Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Saint-Joseph, Nouveau-Brunswick,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

 

2006-09-07

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Mon nom est Francine, Francine Bériault.

Le Seigneur me donne un  nom : la Fille du Oui à Jésus, mais il donne ce nom à vous autres aussi; il dit : «Ils sont tous mes filles du oui à Jésus et mes fils du oui à Jésus», pourquoi? Parce que nous sommes, par Dieu le Père, à Jésus.

C’est comme si Jésus avait pris notre vie et la vivait; il a accepté d’être pour nous notre vie, être ce que nous sommes dans une chair qui a blessé son Père.

Notre âme a toujours été fidèle à Dieu; c’est nous qui avons consenti à ce que notre âme soit sale devant Dieu; notre âme, elle vient de Dieu, elle reconnaît Dieu, elle sait être de Dieu, mais notre chair a de la difficulté…

Dans notre vie, nous avons fait des choix; depuis notre enfance nous avons choisi nous-mêmes : “Je veux faire ceci, je veux pas faire cela”, mais cela a apporté dans notre vie des conséquences; il y a eu des conséquences à cause de nos choix et ces conséquences, parfois, nous ont fait trébucher.

Lorsque nos choix étaient bons, les conséquences nous apportaient du bonheur, la paix, de la joie; on aimait partager; mais lorsque nos choix n’étaient pas des choix voulus par Dieu, eh bien, les conséquences nous apportaient des souffrances, de très grandes souffrances : notre vie est devenue pour nous une plaie.

C’est difficile de vivre dans un corps qui souffre, c’est difficile de vivre avec des pensées qui sont en contradiction avec ce que nous, on voudrait, parce qu’au plus profond de nous-mêmes, on veut être bon; notre âme, elle, est nourrie des grâces de Jésus et c’est notre âme qui fait que nous voulons bien nous conduire, mais notre chair est en contradiction avec cela lorsque nos choix sont mauvais.

Plusieurs d’entre nous, et la plupart, avons lu l’Ancien Testament; l’Ancien Testament nous relate la vie des premiers enfants de Dieu, le peuple de Dieu, les choisis de Dieu; ils ont été pour nous des témoins, témoins de leurs choix à eux.

Lorsque leurs choix étaient des choix qui plaisaient à Dieu, eh bien, Dieu les regardait et Dieu les comblait, il les amenait dans une terre fertile, là où tout était en abondance; là, ils vivaient devant la face de Dieu comme des enfants de Dieu, en paix avec eux-mêmes, en paix avec leurs voisins aussi.

La famille grossissait; il y avait les enfants qui apportaient à la famille de l’amour, comme les parents apportaient de l’amour à leurs enfants; mais lorsque leurs choix n’étaient pas un choix d’amour envers leur Créateur, alors ils vivaient leurs choix, leurs conséquences : il y avait la guerre, il y avait la souffrance, la domination; ils étaient en proie à ceux qui étaient plus forts qu’eux; alors, le peuple de Dieu souffrait.

Cela n’a pas changé avec nous; aujourd’hui, nous regardons cela différemment; c’est comme si c’était un monde avant nous, un monde à part, un monde qui a souffert, un monde qui a fait la guerre et un Dieu qui regardait son peuple et qui parlait fort.

Eh bien, Dieu vient parler dans nos cœurs, il vient parler d’amour, il vient parler de miséricorde, il vient parler de sa justice et il vient parler de nos choix, de nos conséquences, de notre justice; on a voulu faire notre propre justice et nous en vivons les conséquences.

Tout ce que nous sommes aujourd’hui, c’est le résultat de ce que les autres ont été; nous portons leurs conséquences et nous faisons vivre à nos enfants nos conséquences : c’est ce que Dieu parle dans vos cœurs.

Ce que vous êtes en ce moment ce sont des instruments; vous êtes des instruments entre les mains de Dieu; vous avez consenti à être présents ici pour entendre parler Dieu, mais Dieu, lorsqu’il parle, il parle d’amour, il parle de vérité, parle de lumière.

Nous sommes amour, nous sommes vérité et nous sommes lumière; nous sommes amour lorsque nous nous comportons bien envers Dieu et bien envers notre prochain.

Nous sommes vérité lorsque nous voulons entendre la vérité; si nous voulons entendre ce qui nous plaît pour flatter notre chair, nous ne sommes pas vérité, nous sommes des êtres de souffrance qui (veulent) être consolés avec nos propres choix.

Mais Dieu n’est pas ainsi, Dieu est la justice, alors il nous rend lumière; il nous fait voir ce que nous sommes vraiment à l’intérieur de nous, ce que nous sommes devenus à l’intérieur de nous : un peuple de souffrances, un peuple choisi pour vivre dans une terre d’amour.

Pour vivre dans une terre d’amour, il faut la mériter, il faut connaître ce que nous sommes; Dieu a dit : «Le chemin sera étroit»; celui qui s’attend à vivre sur cette terre dans un chemin large, eh bien, il avance avec tout ce qu’il y a autour de lui : la misère du monde, la souffrance, la pauvreté, l’orgueil, la méchanceté, la guerre.

Tout cela, on avance avec, mais lorsqu’on accepte de marcher sur les pas de Jésus, là on connaît un chemin étroit, un chemin qui nous apprend à renoncer à nous-mêmes, renoncer à ce que nous sommes, renoncer à notre vie de ce monde.

Jésus est venu en ce monde, il n’était pas de ce monde; il est venu vivre avec ce monde pour nous faire connaître son Père, pour nous faire connaître son amour, sa miséricorde.

Jésus n’est pas venu pour condamner, il est venu pour nous apprendre comment nous conduire; Jésus est venu nous montrer ce que nous étions à cause de nos choix, à cause de ceux qui étaient avant nous et qu’à cause de leurs choix, nous étions pour connaître la souffrance.

À chaque jour nous vivons la vie en Jésus; souvenez-vous que Jésus a souffert l’agonie, Jésus a accepté de vivre nos vies; à cet instant, Jésus, dans son agonie, a connu nos choix et nos conséquences; cela l’a tellement fait souffrir qu’il en a transpiré du sang tant que cela était souffrant.

Eh bien, c’est notre vie, ce n’est pas sa Vie à lui qui l’a fait transpirer du sang, c’est notre propre vie tous ensemble, et il a accepté par amour; ça (ce sont) les pas de Jésus.

Alors, nous devons suivre les pas de Jésus : nous devons accepter de nous regarder en face, de regarder ce que nous sommes devenus et apprendre à nous aimer, apprendre à nous pardonner, apprendre à être entre les mains du Christ pour la plus grande Gloire de Dieu le Père.

La vie que Dieu le Père nous a donnée est une vie d’amour; ça, c’est la vie de Dieu, mais nous avons fait nos propres choix; dans cette vie que nous avons eue, Dieu a mis de la liberté : nous sommes libres, nous sommes libres de choisir, d’avancer, de demeurer et de mourir.

Avancer : nous sommes venus pour faire des actions, nous sommes venus pour donner une partie de nous-mêmes, pour être comblés de Dieu, pour être aimés de Dieu; lorsqu’on accepte d’avancer et qu’on se fait connaître à notre prochain comme Dieu le veut, eh bien, on reçoit de l’amour, on reçoit de l’amour de notre prochain; eh bien, si on reçoit de l’amour de notre prochain, on reçoit de l’amour de Dieu, parce (qu’il) ne peut pas nous donner de l’amour, le prochain, si ce n’est que de l’amour de Dieu.

Lorsqu’on accepte d’être enfants de Dieu, eh bien, nous nous accomplissons, nous demeurons dans ce que nous sommes : des êtres faits de la Volonté de Dieu; nous sommes faits pour aimer, nous sommes faits pour servir, nous sommes faits pour prendre ce que Dieu nous a donné pour le montrer aux autres; alors, nous demeurons dans notre vie d’amour, dans celle que Dieu nous a donnée.

Alors, nous sommes faits pour mourir : mourir dans cet amour, mourir en Jésus, découvrir cet amour, découvrir qu’il est bon de se donner pour ceux qu’on aime; ça c’est Jésus, ça c’est notre vie, ça c’est la vie que Dieu nous a donnée.

Mais il nous a donné la liberté, cette liberté; alors, nous avons des choix : “Est-ce que je vais aimer mon prochain? Est-ce que ça me tente de partager ma vie avec lui, de me priver, de garder le silence lorsque lui n’est pas du même avis que moi? Est-ce que je veux, moi, être pour mon prochain un être d’amour ou je veux tout simplement le tasser parce qu’il me gêne? Je veux faire ma vie”; ça, c’est (mon) choix, et Dieu nous laisse libres dans ce choix. Il (ne) vient pas, Dieu, nous dire à tous les soirs : «Demain, tu vas rencontrer un tel et tu vas partager ton auto parce que, lui, son auto est brisée, (il) (ne) peut pas se rendre à son ouvrage alors que toi tu as congé aujourd’hui»; Dieu ne nous dira pas cela; il va nous donner le choix et c’est à nous de le prendre le choix.

Si demain nous avons à rencontrer un patron, eh bien, nous aurons le choix de bien nous comporter devant lui ou de l’affronter, de lui dire ce qu’il y a dans notre cœur, qu’on n’est pas d’accord avec telle ou telle chose; ça, c’est notre choix.

Dieu va nous laisser libres dans ce que nous sommes; il (ne) nous dira pas : «Tu ne prendras pas ton auto parce que demain il va arriver un accident», non, il va nous laisser libres de prendre notre auto et de dépasser la limite et d’avoir un accident : c’est notre choix.

Dieu nous laisse libres; dans tout ce que nous sommes, Dieu nous laisse libres, pourquoi? Parce qu’il nous a donné la vie, il nous a donné l’amour, il nous a dit : «Je te donne mon amour; va vivre avec ta vie; je vais te donner des grâces et tu vas vivre avec; demeure dans l’amour que je t’ai donné et tu auras tout de moi»; eh bien, ça, c’est un Dieu d’amour.

Nous sommes libres de vivre notre vie au présent comme nous la voulons, pas comme Dieu veut nous obliger; Dieu (ne) veut pas nous obliger à vivre une vie d’amour, il nous l’a donnée cette vie d’amour; il est trop amour pour nous obliger, ça ne serait pas de l’amour, ça serait de l’esclavage, du contrôle, de la domination, de la servitude.

Dieu est notre Père, Dieu est notre tout, il est notre amour, il est notre souffle, notre lumière; tout ce que nous sommes est Dieu.

Lorsqu’on se regarde et puis qu’on est fier de nous, eh bien, c’est comme si on (voyait) une partie de Dieu : on voit la fierté de Dieu, sa tendresse, sa justice, sa délicatesse pour nous; lors(qu’on) se regarde et qu’on est fier d’avoir partagé, eh bien, nous sommes le partage; Dieu est le partage, Dieu est l’amour, Dieu est notre tout.

Tout ce que nous sommes de bon est de Dieu; alors, c’est comme si Dieu se révèle à nous lorsqu’on voit quelque chose de bon : c’est notre Père.

Regardez quand vous mettez un enfant au monde : vous regardez l’enfant qui joue, vous êtes fiers de l’enfant, mais vous vous voyez : “Oh! il a mes manies; regarde, il partage parce que je lui ai montré.”

Vous vous voyez dans tout ça; que ce soit votre fils ou votre fille, vous voyez une partie de vous-mêmes dans cet enfant.

Eh bien, Dieu est ainsi, Dieu aime se voir dans nos bonnes actions, mais lorsque nous faisons de mauvaises actions, Dieu détourne son regard de nous; il ne veut pas voir sa création dans son imperfection, car l’enfant est imparfait dans ce qu’il est.

Dieu est parfait, alors il ne regarde pas notre imperfection, car il n’a pas vu ce qu’il est en nous; il ne peut pas se voir parce qu’il n’est pas imparfait, Dieu : il est parfait.

Alors, lorsqu’(on) dit : “Mais Dieu, comment ça se fait que tu m’as laissé faire, comment ça se fait que tu étais pas là?” Mais Dieu était là, mais il nous laissait libres dans nos choix qui (n’)étaient pas des beaux choix; il avait tourné son regard, mais il était toujours présent, Dieu : toujours présent.

Souvenez-vous que, dans l’Ancien Testament, lorsqu’il détournait son regard de son peuple, son peuple partait à la dérive : il (y) avait des guerres, (il) connaissait la famine, (il) connaissait des épidémies, et là, le peuple commençait à prier Dieu tous ensemble, il suppliait Dieu Yahvé de venir à leur aide.

Eh bien, Dieu les aidait parce que Dieu était toujours avec eux; Dieu avait (dé)tourné son regard, mais sa présence? Il n’avait pas fui le peuple de Dieu; même si le peuple de Dieu ne voulait plus de lui, idolâtrait d’autres dieux que lui : Dieu était toujours présent.

Eh bien, c’est ce qu’il est avec nous; lorsque nous faisons de mauvais choix, Dieu détourne son regard, il respecte nos choix à nous, et nous demeurons dans nos choix; nous souffrons, nous créons dans notre famille de la discorde avec nos voisins, nous commettons des actes impurs; alors Dieu, qui a détourné son regard, ne peut rien pour nous jusqu’au moment, là, on saura : un tout petit repentir de nous, et Dieu nous donne des grâces, pourquoi? Parce qu’il nous a donné son Fils.

Son Fils est venu sur la Croix, il a pris tous nos péchés, absolument tout; alors le Sang de Jésus qui a coulé sur nous, nous le ressentons; voilà pourquoi le repentir devient pour nous une grâce, et Dieu, là, il nous comble de grâces, il nous fait avancer sur le chemin de son Fils.

Nous connaissons des moments où, là, nous voyons; nous voyons que nous nous sommes mal conduits, nous voyons que nous pouvons nous rattraper, nous voyons que nous pouvons pardonner à notre prochain, ou quelquefois on baisse la voix parce qu’on a parlé trop fort.

Mais (ce sont) des grâces qui nous font faire ça; croyez-vous que nous, on peut nous donner de l’amour par nos propres choix? C’est Dieu qui nourrit, c’est Dieu qui est l’Amour.

Nous avons souvent pensé : “Ben, je fais ce que je veux, je fais mon travail, c’est moi après tout qui viens de faire ma journée”; si on s’arrêtait un tout petit peu pour penser : “Le souffle que j’ai à l’intérieur de moi, d’où vient-il? Toutes ces cellules qu’il y a à l’intérieur de moi, qui les nourrit? Qui fait en sorte que je peux faire une bonne action? Qui alimente tout ça?  Est-ce que ce serait mon battement de cœur qui fait circuler mon sang?”

 

Jésus : Alors, dites-moi : “Qui fait battre votre cœur? Qui fait que votre cerveau fonctionne?” Qui dit : “Ah! je peux faire une telle et telle action?” Alors, dis-moi : «Quelle est l’intelligence que tu as, d’où vient-elle cette intelligence, toi qui es venu au monde et qui ne savais ni parler ni marcher? Qui t’a donné tout cela? On te l’a appris? Qui a appris (à) cette personne à te montrer ce que tu devais faire? Ne sais-tu pas que c’est moi la Vie? Un seul mouvement de moi et tu n’aurais plus rien en toi.»

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Tout est de Dieu, absolument tout; Dieu est un Dieu d’amour, il nous donne sa Vie; à chaque fraction de fraction de fraction de seconde, Dieu nous soutient dans ce que nous sommes : nous sommes l’œuvre de Dieu, nous sommes création de Dieu.

Ce que vous êtes en ce moment, ce sont des mouvements d’amour en l’Église; toutes ces paroles, vous les portez à l’intérieur de vous, et Dieu permet à l’instrument que je suis de les entendre et de les répéter par la puissance du Saint-Esprit; c’est ce que vous êtes ce que vous entendez en ce moment, parce que Dieu connaît votre don d’amour, Dieu sait que vous aviez besoin d’entendre votre intérieur.

Alors, Dieu dit à l’être que je suis de fermer les yeux.

 

Jésus : Je suis la Toute-Puissance d’amour; tout en moi n’est que saveur, en vous je suis.

La Parole est vivante, la Parole est vérité; vous (n’)êtes vrais que lorsque vous acceptez d’entendre votre Dieu; votre Dieu est le Tout de votre tout; vous êtes complets, mes enfants.

Tout ce que mon Père vous a donné, il vous l’a donné par amour, et moi je suis venu apporter à votre intérieur ce qui vous manquait pour apprécier ce que mon Père vous avait donné.

La Parole fait de vous des êtres de lumière, la Parole fait de vous des êtres qui (aiment) comprendre, et le Saint-Esprit est sur vous pour vous faire réaliser l’impact de votre vie en l’Église; vous vous nourrissez les uns et les autres de la Parole, et la Parole présentement est vous-mêmes.

Moi, le Fils de Dieu, je suis venu vers vous afin de vous apporter la preuve de votre vie en l’Église; l’Église est moi, l’Église est vous, vous êtes mes membres; je suis la Vie, je suis ce que moi je suis : le Tout de l’Amour.

Enfants de vérité, soyez attentifs à ces paroles, laissez-vous prendre par ce mouvement d’amour; ce mouvement vous apporte des guérisons, ce mouvement vous apporte ce qui vous est nécessaire pour avancer dans votre quotidien; il est bon de laisser parler votre Dieu afin que chacun puisse entendre ce que l’autre a en lui.

Chacun de vous, (vous) formez un tout en ce moment et vous apportez de vous-mêmes à l’Église : de l’amour; mon Église a besoin d’amour parce que beaucoup d’enfants en ce monde ne croient plus à l’amour du prochain.

Regardez, mes enfants, la guerre; regardez les révoltes; regardez les épidémies; la maladie prolifère parce que les enfants de mon Père ont de la difficulté à voir l’amour du prochain; l’amour du prochain vous est nécessaire comme l’air que vous respirez.

Je suis, moi, l’Amour, et je suis avec vous pour vous montrer que vous êtes aussi l’amour; lorsque je me suis donné, j’ai pris tout de vous-mêmes et je l’ai présenté à mon Père comme si c’était moi : vous-mêmes, et tout ce qui était impur, je l’ai purifié de mon Sang afin d’apporter à la mort tout ce qui vous faisait souffrir.

La souffrance, mes enfants, est dans votre vie jusqu’au jour où vous accepterez de ne plus être vous-mêmes, mais être moi.

Je viens vous apporter de la paix, je viens vous apporter de l’amour dans votre vie pour votre prochain; connaître votre vous-mêmes, c’est connaître votre prochain; être vrais envers vous-mêmes, c’est connaître que votre prochain est vrai lui aussi lorsqu’il accepte votre amour; c’est comme une nourriture qu’il reçoit; il a besoin de cette nourriture pour réapprendre à être amour; votre prochain, mes enfants, a besoin de vous comme vous, vous avez besoin de lui : tout ne doit être qu’harmonie d’amour.

Je suis venu et j’ai multiplié : j’ai multiplié le pain, j’ai multiplié les deux poissons, mes enfants; n’est-ce pas pour nourrir les enfants de mon Père? Les enfants de mon Père, c’est vous-mêmes; vous êtes tous ensemble et tous ensemble vous êtes le prochain; nourrissez-vous les uns et les autres de mes grâces.

Je vous donne de la nourriture vivante afin que vous puissiez partager; la nourriture de Dieu n’a pas la valeur de votre nourriture, car elle est parfaite : elle ne blesse pas, elle est amour et elle apporte de l’abondance.

Soyez abondants afin que vous puissiez être ce que vous devez être devant mon Père : des êtres prêts à vous donner à chaque instant pour votre prochain; votre prochain commence par vous-mêmes; votre prochain c’est votre époux, votre épouse, votre maman, votre papa, vos frères, vos sœurs, votre voisin, (votre) paroisse, votre diocèse, et ainsi de suite, mes enfants.

Voyez-vous, Dieu est la Lumière et lorsque vous acceptez la Lumière, vous devenez vous-mêmes lumière et là vous commencez à voir; vous commencez à voir que dans votre vie cela n’a pas toujours été amour pour vous-mêmes et votre prochain; vous commencez, avec mes grâces, à regarder et à accepter, à accepter de tout me donner.

Je viens parler dans les cœurs afin que vous-mêmes puissiez entendre votre intérieur; votre intérieur a faim de moi, votre intérieur sait reconnaître son Dieu d’amour.

Je ne viens pas parler à votre chair, à votre intellect; les hommes, eux, le font; moi, je viens parler en vous-mêmes d’amour, de ce que vous, vous êtes; c’est à l’intérieur de vous que vous êtes vraiment les enfants de mon Père : la Vie; là il y a de l’amour; l’amour : c’est vous.

Enfants de la vérité, soyez dans ce mouvement d’amour pour vous-mêmes; soyez dans ce mouvement d’amour pour votre prochain, ne cherchez pas à devancer mes paroles; laissez-vous prendre par mon mouvement, c’est moi en ce moment qui vous nourris de mes grâces, vous, vous ne pouvez rien.

Que vos pensées soient entre mes mains, là tout devient pour vous plus facile : vous ne cherchez plus à contrôler, mais à vous abandonner; vous ne cherchez pas à comprendre, mais à tout laisser à Dieu, et votre vie se met à ressentir cet amour que vous avez toujours cherché : un amour qui vous apporte une vérité.

Quelle est donc cette vérité que vous avez toujours cherchée, si ce n’est que d’être vrais envers vous-mêmes pour qu’un jour vous puissiez vous présenter devant mon Père? Vous êtes appelés à vivre pour l’éternité dans le Royaume de mon Père, devant mon Père.

Pour aller à mon Père, il faut mourir en moi, Jésus.

Comme il est bon de vivre en Jésus! Je prends votre vie et je la rends douceur, humble, prêt(e) à s’offrir continuellement, à servir; c’est facile, mes enfants, d’être au service des autres lorsque vous me donnez tout, lorsque vous avez confiance en moi; c’est moi qui vous transforme, c’est moi qui fais de vous des êtres d’amour, des êtres vrais.

Laissez-vous prendre par ma Volonté; ma Volonté n’est-elle pas la Volonté de mon Père? Elle est puissante, elle est vraie, elle ne vous accable pas, elle ne vous écrase pas sous vos poids de chaque jour; oh! oui, vous avez à chaque jour fait de votre vie une pesanteur à cause de vos choix; toutes les conséquences de vos souffrances, c’est vous, mes enfants, qui en avez été les auteurs.

Dieu est bon envers vous; il veut que vous soyez bons envers vous-mêmes et, tranquillement, je vous nourris de lumière afin que vous puissiez comprendre; ne cherchez pas à changer votre vie, car moi je ne veux pas la changer, je veux la transformer.

Votre caractère, Dieu le connaissait avant même que vous veniez en ce monde; c’est avec votre caractère que vous devez vivre votre vie, faire vos choix, vos bons choix; ce que vous êtes, mon Père l’aime, il aime l’enfant d’amour que vous êtes, il aime l’enfant présent en son Fils, il aime l’enfant de la Lumière, il aime : vous; vous êtes à lui.

Je viens parler de vos choix qui vous ont fait souffrir, afin que vous me donniez vos oui, et moi je guéris; et lorsque vous guérissez, vous vous laissez transformer; ce que vous êtes devient plus beau, plus acceptable jusqu’au moment où vous allez être parfaits.

Vous savez tous, pour l’avoir lu, mes enfants, que vous devez être à ma ressemblance et que vous devez être parfaits comme mon Père est parfait; alors, à moi de tout faire, pas à vous, à moi seulement.

Je veux tout ce que vous avez accepté dans votre vie, absolument tout; je veux que vous me donniez tout ce que vous avez consenti de faire; je veux que vous me donniez les conséquences de vos choix puisque j’ai déjà tout pris; mais c’est chacun de vous qui doit me donner : à chaque instant que vous vous apercevez que vous vivez la conséquence de vos choix.

Chaque mouvement donné devient une guérison à l’intérieur de vous : une cellule morte reprend vie, une cellule malade reprend vie; et combien de cellules, mes enfants, sont malades; combien de cellules, mes enfants, sont mortes!

Je suis la Vie; vous, pouvez-vous faire revivre une seule cellule morte, aussi petite soit-elle? Vous ne pouvez pas, moi si; pouvez-vous redonner vigueur à une cellule malade? Même avec vos médicaments, vous ne le pouvez pas; vous pouvez soulager, mais vous ne pouvez pas lui redonner son état pur qu’elle était; moi je le peux car je suis la Vie, je suis la Résurrection, à moi de faire de vous des êtres de résurrection en votre chair.

Oui, mes enfants, je veux redonner à votre vie son état de pureté, de perfection.

Personne en ce monde ne peut vous parler ainsi et tenir promesse, moi je le peux; ces paroles sont dites à l’intérieur de vous, elles viennent de votre intérieur et non pas de votre tête : tout est de Dieu.

Que la Volonté de mon Père soit sur chacun de vous; que cela, mes enfants, puisse être pour vous une nourriture de Vie.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Chaque mouvement qu’on entend, (ce sont) des mouvements qui nous appartiennent; nous n’avons pas à expliquer ce que nous vivons, mais le vivre.

Ce que nous venons d’entendre, nous ne pourrons pas le répéter, pourquoi? Parce que nous ne pouvons pas redire ces mots, c’est impossible.

J’entends ces mots à l’intérieur de moi et cela m’est impossible de les répéter, pas avec la saveur de Dieu, pas avec cette intensité, parce que ces mots, ça nous appartient, ça été des mots pris en chacun de nous pour former une phrase; alors, je ne peux pas être vous à l’instant où je parle; mais cela c’est une nourriture, et c’est bon de se laisser prendre par ce mouvement d’amour, de se laisser nourrir par Dieu.

Dieu est en train de nous faire vivre notre purification, purification de la chair; Dieu est en train de transformer l’être que nous sommes.

L’être que nous sommes est inquiet, a peur, a de l’imagination; l’être que nous sommes veut trop : il contrôle, il domine, il calcule, pourquoi? Parce (qu’)on nous a montré tout ça.

Dès notre enfance, nos parents nous ont montré tout ça, parce que leurs parents leur ont montré tout ça; et aussi, on a montré tout ça à nos grands-parents.

Et nous nous sommes acheminés dans une vie avec la chair que nous sommes, et c’est notre chair qui nous porte à vivre dans la peur, dans l’incertitude, dans la colère, dans l’envie, dans la paresse, dans l’impureté : notre chair contrôle ce que nous sommes.

Alors, Dieu vient parler dans notre cœur pour que nous puissions laisser à notre intérieur le contrôle de notre vie; il est en train de nous dire : «Donne-moi ta vie», il l’a dit à saint Paul; saint Paul a répété ces mots par la puissance du Saint-Esprit; alors, Dieu a dit à saint Paul et il nous a dit par saint Paul : «Mourir en le Christ, ne plus être, mais être Jésus.»

Eh bien, c’est ce que Jésus veut que nous soyons; ce n’est pas facile, il (n’)a pas donné une recette, parce que (s’il) y (avait) eu une recette, on l’aurait appris(e) avec notre volonté humaine; au bout du compte, eh bien, (ça) aurait été une recette contre nous-mêmes.

Alors, Jésus veut prendre toute la place; il a attendu longtemps pour nous parler ainsi, parce que Dieu le Père le voulait; ce temps que nous vivons en ce moment est un temps de grâces.

Plusieurs ont entendu parler que la Sainte Vierge apparaît à plusieurs endroits, plusieurs endroits; elle nous a préparés à recevoir ces paroles : «Ouvrez votre cœur, priez avec votre cœur», afin (qu’)on puisse (tout) accueillir; la Mère de Dieu nous a conduits tranquillement au Cœur du Fils.

Le Cœur du Fils est à l’intérieur de nous; il se donne à l’Eucharistie continuellement pour nourrir notre intérieur; Jésus est présent, Jésus c’est notre Vie, il est à l’intérieur de nous; nous devons en prendre connaissance, nous devons être vrais.

Alors, ce que nous vivons, c’est dû à la Volonté de Dieu le Père, pas à personne d’autre; il (n’)y a personne qui a dit : “Bon, c’est le temps maintenant, c’est le temps, on va aller parler à un groupe ici; un autre, on va aller parler à un autre groupe; un autre messager va aller parler à un autre groupe; non, absolument personne, parce (qu’)on a été, depuis plusieurs années, manipulés par la volonté humaine.

On sait reconnaître quand c’est la volonté humaine parce que ça nous agace, ça nous enlève notre paix, on ressent de l’adversité, parce que (lorsque) notre volonté et sa volonté se rencontrent, et là il y a des flammèches, on rencontre un mur : “Viens pas me montrer, rentre pas chez nous, tu me montreras pas quoi faire." On reconnaît.

Mais lorsque ça vient de Dieu, eh bien, ça passe par l’intérieur; alors, ce qui est de l’intérieur ne frappe pas la volonté humaine; la volonté humaine ne peut pas arrêter ce mouvement parce qu’elle n’a pas contrôle sur le mouvement de Dieu; c’est Dieu qui est plus fort que la volonté humaine, ce n’est pas la volonté humaine.

Voilà pourquoi il vient parler directement dans nos cœurs.