous le dire, je l’ai montré à Plantagenet, ils l’ont filmé.

Le Seigneur m’avait demandé d’amener des acétates; ça, c’est la veille.

Il me dit tout le temps des choses, mais jamais à l’avance et je l’ai fait.

Je ne savais pas ce que j’étais pour faire avec ça, c’est aux minutes que je le savais et lorsque ces photos sont apparues sur le grand écran, le Seigneur disait les mots que les gens devaient entendre.

Mais dire les mots et le vivre, c’est différent! Vous aurez beau entendre Francine, nommée la Fille du Oui à Jésus, mais ce qu’elle vit...! Dire que j’entends des âmes en moi (est différent); elles me parlent comme vous, vous me parlez : des âmes du purgatoire! Je vais dans un cimetière et savez-vous, j’entends : "Prie pour moi"; ce n’est pas une voix que j’entends, c’est plusieurs.

C’est ça vivre dans la Divine Volonté : on est en communication en Jésus.

Et quand je passe devant une statue et qu’elle me parle, ce n’est pas la statue qui me parle! C’est comme Sainte Rita, elle me parle : "Écoute notre Jésus d’amour. Dis-le à nos frères et à nos sœurs qu’ils doivent s’abandonner en Jésus, mourir en Jésus."

Croyez-vous qu’on puisse parler comme ça sans les grâces de Dieu? C’est impossible, parce que le monde va nous enfermer!

C’est ça vivre dans la Divine Volonté.

Pendant des mois et des mois même, ça s’en va bientôt sur trois ans, je n’ai pas déclaré tout ça parce que ça ne se dit pas.

Le pouvez-vous, vous? Êtes-vous prêts à entendre quelqu’un dire : "J’entends des âmes!" Je passe devant une image et l’âme qui représente cette image, comme Sainte Anne, elle me parle! Pouvez-vous dire ça? C’est impossible, on garde ça en soi.

Mais voyez-vous, je ne suis pas encore toute transformée, le Seigneur, il l'a dit.

Alors, quelquefois, le soir, je trouve que c’est trop et ça m’arrive de crier : "Je n’en peux plus Jésus, je ne veux plus vivre ça, prends-en une autre, moi je ne veux plus! Je sais que tu vas continuer à m’aimer, tu m’en voudras pas de tout arrêter ça."

Alors, le Seigneur me laisse faire, puis il dit : «Je t’aime», mais là, je dis : "Je t’aime aussi Jésus", puis, mes épaules tombent, c’est moins lourd sur moi.

Le lendemain, je reçois quelque chose : une lettre, disant qu’une personne, lors d’une rencontre, a rencontré mes yeux et lorsqu’elle a vu mes yeux, elle a dit : "Ce n’est pas toi que j’ai vue, c’était Jésus amour!" Croyez-vous que là, je peux arrêter? C’est difficile vous savez, ce n’est pas facile! C’est renoncer à soi-même pour vivre en Jésus, en acceptant qu’on parle contre Jésus, parce que lorsqu’on dit que c’est faux que j’entends Jésus, Jésus m’a

dit : «Ce n’est pas de toi qu’ils parlent, c’est de moi» :

alors ces personnes-là parlent contre Jésus, puis elles vont se présenter à Jésus;

je l’ai dit souvent : "Je ne veux pas être la cause de leurs souffrances"; alors, il me dit : «Donne, donne-toi, donne-les-moi!» alors, je continue à les donner, à les donner! Eh bien! c’est ce qu’il est en train de faire pour chacun de vous aussi.

Lorsque vous autres même commencez à entendre, il y en a qui commencent à entendre parce que Jésus, il me l'a dit : «Beaucoup vont entendre.»

Eh bien, ces personnes-là aussi se cachent à l’intérieur d’elles-mêmes.

Elles ne sont pas encore assez fortes pour dire : "J’entends moi aussi le Seigneur, il me parle, soit que j’entends des mots, soit que c’est par le Saint-Esprit."

C’est ce qu’il est en train de faire pour chacun de nous;

il est en train de nous préparer à ce qui s’en vient.

Les événements approchent vous savez; on voit autour de nous ce qu’il a dit à des messagers, il y plusieurs années, et ça se concrétise, mais ça nous apparaît moins dramatique.

Savez-vous pourquoi?  Parce qu’on entre dans la Divine Volonté.

On est enfant de la Divine Volonté puis on reçoit des grâces de paix et de joie.

Lorsqu‘on entendait des messagers dire : "Des villes seront brûlées, il y aura des inondations", on prenait peur! 

Maintenant, on garde notre paix, on garde notre joie à l’intérieur de nous parce que c’est la seule façon d’aider ceux qui subissent tout ce qui a été prédit par Maman Marie à la Salette.

On est entré dans ces tribulations, d’autres viennent, eh bien, on va les accueillir avec les grâces de Dieu.

Et ce n’est pas avec notre volonté humaine qu’on va pouvoir vivre ça, si on  garde notre volonté humaine : nous allons connaître la peur.

Il est très important que lorsqu’on lit des messages qui nous parlent de tremblements de terre, d’inondations, de feux, des gaz qui vont venir, de ne pas le dire à ceux qui ne sont pas prêts, car ils percevront ces choses avec leur volonté humaine; eux vont les accueillir avec ce qu’ils sont; ils vont avoir peur, ils vont croire que cela arrivera là, demain, pour certains, et lorsqu'elles vont constater avec leur volonté humaine que cela n’est pas arrivé, croyez-vous qu’ils vont avoir la foi en ce que vous leur avez dit?

Ne soyez pas la cause de leur peur, ils ne sont pas prêts à entendre.

C’est Dieu lui-même qui les prépare en ce moment, c’est Dieu lui-même qui les enverra vers des enfants de la Lumière.

Leur curiosité, à vouloir entendre cela, viendra de leur intérieur, pas de votre intérieur : tout ce que vous allez réussir à faire, c'est de les éloigner.

Il faut faire attention! Mais lorsqu’il y a des enfants qui viennent vers vous,  vos frères et vos sœurs, et qui vous posent des questions, alors laissez couler en vous ces paroles qui vont sortir de vous, sans ressentir de peur,

de joie extrême de dire : "Ça y est, là, je vais pouvoir lui parler!" Non, faites attention! Laissez sortir ce qu’il y a en vous, c’est le Saint-Esprit qui va laisser couler ses Paroles.

Est-ce que vous doutez de ce que je viens de dire? Ceux qui viennent de dire oui, ce sont ceux qui entendent cela pour la première fois et ceux qui ont dit non, qui ne doutent pas, c’est qu’ils ont goûté à cela.

Dieu lui-même prépare ses enfants à entrer dans la Nouvelle Terre.

Nous sommes, nous, entrés dans la Nouvelle Terre : nous sommes en train de laisser nos yeux s’ouvrir, nos oreilles entendre; nous sommes en train de percevoir la beauté autour de nous.

Lorsque j’ai eu la vision des gens quitter leur maison, se réunir dans les églises; lorsque j’ai vu des gens marcher, quitter leur maison en feu et suivre un groupe de personnes dans la paix et dans la joie, avancer, eh bien, c’est chacun de nous ça, en ce moment même : vers la Nouvelle Terre! Lorsque vous commencez à faire des projets de voyage, que votre valise est faite et que vous êtes assis dans l’avion, est-ce que votre voyage est déjà commencé? Mais c’est la même chose; on a commencé à renoncer aux biens matériels.

Chacun de nous savons que tout ce que nous avons accumulé en biens matériels est en train de brûler.

Parce que lorsqu’on renonce aux biens matériels pour entrer dans la Divine Volonté : on accepte que Jésus fasse en nous des mouvements : il est en train de nous détacher du matériel.

Dieu n’obligera personne à faire ce mouvement, s'il ne le consent pas, mais lorsqu’on commence à dire ses oui à tous les jours, ce mouvement se fait.

On a perdu le goût du magasinage, on perd le goût de faire des projets de maison future.

Pourquoi tout ça? Eh bien, c’est qu’on est rentré dans la Divine Volonté.

On veut faire la Volonté du Père sur la terre.

Dieu est l’Amour, Dieu est la Vie et c’est avec ses enseignements que nous allons avancer, avec ce que vous êtes prêts à entendre aujourd’hui.

Voyez-vous, si j'avais été dans ma volonté humaine, j’aurais peut-être choisi de vous faire entendre autre chose.

Non, ce n’est pas ça que Dieu veut : Dieu veut vous faire entendre ce que vous êtes prêts à écouter.

C’est comme ça, Dieu! Dieu nous fait avancer à notre rythme à nous! C’est pour ça que je vais à une place et c’est différent dans une autre aussi; il ne se répète pas, Jésus, en disant la même chose à une place ou dans une autre.

Mais ses paroles sont lumière, ses paroles sont vérité.

Il nous parle d’amour, il nous parle de la tendresse du Père, il nous parle de sa Gloire : c’est ce qu’il nous fait entendre de sa façon à lui.

C’est toujours différent d’une ville à l’autre, parce qu’on est tous différents.

Et c’est la même chose pour nous lorsqu’on va rencontrer des gens; nous allons leur parler, tous à notre façon, avec ce qu’on est et eux vont accueillir ces paroles avec ce qu’ils sont, avec ce qu’ils ont toujours été.

Dieu est l’Amour.

En ce moment même, vous savez, il y a de ces enfants choisis qui souffrent beaucoup, parce que d’autres enfants choisis parlent.

On parle tous 'les instruments d’amour' différemment, mais on a qu’un seul but : faire la Volonté de Dieu.

Vous savez : lorsqu’on entend Dieu parler de l’amour : on ne veut que parler de l’amour; lorsqu’on entend Dieu parler de la Croix : on ne veut que parler de la Croix; lorsqu’on entend parler de l’union : on ne veut que parler de l’union; mais tout converge autour de Dieu, de l’œuvre du Père.

Vous qui écoutez, vous êtes prêts à accueillir ce que moi je dis, n’est-ce pas? Vous êtes prêts aussi à accueillir ce qu’un autre dit, comme  J.N.S.R.

Mais, vous savez, lorsque deux instruments d’amour se connaissent, lorsque deux instruments d’amour se rencontrent, il y a à l’intérieur de nous quelque chose qui se passe :

il y a comme quelque chose d’acquis à cause de notre volonté humaine.

On a pris pour soi ce que Dieu veut vous déclarer, ce que Dieu veut vous faire entendre.

Je parle ainsi parce que Dieu le veut, parce que le Saint-Esprit me fait dire ces paroles.

Vous entendez ces cloches? Savez-vous qu’on disait : "Il y a rivalité de clochers", parce qu'une paroisse voulait se faire entendre pour attirer ses paroissiens et, lorsque certains de ses paroissiens allaient  dans une autre paroisse,

croyez-vous que le prêtre ne souffrait pas?

Il avait comme acquis que les paroissiens lui appartenaient.

Eh bien, c’est ce qu’on vit, nous, les instruments d’amour.

On souffre beaucoup, vous savez, parce qu’on a peur, à cause de notre volonté humaine, que les écrits du Seigneur ne soient pas connus; nous voulons faire connaître ce qu’il nous donne, car nous nous donnons jour et nuit, nous ne comptons pas les heures : c’est quarante-huit heures sur quarante-huit heures.

Nous prenons en nous nos frères et nos sœurs et nous nous donnons, mais c’est dans la souffrance que cela se fait.

Et lorsqu’il y a une rivalité entre des instruments d’amour, c’est à cause de notre faute à nous, à cause de notre volonté humaine et pas parce que Dieu le veut.

Dieu attend de nous que nous nous abandonnions dans sa Divine Volonté, mais il reste encore en nous de la volonté humaine et c’est elle qui nous fait souffrir.

Dieu veut nous apprendre à nous abandonner.

Vous savez, lorsqu’on est seul à la maison, nous prions pour ceux qui se donnent.

Oui, je prie, je prie pour ceux qui se donnent comme moi : comme J.N.S.R., Léandre Lachance, comme Vassula,

parce que nous avons la même mission : celle de faire connaître les écrits du Seigneur : pas les nôtres.

Nous, nous souffrons moins, vous savez, que ceux qui sont autour d’eux : eux souffrent beaucoup! Ils ont pris à cœur de faire connaître les écrits eux autres aussi, et  il y a de la souffrance!

Vous aussi, vous portez cette souffrance, vous la portez avec nous.

Est-ce qu’il y en a ici qui ont lu le livre un? Dans le livre un, Dieu dit : «Tu es mon chef-d'œuvre; tu es mon petit chef-d'œuvre».

Mais voyez-vous, cette semaine, le Seigneur a dit : «Je veux que tu parles, ma fille, à mon instrument d’amour : Carmen.» 

Alors, j’ai dit : "Oui, Seigneur."

Alors, il a parlé à Carmen, il lui a dit : «Tu es mon chef-d'œuvre, tu es mon petit chef-d’œuvre» et je disais ces paroles : alors Dieu me faisait comprendre que chacun de nous :

on est des chefs-d'œuvre.

Dieu m’a fait vivre quelque chose cette semaine : une très grande souffrance! Il m’a fait voir la rivalité de ses enfants pour les instruments d’amour.

J’ai souffert beaucoup! J’ai dit à Jésus : "J’étais bien, moi, dans ma petite maison."

Alors, j’ai vécu ça toute une nuit, dans les pleurs! Je sentais la rivalité qu’il y avait entre nous, les enfants de Dieu, pour un instrument ou pour un autre et je voyais aussi l’échec : je prenais pour un échec notre mission, parce que lorsqu’on découvre qu’un instrument d’amour est la cause de rivalités entre ses frères et ses sœurs : on n'est pas fier, vous savez! Dieu vient nous parler de la Divine Volonté, il veut nous conduire dans la Nouvelle Terre, et nous, tout ce que nous faisons, c’est dire : "Moi, je crois à elle; je ne crois pas à l’autre. Moi, j’aime mieux ces écrits; moi, je n’aime pas ceux-là."

Eh bien, si c’est comme ça Jésus qu’on doit avancer dans la Nouvelle Terre, Jésus, on s’est trompé! Alors, j’ai dit à Jésus :

"Viens nous purifier, viens nous saisir de ton amour, on ne  mérite pas les grâces que tu es en train de nous donner; on ne mérite pas d’entendre tes paroles, Jésus; on ne mérite pas de les lire, Jésus, parce qu’à cause de cela, on est en train de se faire de la peine les uns les autres, puis on est en train de te faire de la peine.

Alors, Jésus, viens-t’en, viens nous purifier.

Qu’importe qu’on souffre Jésus, on ne mérite que ça." 

Mais Jésus est bien plus plein d’amour que moi parce qu’il a dit : «Je t’aime, laisse tout cela.» 

Alors, j’ai tout laissé, je croyais que Jésus disait : «Maintenant, tu as fini».

Dans le fond, j’étais bien contente, c’est ce que j’attendais.

Alors, le lendemain, il m’a donné un petit écrit; j’étais en larmes parce que tout était mélangé à l’intérieur de moi.

Je voulais arrêter, mais il y avait quelque chose en moi qui ne voulait pas, puis là je disais : "C’est non, non, non; j’arrête, j’arrête", puis j’essayais de me convaincre, me convaincre, puis aussitôt qu’il arrivait quelque chose, je disais : "Non Jésus, c’est fini, c’est fini, c’est correct." 

Mais lui, il m’a fait écrire un mot, il a dit :

«Avance, avance, parce que je t’ai fait découvrir l’orgueil :

l’orgueil peut prendre tout l’espace.

Fais attention, ma fille, et demeure humble! 

Ce que tu vas dire, ce que tu vas entendre ne viendra pas de toi,

mais de ce que nous, nous voulons que les enfants entendent.»

Il veut qu’on s’humilie parce que, vous savez, lorsqu’on donne le oui à Jésus : il nous fait parler pour chacun de vous et c’est à chacun de vous qu’il veut qu’on s’ouvre aussi parce que, comment est-ce que je vais pouvoir, moi, avancer si je ne suis pas soutenue par vous? C’est impossible, parce que Satan veut nous faire trébucher, il veut qu’on arrête l’œuvre de Dieu et il prend tous les moyens.

Alors, priez pour nous, les instruments de Dieu et priez aussi pour vous, parce que Dieu vous a choisis pour être des instruments d’amour et ce qui nous arrive à nous, ça va vous arriver à vous.

Il faut être humble, il faut accepter de se laisser purifier par Dieu, parce que ce que j’ai vécu dans les larmes, Dieu l’a permis, il a dit : «Je t’ai enlevée de mes grâces d’amour et je t’ai laissée afin que tu puisses découvrir ta faiblesse humaine.»

Voyez-vous, nous n’avons pas fini de nous laisser transformer.

Il y a parmi nous des enfants qui ne parlent pas ouvertement et qui, eux, sont très avancés dans la Divine Volonté.

Il faut faire la Volonté de Dieu tout comme Saint Paul lorsqu’il a dit : "Je veux mourir en  le Christ, renoncer à moi-même."

Il a souffert beaucoup, Paul; tel que chacun de nous, nous allons souffrir pour entrer dans la Divine Volonté.

Cela ne se fera pas sans souffrance, parce que lorsque Jésus nous fait découvrir notre orgueil il prend les moyens pour nous aider et pas seulement pour nous, mais pour aider les autres, et  lorsque Jésus veut nous faire découvrir la grâce de l’humilité, Jésus le fait aussi, à sa façon,  pas seulement pour nous, mais pour tous nous autres.

C’est à chaque jour qu’il nous laisse avancer; c’est à chaque jour que nous découvrons qui nous sommes et c’est pour ça que Jésus écrit : il écrit «Amour pour tous les miens.»

Dans ce livre, nous découvrons notre orgueil; dans ce livre, nous découvrons notre impatience, nos jugements, nos colères, nos peurs, nos envies, notre convoitise, notre culpabilisation; et, dans ce livre, on découvre l’amour, la tendresse, la miséricorde, l’espérance, la foi.

Avec des mots d’aujourd’hui, il a parlé de relation d’amour : nous, nous l’appelons, relation sexuelle, dans le troisième livre, c’est d’une telle beauté! c’est d’une telle saveur! aucun humain ne peut écrire comme ça! Il faut goûter à cette Nourriture. Il faut voir combien Dieu nous aime pour venir, en nous, nous parler avec des mots simples.

Dieu veut que nous soyons des tout petits enfants prêts à tout accueillir ce qu’il nous donne.

Vous savez, il y en a qui vont entrer dans la Nouvelle Terre sans jamais lire les livres de «Amour pour tous les miens», mais ils vont lire d’autres livres; ils vont être prêts à entrer dans la Nouvelle Terre.

Accueillons la Volonté de Dieu.

Dites-vous que lorsque Dieu met sur votre chemin, sur notre chemin, des écrits, c’est parce qu’il veut que nous les lisions, parce qu’il veut que nous avancions, parce qu’il connaît notre faiblesse : soyons à l’écoute du Saint-Esprit, soyons amour.

Nous n’avons pas encore atteint ce qu’il veut de nous :

c’est être petits, protégés contre l’orgueil : c’est le plus grand des péchés.

Vous savez, à cause de l’orgueil, l’ange, Lucifer qu’on appelle, a connu sa déchéance.

Et c’est avec des grâces d’humilité que nous allons connaître notre gloire en le Fils de Dieu : alors, nous allons donner tout à Jésus dans l’amour.

Ce qu’il veut nous faire entendre doit nous être connu de lui et non pas d’un autre : de lui seul.

Avançons et croyons à la Bonne Nouvelle que Dieu veut faire de nous des enfants de la Divine Volonté.

Voilà, c’est ce qu’il vient de dire :

 

Jésus : «Voilà, ma fille.»