Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Saint-Joseph, Nouveau-Brunswick,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus.

 

2007-09-15

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Il nous donne de la lumière à travers nos amis, à travers les objets qui sont autour de nous aussi.

Comment reconnaître que ces objets-là viennent de Dieu? Comment reconnaître que ce qu’il nous donne est vraiment de Dieu? C’est reconnaître qu’ils sont des grâces pour nous.

Reconnaître que les objets, qui sont autour de nous, sont des grâces, c’est s’abandonner entre les mains de Dieu : "Seigneur, montre-moi que ce qui est autour de moi, ça vient de toi; montre-moi que cela porte des grâces, sans les grâces, je me meurs", parce que sans les grâces, c’est être sans Jésus.

Hier, nous avons fait le Chemin de la Croix, et nous savons que dans notre vie on a tous une croix à porter; si on porte notre croix, et on la porte sans Jésus, alors nous sommes dans la souffrance, il n’y a pas de paix dans notre vie, il n’y a pas de joie dans notre vie, mais si on porte notre croix avec Jésus, là, on n'y trouve que de la paix, que de la joie.

Ce n'est pas différent pour les objets qui sont autour de nous, ce n’est pas différent pour ce que nous faisons dans notre vie.

Si nous lisons un livre, c’est un objet un livre; si ce livre est voulu du Ciel, ça porte des grâces, mais si ce livre ne vient pas de Dieu, il n’y a pas de grâce; alors, le livre nous apporte de la souffrance, le livre nous apporte du malheur dans notre vie.

Si le Saint-Esprit parle que des objets sont dans notre vie et qu’ils sont sans grâce, c’est parce que nous avons utilisé des objets qui n’étaient pas des objets pour nous, ils portaient la marque de l’indifférence, de la souffrance, de la manipulation, du mensonge, de la tromperie.

Tout cela a pénétré dans notre vie sans qu’on le veuille.

 

Salle : On demande de baisser le son.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Le baisser un peu, s’il vous plaît, ça résonne, ça fait de l’écho.

Ce que nous utilisons dans notre vie doit plaire à ceux que nous aimons.

Si nous utilisons des objets qui ne sont pas bons pour nous, ils ne seront pas bons aussi pour notre prochain, et notre prochain, c’est notre époux ou notre épouse, ce sont nos enfants, ce sont nos frères et nos sœurs à la maison, ce sont ceux qui font partie de notre paroisse, diocèse, ou de notre monde ou d’une autre religion, ce sont nos frères et nos sœurs.

Alors, nous devons avoir entre les mains ce qui est de Dieu, et ce qui est de Dieu porte des grâces, et ce qui n’est pas de Dieu ne porte pas de grâces.

Aujourd’hui, nous avons entre nos mains des objets qui sont de l’homme; les objets qui sont de l’homme, ce sont des objets orgueilleux, ce sont des objets qui portent un pouvoir, un pouvoir d’orgueil, et l’orgueil n’est autre que Satan.

On ne veut plus entendre parler de Satan, on ne veut plus entendre parler de ce qui nous ferait souffrir.

C’est souffrant, hein, de savoir que dans notre vie, nous avons entre nos mains des objets qui sont contre nous? "Comment ça se fait que je me suis fait prendre à ce piège? Comment ça se fait que j’ai dans ma propre maison des objets qui me nuisent et je n’ai rien vu?" Ça, ça fait partie de ce que le Saint-Esprit veut nous montrer.

Nous avons seulement qu’à nous arrêter et regarder ce que nous avons dans nos armoires.

Qu’est-ce que nous avons dans nos armoires? Nous avons tout ce qu’il nous faut pour nous alimenter; nous avons tout ce qu’il nous faut pour nous vêtir; nous avons tout ce qu’il nous faut pour nous maintenir en forme; nous avons tout ce qu’il nous faut pour être instruit; nous avons tout ce qu’il nous faut pour nous maintenir en bonne santé : santé physique, santé morale, santé de cœur.

Mais comment se fait-il que tout cela nous rend malheureux aujourd’hui? Comment se fait-il que nous ayons tout ce qu’il nous faut chez nous et que nous voyons nos enfants souffrir, que nous voyions la maladie partout autour de nous? Et cela va en augmentant.

Oui, on attribue le cancer à ce que nous respirons, buvons, mangeons, entendons; on dit que c’est de la pollution; oui, c’est de la pollution, mais cette pollution vient des hommes.

Comment se fait-il que les hommes veulent du pouvoir, veulent l’argent au détriment de leur propre air, puisqu’ils respirent le même air que nous, puisqu’ils entendent les mêmes sons que nous, puisque leur nourriture, c’est la même que nous? C’est parce qu’ils sont aveugles, ils sont sourds, ils ne comprennent plus, ils sont tout mélangés, ils vivent de la confusion la plus totale.

Aujourd’hui, nous avons des dirigeants et ces dirigeants sont des enfants de Dieu, comme nous, nous sommes des enfants de Dieu, et pourtant ils ne prennent pas les bonnes décisions.

Comment se fait-il qu’ils ne prennent pas les bonnes décisions? Qui a mis dans leurs pensées tout cela? Pourquoi ne pensent-ils pas que nous avons besoin d’amour? Aujourd’hui, on enlève tout ce qui est amour et on le remplace par le matériel; on nous procure tout ce qui nous est nécessaire pour notre santé, pour notre bien-être.

C’est parce qu’ils sont incapables de comprendre que là où ils sont rendus, il a fallu qu’il y ait un commencement; ils ne voient pas le début de leur changement dans leur vie, de leurs pensées, de leurs regards; leur cœur s’est endurci, ils sont rendus avec des cœurs de pierre : ils n’ont plus d’amour, ils sont indifférents à nos propres enfants, ils sont indifférents à leur propre vie, ils ont un bandeau devant les yeux, et cela est répandu partout.

Vous direz, mais il y a toujours eu des dirigeants qui ont fait souffrir; nous avons eu Hitler, nous avons eu Napoléon, nous avons eu dans le passé des Philistins puisque Goliath s’est battu contre David.

Tout cela a toujours été, mais ces êtres étaient des êtres qui n’étaient pas en majorité; aujourd’hui, c’est la majorité, aujourd’hui, c’est répandu partout.

 

Changement de micro : Là, là ça va, mais ça baisse et ça monte.

 

Normande : Si on utiliserait ce micro là, si Francine userait celui-là.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Ça vient à nous et ça part, alors, on va changer de micro.

 

Gilmert : Plus par en avant, comme ça.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Par en avant! Là, est-ce que vous entendez? OK. Là, comme ça?

 

Normande : Non, pas tout à fait.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Vous n'entendez pas? Vous voulez comme ça, là? Ah! là, ça va mieux, hein?

 

Normande : Oui, comme ça.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Oui! Ah! merci. OK. Ça va? Merci.

Alors, voyez-vous, au tout début, nous nous sommes servis d’un micro et ce micro sortait les sons et il arrêtait, il sortait les sons et il arrêtait; tout cela remplissait la salle et le vidait, ça faisait une interaction entre ce que nous voulions et ce que nous étions incapables de contrôler.

On n'était pas capables de contrôler cela, on était à la merci d’un micro; nous avons changé de micro et là, nous avons adapté ce micro-là pour que tout le monde entende.

Eh bien, à l’intérieur de nous, il y a eu le même mouvement; à l’extérieur de nous, il y a eu le même mouvement; tout ce qui était à l’extérieur devenait pour nous quelque chose à l’intérieur, et lorsqu’on entendait et lorsqu’on laissait rentrer ça à l’intérieur de nous, eh bien, le son disparaissait.

Mais le son était là à l’extérieur, lorsque ça entrait, on n’entendait pas grand-chose; alors, pour continuer, nous, on était encore plus attentifs à l’extérieur, et plus on était attentifs à l’extérieur, plus ça entrait à l’intérieur de nous, et plus ça entrait à l’intérieur de nous, et plus ça prenait comme un genre de silence, et plus on était attentifs à l’extérieur.

C'est ce qui s’est passé dans la vie des hommes; on a fait entendre, de l’extérieur, des besoins pour le laisser entrer à l’intérieur, et lorsque ça entrait à l’intérieur, ça transformait la personne.

D’autres ont fait ce même mouvement, et plus ça entrait, plus ça prenait un contact avec nous-mêmes; alors, la personne qui recevait tout cela commençait à changer, et lorsqu’elle commençait à changer, ceux qu’elle portait à l’intérieur d’elle, les enfants de Dieu, les autres en subissaient les conséquences.

Il y avait comme une interaction entre ce qui est extérieur, ce qui entre, et les enfants de Dieu qui sont en cette personne.

Avec les années, cela a augmenté; là, il n’y avait pas seulement qu’une personne, il y en avait deux; c’était comme une contagion, ça se multipliait.

Il est venu un temps où l’extérieur a commencé à dominer; on n’était plus à l’intérieur face à Dieu, on était à l’extérieur face à tout ce qu’on nous faisait entendre; tout ce qu'on voyait à l’extérieur prenait de l’importance, si bien que cela a enveloppé la terre; c’est devenu un mouvement à la surface de la terre.

Voyez-vous, une seule chose qui n’est pas amour à l’extérieur, qu’on laisse pénétrer ça à l’intérieur, ça fait son petit bout de chemin et là, ça se multiplie; d’autres, à l’extérieur, écoutent ce que l’autre écoute, ça entre et ça se multiplie.

Nous avons entendu parler, parler d’énergie; nous avons entendu parler de guérison avec de l’énergie; nous avons entendu parler qu’il y avait des plantes qui portaient pouvoir et qui pouvaient guérir; nous avons entendu parler de pouvoir, soit avec un objet, et cela amenait des connaissances.

Ça, l’homme l’a connu bien avant nous : des siècles, des siècles, des siècles, des siècles avant nous.

Avant, les enfants de Dieu qui entendaient parler de tout cela s’éloignaient de ces personnes parce qu’ils savaient que ces personnes n’étaient pas en Dieu; on appelait ces personnes des sorciers, des sorcières.

Il y eut un temps où on voulait brûler ces sorcières, ces sorciers; il y eut un temps où l’homme est devenu dans sa peur si bien qu’il se mélangeait entre ce qui était de Dieu et ce qui n’était pas de Dieu : ils ont été dans la confusion.

Aujourd’hui, il y a autour de nous beaucoup d’objets qui ont un pouvoir, il y a beaucoup de méthodes qui ont du pouvoir et on encourage cela, on développe cela, on n’est plus capables de voir ce qui est bon pour nous et ce qui est mauvais pour nous : nous sommes dans la confusion.

Il y a quelques siècles, le danger était qu’on voulait se débarrasser de tout ça en brûlant, même en emprisonnant, en se débarrassant de ces personnes qui usaient de ça.

Ils étaient mélangés parce qu’il y en avait parmi eux qui étaient de Dieu; nous n’avons qu’à penser à Jeanne d’Arc; on l'a brûlée parce qu’on a cru qu’elle avait du pouvoir, qu’elle était une sorcière.

Aujourd’hui, on ne fait plus cela, on laisse libre, si bien qu’on ouvre les portes à ces personnes.

Il n’y a pas de différence entre ceux qui font du reiki, ceux qui font de l’horoscope, ceux qui s’adonnent à toutes ces méthodes de ce temps-là.

Aujourd’hui, on vend des pierres, et ils disent : " ils guérissent"; eh bien, si on avait dit ça dans le temps de Jeanne d’Arc, on aurait brûlé, sur un bûcher, ces personnes, parce qu’ils se disaient : "Il n’y a que Dieu qui a le pouvoir de guérir et non pas ces pierres, ces pierres qui faussent la pensée des enfants de Dieu, qui croient en ce pouvoir plutôt que de croire en la Volonté de Dieu."

C’est Dieu qui dit : «Moi, je veux guérir cet enfant parce qu’il va apporter des grâces à ses frères et à ses sœurs.»

On ne brûlait pas parce qu’on ne voulait pas qu’ils soignent, on brûlait parce que ça faussait les esprits des enfants de Dieu : voilà pourquoi on brûlait; voilà pourquoi on ne voulait pas que cela se propage partout, parce qu’on voulait garder l’Esprit de Dieu, on croyait au Dogme de l’Église : "Je crois en un seul Dieu".

Je sais que Dieu est bon et je sais que Dieu va nous guérir; s’il ne nous guérit pas, c’est parce que nous devons porter notre croix pour aider nos frères et nos sœurs, ils ont besoin de nous.

Ils priaient, il y avait des miracles; souvenez-vous du Curé d’Ars, n’a-t-il pas guéri à travers la Volonté de Dieu? Et ce n’est qu’un parmi des milliers et des milliers, et des milliers, et des milliers de saints; tous ces saints recevaient de Dieu la grâce de l’abandon afin que Dieu puisse passer à travers eux pour guérir les enfants de Dieu.

Comment se fait-il qu’aujourd’hui, on ne croit plus à ça? Comment se fait-il qu’on ne croit plus que des personnes, voulues de Dieu, soient des instruments pour que Dieu, lui, puisse guérir, non pas les pierres, non pas les métaux, non pas une énergie dans les airs, cela est faux.

Nous vivons dans la confusion totale.

Les enfants de Dieu se laissent prendre aux pièges et ils utilisent des connaissances, et ces connaissances viennent de personnes qui, elles, ont pris des connaissances de quelqu’un qui avait connu du pouvoir.

D’où vient-il ce pouvoir? De Dieu? Si on se rapporte à notre passé, nous allons réaliser que cela n’est pas d’aujourd’hui ces tromperies, ces mensonges, ces déguisements, car il y a ruses de Satan.

On déguise la Volonté de Dieu; on dit : "Ben, c’est la Volonté de Dieu, Dieu a donné de l’énergie à l’intérieur de l’être humain afin qu’il puisse utiliser cette énergie pour soigner les enfants de Dieu" : mensonge.

L’enfant de Dieu n’a reçu qu’une chose, une seule chose : le oui : "Oui, je suis enfant de Dieu; oui, je me sais aimé de Dieu; oui, je sais que Dieu existe; oui, je crois" : le oui, le oui qui est en nous, nourri par le oui du Fils, parce que le oui du Fils fait la Volonté de Dieu, le oui du Fils fait ce que Dieu veut pour nous.

Il n’y a rien qui puisse venir de nous, autre que le oui pour nos frères et nos sœurs.

Lorsque nous voulons aider notre frère, lorsque nous voulons aider notre sœur, nous le faisons en disant oui : nous devenons prière.

Oui, je vais prier, mais 'je vais prier' : qui je suis, moi, pour prier? Jésus, lui, prend ma prière, Jésus, lui, prie; Maman prend ma prière parce qu’elle est en le Fils, et elle est Enfant de la Divine Volonté, et nous, nous consentons à être prière, dans la prière, en Jésus, en la Trinité.

Voilà ce qui est pour nous une force, une puissance, c’est en nous; nous avons reçu la vie et la vie appartient à Dieu; la force est de Dieu, la puissance est de Dieu.

Dieu nous a donné tout ce qui nous était nécessaire pour demeurer vivant, être en santé, mais à cause de tout ce qui était extérieur et qui ne portait pas de grâce et qui est entré en nous, nous sommes tombés malades; et c’est avec ça qu’on veut soigner, c’est avec cette puissance d’énergie extérieure qu’on veut soigner!

Tout ce qui est extérieur n’est pas en nous pour nous servir, comme nous nous le voulons, au moment où nous le voulons; cela développe de l’orgueil : ce que l’on veut.

Qui met dans notre pensée de vouloir aider notre prochain, si ce n’est que Jésus nous a donné des enseignements : «Aime ton prochain comme je t’aime, aime ton ennemi comme je t’aime»? Tout ce qui est amour vient de Dieu.

Il n’y a rien qui nous appartient, et dire : "Je peux te guérir", c’est mensonge.

Personne ne peut nous guérir si ce n’est que Dieu seul, car la vie est de Dieu, elle n’est pas de mon frère, elle n’est pas de ma sœur; ils ne peuvent rien pour moi si ce n’est qu’ils peuvent donner leur oui pour prier pour moi; là, les grâces qu’ils obtiennent pour eux m'aident, c’est la seule chose qu’ils peuvent faire pour moi, rien d'autre : la prière.

Aujourd’hui, on apprend même à ne pas prier; aujourd’hui, on apprend à ne pas aller vers Jésus; aujourd’hui, on apprend à ne pas faire la Volonté de Dieu le Père; aujourd’hui, on apprend à rejeter ce qui est de l’Église; aujourd’hui, on apprend à juger; aujourd’hui, on apprend à être égoïstes; aujourd’hui, on apprend à développer notre moi : me, myself and I, je, me, moi.

L’Esprit de Dieu, il a dit : «Je, me, noie, je meurs» : je m’étouffe, je m’aveugle, je me rends sourd, je me paralyse, je m’empêche de vivre, je m’empoisonne, je me tue; voilà ce qu’est le Nouvel Âge, voilà ce qu’est la sorcellerie.

Le Nouvel Âge, c’est de la sorcellerie, c’est Satan qui se sert des enfants de Dieu et les transforme pour qu’ils puissent être son instrument, et nous le faisons sans vouloir le faire.

Croyez-vous que nos frères et nos sœurs qui se servent du reiki en disant : "Je vais te guérir, je vais te montrer comment te servir d’énergie," le savent?

Ceux qui ont écrit des livres sur l’autosuggestion, ils ont écrit ces livres pour aider; comment se fait-il qu’ils ont ce pouvoir de vouloir aider? Ils sont si embrouillés! S’ils s’arrêtaient en demandant de l’aide de Marie et de Jésus, ils verraient, ils verraient qu’ils ne peuvent pas être Dieu.

Il n’y a qu’un seul Dieu et c’est notre Dieu d’amour, Celui qui nous donné tout ce qu’il nous fallait pour vivre; Dieu ne nous a pas enlevé cela, tout est en nous.

Satan s’est arrangé pour faire des sons à l’extérieur, laisser pénétrer ça en nous, faire un silence pour encore aller chercher, laisser pénétrer ça en nous, faire un silence.

Mais ce qui est entré à l’intérieur de nous a fait de la place; il fallait que ça se loge quelque part, ça; comme ça se logeait quelque part, il fallait faire sortir quelque chose pour remplacer; alors, il fallait ébranler la personne pour qu’elle sorte sa foi, son abandon, sa confiance, son amour, son don de soi : vouloir mourir pour ceux qu’on aime; tout ce que Dieu nous a donné depuis Adam et Ève, depuis Adam et Ève : Satan le faisait sortir.

Lorsque Adam et Ève ont été dans la désobéissance, ils ont perdu la Divine Volonté; la Divine Volonté s’est retirée d’eux, et ils ont fait sortir leur volonté humaine; ce qui a entré en eux, c’est la connaissance du bien et du mal.

Alors, il a fallu qu’ils prennent des décisions, mais Dieu est amour, Dieu le Père continuait à les instruire; il leur donnait tout ce qui était nécessaire pour cultiver la terre.

Il leur montrait qu’une graine pouvait se retirer d’une telle plante pour la semer dans la terre, il leur montrait comment faire cela; il leur montrait comment cultiver la terre; il leur montrait comment se servir de tout ce qu’il y avait autour d’eux pour se donner de la facilité, car il fallait qu’ils travaillent la terre, il fallait qu’ils aient les matériaux pour s’abriter; tout leur était nécessaire; alors, Dieu les instruisait.

Les vêtements qu’ils avaient, eh bien, c’est Dieu qui les instruisait; il leur montrait comment faire, comment se servir de la plante; il leur montrait tout; tout était de Dieu, il leur montrait comment manger.

Lorsque Adam et Ève sont sortis, ils n’avaient pas toutes ces connaissances : Dieu les instruisait, il prenait soin d’eux, il les comblait.

Ça, croyez-vous que c’est sorti de nous? C’est en les enfants de Dieu.

Mais Satan, Satan, lui, veut qu’on ait confiance qu’en ce qui est de l’homme : de l’extérieur, parce qu’il a mis en certains hommes son pouvoir pour tromper l’homme; tout cela s’est fait par la descendance de Caïn.

Lorsque Caïn a tué son frère, souvenez-vous, pour l’avoir lu dans l’Ancien Testament, il a reçu une marque sur le front; Dieu a dit : «Tu ne peux demeurer ici, tu seras chassé loin de ma Face, mais on ne te touchera pas», parce que Caïn avait peur, avait peur de ce qu’il pouvait rencontrer.

Alors, il y avait donc vie en dehors des descendants d’Adam et Ève; il y avait vie sur la terre, il y avait du pouvoir et Caïn ne voulait pas de cela, il voulait être protégé par Dieu; alors, Caïn s’en alla au loin avec sa descendance; - il n’est pas parti tout seul, Caïn; souvenez-vous qu’Adam et Ève ont vécu pas loin de 1 000 ans; ils n’ont pas vécu 70 ans, 80 ans, ils venaient de la perfection - donc, ce qu’ils venaient de quitter était encore en leur chair.

Alors, leur chair était plus parfaite que la nôtre, alors, ils vivaient plus longtemps; comme ils vivaient plus longtemps, ils se sont multipliés; Adam et Ève n’ont pas eu qu’un enfant, deux enfants, trois enfants.

Les enfants avec les enfants se sont multipliés; ils ont eu des enfants entre eux, pourquoi? Parce que leur sang était plus pur que le nôtre; ils n’avaient pas le mal en leur chair, ils étaient parfaits avant le péché et après le péché, il n’y avait que le péché de la désobéissance en eux; ils louaient Dieu, ils adoraient Dieu, ils offraient des offrandes à Dieu.

D’ailleurs, Caïn n’a-t-il pas offert, au Créateur, ses œuvres? Abel n’a-t-il pas offert à Dieu ses œuvres, son amour? Dieu prenait cela, il agréait tout ce qui était de ses enfants; alors, ces enfants étaient devant Dieu, fidèles à Dieu, ils respectaient tout ce que Dieu leur donnait, les instruisait.

Alors, les enfants de Dieu se sont multipliés et la descendance de Caïn était nombreuse; alors, Caïn est parti avec sa descendance et lorsqu’ils ont été au loin, ils ont été loin de Dieu.

Caïn continuait de parler de Dieu, mais la faute qu’il avait commise, le sang qu’il avait laissé couler sur la terre avait fait naître une souffrance terrible à la terre : la terre avait goûté au sang qui venait de la Volonté de Dieu.

Comprenons que lorsque Caïn a tué son frère, la terre, c’était la première fois qu’elle goûtait au sang, car elle est vie la terre et la terre est obéissante à Dieu : la terre venait de reconnaître que ce n’était pas de la Volonté de Dieu, que cela était de l’infidélité à Dieu.

Comme la terre n'est obéissante qu’à Dieu, elle se durcit face à l’homme, et l’homme devait travailler plus la terre; la femme devait encore enfanter dans la souffrance : elle devait demander des grâces pour pouvoir enfanter avec les grâces de Dieu.

Lorsque les descendants sont partis au loin, ils ont été, entre eux, une tribu; mais il y avait des êtres autour d’eux, il y avait des êtres qui étaient possédés des démons : les anges déchus étaient des démons maintenant.

Les démons n’ont pas le pouvoir de créer; l’homme, d’ailleurs, n’a pas le pouvoir de créer, il crée ses œuvres à partir de ce qui est créé par Dieu.

Alors, là, les démons possédaient des animaux qui étaient de la création de Dieu; ils n’ont pas créé des animaux, ils ont possédé ce qui était déjà créé par Dieu.

Alors, eux, ce qu’ils ont fait, dès le début qu’ils ont été chassés loin de la Face de Dieu, ils ont possédé des animaux; les animaux se sont accouplés entre eux en ne respectant pas leur race parce qu’ils étaient possédés des démons; ce qui a fait que cela a changé les gênes : il y a eu mutation.

Les animaux se sont laissé prendre par le pouvoir de Satan; avec le temps et le temps, ils ont été transformés, si bien, qu’ils avaient presque forme humaine; ça, c’est le pouvoir de l’infidélité : ne pas respecter la création de Dieu, et tout cela était présent.

Et eux regardaient la descendance de Caïn, et ils observaient, ils apprenaient; ils imitaient, ils imitaient les gestes des humains, ils apprenaient : ils imitaient la façon d’être entre eux dans le but de les approcher.

Mais ils n’ont pas été tout de suite vers les hommes, ils ont été vers les femmes; ils ont séduit les femmes et les femmes se sont laissé séduire; et comme ils ont séduit les femmes, les femmes, elles, elles ont appris, elles ont appris à manipuler l'homme, à séduire l’homme; l'homme s'est laissé séduire, si bien, que lui aussi s’est laissé séduire pour aller vers les animaux pour faire le mal.

L’homme et la femme possédés de Satan mettaient des enfants du mal au monde, et tout cela a fait que ces enfants-là se sont laissé instruire par Satan.

Il y eut un être qui, lui, a été instruit par Satan d’une façon plus particulière que les autres et cet enfant a été mélangé avec la descendance de Noé.

Là, lorsqu’il y eut déluge, les enfants de Dieu avaient encore parmi eux le mal : un enfant du mal, et cet enfant du mal se laissait instruire par Satan; il lui montrait un pouvoir, un pouvoir sur tous les autres, car Satan lui disait qu’on n'oublierait pas cet être, que dans les cieux on se souviendrait de lui; d’âge en âge, on rapporterait tout ce qu’il apprenait pour le multiplier d’âge en âge, et cela s’est fait.

Aujourd’hui, nous vivons avec des connaissances qui viennent de Satan et ces connaissances viennent de ces êtres qui ont accepté de folâtrer avec des possédés, et cela a donné des enfants impurs, des enfants qui détestaient tout ce qui était de la Lumière, tout ce qui était de l’Amour; ils ne voulaient qu’une chose : pouvoir être des dieux.

Quelle est donc la différence aujourd’hui? Aujourd’hui, il y a des enfants qui aiment le pouvoir, qui veulent dominer les autres, qui veulent être au-delà de tous les autres; il y en a parmi nous.

Mais Dieu dit : «Attention, mes enfants, ne jugez pas vos frères et vos sœurs, ne cherchez pas à savoir qui sont ces enfants, vous n’avez pas le droit de juger la Création de Dieu.»

Nous sommes tous enfants de Dieu et Jésus est venu sur la terre pour porter tout le mal et l’amener à la mort, à la mort éternelle.

Nous n’avons pas le droit de dire : "Ah! ça c’est un enfant du non, ça c’est un enfant du oui"; nous devons être tout petits, nous devons faire ce que Dieu nous dit dans son Évangile : «Aime ton prochain comme je t’aime, aime ton ennemi, prie pour lui.»

Alors, nous devons prier pour tous ceux qui se servent de ces méthodes, nous devons les donner à Dieu; nous devons être prudents envers nous-mêmes, ne pas accepter cela dans notre vie si, de nos enfants, il y en a qui ont des objets qui ne sont pas de Dieu, des faux dieux.

Le Seigneur nous a parlé de Bouddha, le Seigneur nous a parlé d’Elfe, de fées; le Seigneur nous a parlé de pierres; le Seigneur nous a parlé de sorciers, de sorcellerie; tout cela, savez-vous que nos propres enfants, quelquefois, en ont chez eux? Quoi faire avec ça?

Dieu dit : «Garde ta paix, prie cela, sois enfant de Dieu; ne te garde pas dans la peur de ce qui sera demain pour ton enfant, tu ouvres une porte à Satan en ton intérieur.»

La peur, c’est quelque chose qui est comme le tonnerre à l’extérieur et quand ça rentre en toi, ça a un son sourd, on ne sait pas ce qui se passe à l’intérieur de nous, c’est là, ça se loge et on ne sait pas quoi faire avec; on va chercher à l’extérieur des consolations, on va chercher à l’extérieur ce qui pourrait calmer notre peur et on laisse pénétrer ça en nous : c’est de la nourriture qui nourrit notre peur.

Il n’y a que Dieu qui puisse nous donner la paix et c’est de l’intérieur qu’on va avoir la paix; il faut prier, il faut donner ça à Jésus.

C’est ça qui est la puissance, nous l’avons à l’intérieur de nous; il ne faut pas dire : "Mais, il y en a partout, il y en a tout autour de nous pour nous maintenir dans la maladie, dans les erreurs", non, il y a autour de nous la grâce de Dieu.

Il est dit : «Là où le mal abonde, la grâce surabonde»; c’est en ça qu’il faut avoir la foi, il ne faut pas paniquer, il faut continuer à prier comme la Mère de Dieu nous le demande.

Oui, plus on prie, plus on a l’impression qu’on a des attaques de Satan, c’est vrai; Satan nous attaque doublement pour nous faire tomber à terre, il ne veut plus qu’on prie; il va tout prendre les moyens pour nous empêcher de prier.

Il va même attaquer nos propres enfants, mais si nous gardons notre paix, là nos enfants vont voir et comprendre et ils vont avoir beaucoup plus foi en nous qui sommes dans la paix qu’en ceux qui leur disent : "Ben, écoute pas ça, tu vas pas te laisser embarquer toi aussi? Regarde-moi ça, ce n'est plus bon la religion, laisse ça de côté."

Voyez-vous, ils vont reconnaître, ils vont reconnaître que leurs paroles, ce sont des paroles de peur, ce sont des paroles qui manquent de confiance en eux-mêmes.

Si nous gardons notre paix, ils vont avoir confiance en nous parce que ce seront des paroles d’amour qu’on va leur dire; on ne les obligera pas à quitter leurs idoles, on n'obligera pas nos enfants à ne plus pratiquer la sorcellerie, parce que ce sont ces mots; il ne faut pas avoir peur de dire cela, mais, à eux, il ne faut pas utiliser, dire 'sorcellerie', ils vont nous en faire de la sorcellerie, ils ne sont pas prêts eux-mêmes à devenir ce que nous sommes.

Il a fallu des enseignements de Jésus, il a fallu des prières, il a fallu des personnes qui disent oui : "Oui, nous voulons la purification; oui, nous voulons que tous nos enfants se laissent purifier; oui, nous voulons vivre dans la purification en acceptant notre croix pour qu’on puisse la donner à Jésus et prendre la croix de nos enfants", c’est ce que Dieu veut pour nous, il nous instruit le Seigneur.

Ce que nous venons d’entendre, c’est ce qu’il y a dans notre cœur.

Nous formons un seul cœur et ce cœur bat dans l’Église, et nous entendons ce que le Saint-Esprit met dans notre cœur : c’est sa puissance.

Ça, c’est puissant, cela guérit, cela libère; nous nous laissons libérer, nous nous laissons guérir par la puissance du Saint-Esprit.

Alors, nous allons prendre un petit dix minutes, si vous voulez bien, pour nous dégourdir un tout petit peu et nous continuerons après. Merci.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Alors, si vous voulez bien, nous allons prendre un temps de questions et de réponses.

Les questions que vous allez poser, moi, je vais les répéter et, dans l’Esprit de Dieu, nous allons lui laisser toute la place, et il y aura des réponses.

 

Q.  Lorsqu’on va communier, est-ce qu’on peut offrir notre communion pour ceux qui sont morts?

 

RJésus : L’Esprit de Dieu est en chacun de vous, l’Esprit de Dieu vous fait grâce, mes enfants, de comprendre la valeur de l’Eucharistie.

L’Eucharistie, c’est le Sublime de mon Sacrifice; il donne nourriture, il donne à tous les enfants la joie de vivre en le Christ.

C’est moi qui me donne, c’est moi qui vous prends, c’est moi qui vous rends vivants; je fais naître en vous le besoin de vous donner, le besoin de prendre tout l’être que vous êtes et de vivre l’amour.

Lorsque je vous donne ma Vie, je répands ma Vie en vous, je répands ma joie en vous; le besoin de vous donner, mes enfants, ne vient pas de vous, mais vient de moi; le besoin de vous offrir, mes enfants, par amour, vient de moi.

Lorsque vous me communiez, je vous communie, et là, je vous prends, je vous donne tout ce qu’il y a de meilleur en vous.

Et vous, mes enfants, qui voulez vous donner pour les âmes, comme si ces âmes prenaient mon Corps et mon Sang, c’est que vous êtes en communication d’amour avec toutes les âmes du Purgatoire, c’est que vous donnez votre présence à tous ceux que vous aimez, et ceux du Ciel partagent cela avec vous : ils sont en moi.

Je suis, moi, l’Amour, je suis le Chemin, je suis la Vie, je suis tout ce que vous êtes, mes enfants.

Lorsque vous venez prendre ma Chair, lorsque vous venez prendre mon Sang, vous n’êtes plus vous, vous êtes moi; c’est moi qui prends ceux que vous aimez et je me donne à eux : je vous donne de l’amour.

Oui, ma bien-aimée, lorsque tu communies, tu peux communier pour ceux que tu aimes, mais je te garde pour moi, je te couvre de ma lumière, tu deviens si lumière, tu deviens la beauté de Dieu.

Un jour, je te montrerai ta splendeur en la Splendeur.

Je t’aime.

 

Q.  Quelle est donc la différence entre aller à la messe le samedi soir et ceux qui vont à la messe le dimanche, le septième jour?

 

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Beaucoup de personnes sont incapables d’aller à la messe le dimanche parce qu’ils travaillent; ils voudraient aller à la messe, alors l’Église a bien voulu leur donner ce moment.

Alors, la messe qui est pour le dimanche est reportée pour eux, et là, ils peuvent assister à la même messe que ceux qui vont assister le dimanche, ça veut dire : les liturgies du dimanche sont les mêmes que le samedi soir.

Mais Dieu va te demander : «Est-ce que tu aimes ton Dieu de toute ton âme, de tout ton esprit, de tout ton cœur, de toutes tes forces? Est-ce que tu veux lui donner ta vie? Est-ce que tu veux lui donner ton temps? N’est-ce pas cela donner sa vie, ton temps? Prends le temps de venir le dimanche : «Le dimanche, tu garderas en servant Dieu dévotement.

Aimez, aimez sans condition; amenez avec vous ceux qui ne peuvent pas venir le dimanche; gardez-vous dans la paix et n’émettez pas d’opinion sur ceux qui sont absents le dimanche, amenez-les dans votre cœur, priez cela.

Aujourd’hui, le monde moderne s’ajuste; aujourd’hui, les enfants de Dieu s’ajustent.

Ceux qui sont amoureux fous de Jésus, ceux qui aiment de toute leur âme, de toute leur force, de tout leur esprit, de tout leur cœur font des milles, des milles et des milles pour assister à la messe le dimanche.

L’Esprit de Dieu est sur vous, mes enfants.

Soyez bons envers vous-mêmes, soyez bons pour mes enfants.

Je vous aime.»

 

Q.  Je voudrais savoir, hier quand on a parlé de confession…s'il faut aller souvent à la confesse pour rester dans la foi?

 

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Maman Marie, à certains endroits où elle apparaît, dit : «Une fois par mois.»

Mon confesseur dit : "Viens aussitôt que tu en sens le besoin."

Lorsque nous sentons en nous le besoin d’aller à la confesse, allons à la confesse; si nous ne sentons pas le besoin d’aller à la confesse, allons au moins à la confesse le temps de Pâques, le temps de Noël.

Mais si vous voulez recevoir Jésus avec votre âme toute belle, toute pure, si vous voulez vous maintenir en santé physique, morale, de cœur, allez une fois par mois.

Vous savez, la confession, c’est de la guérison, c’est de la force.

Il y a des personnes dépressives qui, après avoir été régulièrement à la confesse, ont retrouvé la santé; d’autres avaient le cancer ont retrouvé la santé et cela vient de témoignages de prêtres.

Voyez-vous, lorsqu’on va voir un prêtre, on ne va pas voir l’homme, on va voir Jésus, et Jésus, lui, fait des miracles, guérit, libère, à chaque confession.

Les prêtres vieillissent, il y en a très peu; alors, soyons aussi des enfants qui regardent ce qui se passe autour de nous.

Si nous allons voir le prêtre à tous les deux, trois jours, toutes les semaines, alors que nous n’avons rien fait de mal, dites-vous que d’autres en ont besoin : espacez votre temps.

Et Jésus va dire : «Ne tardez pas trop.»

Merci.

 

Q.  La confession générale, on est tout ensemble, comment t’appelle ça? La confession générale, ça, j’aimerais en savoir plus à propos de cela. Tu sais, tu t'humilies devant le prêtre et tu peux avoir faitdes choses!

 

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Notre Saint-Père le Pape a envoyé des documents à tous les évêques, leur disant que la confesse individuelle est toujours de mise en temps ordinaire, ça veut dire lorsqu’il n’y a pas de danger pour la vie des enfants de Dieu.

Mais lorsqu’il y a danger, on parle d’un danger, un exemple : si nous sommes sur un bateau et que le bateau coule, là, le prêtre peut faire une confession générale, c’est ce que le Pape a demandé.

Mais gardons-nous de juger ce qui se passe en ces temps.

À certains endroits, nous voyons de la désobéissance; mais quelle est donc la différence si nous jugeons et que nous voyons la désobéissance? Nous sommes dans la désobéissance, car nous n’avons pas le droit de juger, nous n’avons pas le droit d’écraser notre prochain.

Alors, aimons sans condition; ne jugeons pas, mais prions; c’est la prière qui guérit aussi, c’est la prière qui ouvre les cœurs; alors, ayons la foi, gardons cela, et demeurons là où Dieu nous veut.

S’il y en a qui ont besoin de notre silence dans la force de Dieu, dans la Volonté de Dieu, cela veut dire que c’est là que Dieu nous veut : près d’eux.

Merci, Seigneur.

 

Q.  J’aimerais que tu parles un peu de la purification de la chair.

 

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : La purification de la chair est commencée; pour moi, depuis 2001, il me parle pour ce mouvement.

La purification de la chair, ça fait partie de ce que nous vivons en ce moment même.

Nous avons été préparés par la Vierge Marie; dès les premières apparitions, le Ciel nous préparait à une très grande conversion; il dit qu’il y aura un grand rassemblement.

C’est vrai qu’il y aura un grand rassemblement où tous les enfants de Dieu sauront qui est Dieu, qui est le Fils de Dieu; il n’y aura plus jamais, après cela, de confusion.

Il est dit dans la Bible : «Je reviendrai parler dans les cœurs, je reviendrai changer les cœurs de pierre en cœurs de chair; partout où sera mon peuple, je lui parlerai; où qu’il soit, je lui parlerai.»

C’est ce qu’il fait avec nous, il parle dans nos cœurs; il dit que nous avons le cœur endurci par tout ce que nous avons accepté; il dit comme ça : «Il fallait que vous touchiez au fond du baril.»

Voilà pourquoi c’est le temps.

L’homme s’est abaissé plus bas que l’animal, et il s’est conservé à l’intérieur de ça jusqu’à se détruire lui-même; il est devenu si orgueilleux de lui-même qu’il est devenu un dieu pour les autres et pour lui-même.

Lorsqu’il parle de l’homme, il parle de la femme, il parle à l’homme et à la femme, ce que nous sommes, de tout âge.

Alors, il vient, lui, nous prendre pour nous transformer; ce n’est pas nous le Purificateur, c’est Jésus.

Alors, il a commencé par écrire dans ses quatre volumes ce que nous étions et, après, il a rassemblé des petits groupes comme on est aujourd’hui et, par la puissance du Saint-Esprit, il vient parler dans les cœurs.

Il fait ce qu’il a dit dans la Bible.

Il vient démontrer que c'est lui qui peut nous transformer et que ce n'est pas nous; il nous montre à lui donner nos pensées, nos regards, notre écoute, nos paroles, nos actions, nos sentiments.

Il vient chercher tout cela, mais il nous respecte, il nous respecte dans notre liberté; il ne veut pas obliger les enfants à donner ce qu’ils ont accepté contre eux-mêmes, il faut que ça vienne de nous.

Il dit : «Vous allez vivre le même cheminement que moi j’ai consenti à vivre par amour pour vous», c’est-à-dire à prendre tout ce qui est mal et à le donner, c’est ce que Jésus a fait.

Il a pris toutes nos pensées, tous nos mouvements là, il les a pris comme si c’était pour lui et il a souffert à cause de tout cela et il a apporté ça à la mort.

Et le Père, lui, a regardé son Amour et il nous a vus, il a vu que les enfants qu’il portait, Jésus, étaient purs, remplis de lumière, et là, cette lumière, il l’a redonnée au Fils et il en est ressuscité.

Voyez-vous comment c’est puissant? Mais nous, nous n’avons pas vécu encore notre résurrection.
Jésus, lui, est ressuscité, nous ne le sommes pas, parce que, si on était ressuscités, comment ça se fait que nous ayons des maladies comme le cancer, comme le diabète, l’arthrite? Comment ça se fait que nous soyons si dépressifs? On est dans la confusion.

On se trompe en ce qui est de Dieu et de ce qui est de Satan, de ce qui est du pouvoir et de ce qui est du pouvoir de Dieu; on est complètement mélangés, si bien, que ceux qui sont dans les erreurs essaient de nous convaincre, essaient de nous dire : "Mais, il n’y a pas de mal à ça, nous sommes faits d’une énergie, d’un pouvoir, d’une lumière."

C’est parce que, il y a tant d’années, d’années, d’années et d’années que l’homme a accepté tout ce qui était contre lui, qu’aujourd’hui il n’est pas capable de s’en sortir par lui-même; ce n’est que Dieu qui va éclairer ces enfants-là, seulement que Dieu.

Alors, la Purification, c’est pour chacun de nous.

Toutes les rencontres que nous faisons un peu partout, et cela depuis surtout 2002, 2003 là, surtout là 2004, 2005, chaque rencontre, ce sont des mouvements d’amour qui nous libèrent et qui nous guérissent.

Il nous parle dans notre cœur et, à chaque fois, il y a guérison, il y a libération; tout cela est important.

Qu'on vienne à une rencontre comme celle-ci et qu’on ne se nourrisse pas des autres rencontres, mais c’est comme si on ouvrait un livre au milieu d’une page, et dire : "Bon, bien, moi, je sais tout ce qu’il y a d’écrit dans le livre.»

Non, on ne sait pas ce qu’il y a d’écrit dans le livre à cause d’une seule rencontre; vous allez oublier, vous allez dire : "Il s’est passé quelque chose", mais il reste que vous ne poursuivez pas.

Il faut poursuivre la purification, il faut ne pas laisser de place au doute, il faut laisser Jésus lui-même nous purifier.

Maman Marie nous apprend l’abandon, l’obéissance à travers de ces rencontres.

C’est seulement Jésus qui va le faire.

Si on veut aider nos enfants, il faut commencer par nous; nous voulons vivre la purification dans notre chair, on veut que le mal ne soit plus en nous, on ne veut plus que nos enfants souffrent, alors il faut commencer par nous.

Ils vont nous regarder, ils vont voir les fruits et eux aussi vont être portés à revenir, à vouloir entendre ce que nous on a entendu par la puissance de Dieu.

C’est pourquoi nous sommes réunis ici : c’est pour tous nos frères et nos sœurs du monde.

La purification ne se fera pas pour nous individuellement, elle se fera pour tous les enfants de Dieu collectivement : c’est une affaire pour chacun de nous, pour tous les autres.

Alors, nous allons nous arrêter ici.

Alors, merci Seigneur.