Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Taillis, France,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus.

 

2008-03-08 – P.M.  Partie 1

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : La grâce du Seigneur va se répandre dans nos cœurs, afin que nous puissions comprendre ce qu’il attend de chacun de nous. Souvent, on pense savoir ce que Dieu attend pour chacun de nous. Comment peut-on savoir ce qu’il attend de nous, puisque nous, nous nous maintenons dans ce monde?

Dieu est un mouvement d’amour. Dieu veut ouvrir ce qu’il y a à l’intérieur de nous, afin qu’on puisse aller en ce monde. Dieu nous emmène avec lui et il nous apprend à voyager avec lui, à aller là où son Père veut que nous soyons.

Chaque jour, notre vie a été comme un voyage : nous avons appris à faire nos bagages, nous avons appris à partir avec notre passeport. Lorsque nous sommes venus sur la terre, nous sommes venus ici en êtres étrangers.

Là où Dieu nous envoie, là Dieu veut que nous soyons avec ce monde. Ne connaissant pas ce monde : nous ne connaissons pas ce que nous voyons, nous ne connaissons pas ce qui se présente à nous. C’est à chaque fraction de seconde que nos yeux s’ouvrent, c’est à chaque fraction de seconde que nos oreilles écoutent. Nous voyageons, nous voyageons parmi les enfants qui veulent faire la Volonté de Dieu et parmi les enfants qui ne veulent faire que leur volonté.

Là où nous nous trouvons présentement, nous nous trouvons dans un mouvement d’éternité, nous nous retrouvons dans un mouvement voulu de Dieu pour nous. Dieu n’ignore pas qui nous sommes et Dieu n’ignore pas les mouvements qui sont devant nous. Dieu est le Mouvement. Il nous prépare à chaque jour pour vivre ce que nous devons voir.

À chaque jour, nous sommes avec les grâces de Dieu, afin que nous puissions entendre ce qui va nous arriver, pour que nous puissions nous comporter devant Dieu comme étant un envoyé. Chacun de nous, nous sommes envoyés par le Père; chacun de nous, nous sommes pour les autres; chacun de nous, nous devons apprendre ce que Dieu attend de nous pour donner aux autres.

S’il nous donne des bagages pour notre voyage, alors c’est lui qui les remplit, c’est lui qui nous dit : «Je te donne de la patience, je te donne de la force, je te donne de la bonté, je te donne de l’amour, je te donne de la joie, de la piété, de la pureté, de la chasteté, de la pauvreté.» Tout cela est dans nos bagages et c’est Dieu qui a rempli nos bagages de tous ces mouvements d’amour. Cela ne nous appartient pas, cela appartient à Dieu. C’est lui qui nous fait partir en voyage : «Va, mon enfant, va t’accomplir. Va vivre chaque instant de ma vie, car ce que je te donne, c’est ma Vie afin que tu puisses t’accomplir dans quelque chose que tu ne connais pas, dans quelque chose qui va t’apprendre.»

Alors, nous sommes venus sur la terre avec ce que Dieu le Père a déposé en nous. C’est comme si nous étions un bagage, c’est comme si nous étions quelque chose qu’il fallait montrer à l’un et à l’autre. Pour montrer ce qu’il y a à l’intérieur de nous, dans notre vie que Dieu nous a donnée, il faut qu’on apprenne à reconnaître la bonté, la sagesse, la prudence, la tolérance, la patience, la lumière de Dieu : tout cela vient de ce que nous allons faire avec ce qu’il y a en nous.

Si nous laissons sortir de l’intérieur de nous ce que Dieu a déposé en nous, cela va se laisser voir à ceux qui seront sur notre chemin. Et ceux qui seront sur notre chemin, eux aussi ont reçu un bagage et eux aussi vont nous donner : nous avons reçu pour donner. Chacun de nous, nous sommes ici dans un voyage d’amour, afin qu’à chaque jour nous puissions avancer, avancer vers notre destination d’amour. Nous sommes ici pour aller vers le Royaume de Dieu, nous sommes ici comme si Dieu disait : «Passe par ce chemin de vie et montre-moi que ce que je mets en toi s’est multiplié; montre-moi que ce que j’ai mis en toi a servi à ton prochain.»

À l’instant où nous nous approchons de notre prochain, il doit découvrir tout ce qu’il y a en lui. Nous sommes là pour que les autres puissent découvrir ce qu’il y a en eux, et eux sont là pour qu’on puisse découvrir ce qu’il y a en nous. C’est ça le voyage que Dieu veut que nous fassions : aider les uns et les autres afin d’aller vers Dieu le Père, aider les uns et les autres afin qu’ils puissent découvrir ce qu’il y a en nous et découvrir ce qu’il y a en eux.

Si nous arrivons comme des étrangers, gardant pour nous-mêmes ce qu’il y a à l’intérieur de nous, les autres aussi ne découvriront pas ce qu’il y a à l’intérieur d’eux : nous allons demeurer des étrangers dans une terre inconnue, nous allons demeurer froids devant ce qui se présente. Partout où nous irons, il y aura cet air glacé autour de nous : cela ne réchauffera pas notre intérieur, cela nous paralysera. Nous serons comme dans l’impossibilité d’ouvrir ce qu’il y a à l’intérieur de nous et nous bloquerons leur intérieur; on aura l’impression d’être repoussés, repoussés par les gens : "Toi, fais ton chemin, moi, je fais le mien. Ne viens pas dans ma vie, retire-toi, car ce que tu es me fait mal."

Nous sommes faits de l’amour de Dieu, nous avons la vie de Dieu en nous. Lorsque nous nous maintenons dans une froideur, rien ne sort de nous; alors, les autres aussi ressentent cette froideur et cela les empêche d’être dans la lumière de Dieu. Lorsque nous rencontrons quelqu’un et que nous laissons sortir ce qui est à Dieu par ses grâces, cela sort de nous sans qu’on soit obligés d’ouvrir nos valises.

C’est Dieu qui se charge d’ouvrir nos valises; quelquefois, on en a qu’une seule, quelquefois, nous en avons plusieurs. S’il y a une valise, c’est que c'est Dieu qui a mis cela en nous pour nous; d’autres en ont plus qu’une, c’est parce qu’il y a beaucoup à donner et il y a beaucoup à recevoir. Mais chaque intérieur de nous-mêmes, c’est quelque chose qui apporte aux autres, c’est quelque chose qui nous montre que nous sommes amour.

Nous voulons être amour, nous voulons rencontrer des paysages qui réchauffent notre intérieur; nous voulons rencontrer la beauté de Dieu afin qu’on puisse avancer, afin qu’on puisse donner le meilleur de nous-mêmes. Chacun de nous est la beauté de Dieu, chacun de nous, on a quelque chose à montrer à nos frères et à nos sœurs. Ce que nous avons reçu en nous, c’est la création de Dieu. Nous avons reçu en nous la création de Dieu, la beauté de Dieu : tout ce qu’il nous faut pour être habillés des grâces de Dieu, tout ce qu’il nous faut pour être alimentés des grâces de Dieu.

Lorsque nous sommes dans la paix, nous donnons de la paix : nous ne cherchons pas à retenir la bonté, nous ne cherchons pas à retenir la patience, nous ne cherchons pas à retenir la sagesse. La sagesse, elle, sort par les grâces de Dieu, elle n’a pas à passer par notre intelligence humaine : elle sort de notre intérieur, avec gratuité, parce que la paix en nous a été connue de nous-mêmes. Lorsque nous sommes dans la paix, nous donnons ce qu’il y a en nous par les grâces de Dieu. Nous, nous ne pouvons pas nous donner la paix, c’est Dieu qui donne la paix. C’est Dieu qui fait que nous soyons prêts à s'ouvrir aux autres, ce n’est pas de nous que cela vient. Alors, comment faire pour vivre dans la paix, si ce n’est que de vivre la vie en Dieu, pour Dieu, avec Dieu? Nous sommes en Jésus.

Lorsque nous sommes convaincus que nous sommes en Jésus, notre vie est en Jésus. C’est lui qui regarde le paysage, c’est lui qui entend les sons de l’amour, c’est lui qui fait que nous avançons. Chaque fraction de seconde devient une vie d’amour, chaque fraction de seconde devient quelque chose qui nous fait voir que nous avançons, que nous découvrons, que nous nous maintenons dans la Volonté de Dieu le Père. En Jésus, en son Fils : nous sommes. Là est notre paix, là est notre joie, et c’est à ce moment-là qu’on veut sortir ce qu’il y a à l’intérieur de nous, parce que cela vient de Dieu. Cela ne vient pas de nous : ça sort tout seul.

C’est Jésus qui fait le mouvement. Qui est le Verbe? C’est Jésus. Il fait la Volonté de son Père. Nous, nous devons nous maintenir en Jésus afin d’être le verbe en le Verbe, afin que nous puissions nous accomplir à chaque fraction de seconde en Jésus. Pour être en Jésus, il faut demander la paix : “Donne-moi ta paix, donne-moi ce que j’ai besoin pour être en toi. Là je découvrirai ce que je dois regarder, là j’entendrai ce que je dois entendre, pas ce que je veux voir, pas ce que je veux entendre, mais ta Volonté qui est celle de Dieu le Père." Là, on peut se maintenir dans la paix, c’est comme si Jésus prenait notre désir et il en faisait son propre désir.

Nous avons souvent entendu cela : “Mon désir, Jésus le prend et il en fait son désir”. Mais pour que Jésus fasse notre désir, il faut donner : il faut donner ce que nous avons reçu de Dieu le Père, il faut donner ce que nous avons reçu à chaque fraction de seconde de Jésus, du Fils de Dieu. Nous devons donner ce que nous avons reçu du Saint-Esprit : rien ne vient de nous-mêmes, alors nous redonnons à Dieu tout ce que nous avons reçu de Dieu. Voilà que nous avançons, voilà ce que mon frère, ce que ma sœur ont à me donner en Jésus : je le perçois, je le savoure. Cela fait multiplier ce que moi j’ai par Dieu, en Dieu, et cela m’apporte toujours de la paix.

Nous sommes les fruits de Dieu, nous sommes la semence de Dieu, nous sommes la récolte de Dieu, nous sommes les fruits que si nous acceptons les grâces. Nous sommes les grâces si nous acceptons d’être une récolte, et nous sommes une récolte si nous laissons Dieu faire sortir ce qu’il y a en nous afin d’alimenter nos frères et nos sœurs.

Nous ne pouvons pas nous maintenir en Jésus si nous nous maintenons dans notre volonté humaine : 'J’ai reçu la vie de Dieu. Je me maintiens dans la vie de Dieu. Je fais ce que j’ai à faire dans la vie de Dieu. Je m’accorde ce qui est bon pour moi. Je distribue ce que moi je veux. J’apprends à être autonome; une fois autonome, je n’ai plus besoin de Dieu : là, je fais ce qui me plaît, au moment où cela me plaît, et ce qui est devant moi devient mes choix, et ce qui est de mes choix devient ma vie sans Dieu. Alors, ce que je rencontre sur mon chemin, ce sont les conséquences de ma vie sans Dieu. Alors, je n’aurai rien pour nourrir ma paix : qu’importe, les autres vont contribuer à m’alimenter. Puisque je n’ai pas l’amour, je vais exiger l’amour. Puisque je n’ai pas la patience, je vais demander aux autres d’être patients avec moi. Puisque je n’ai pas la vie que je veux, eh bien, ils vont me donner leur vie; je prendrai ce qui me plaît et cela deviendra pour moi quelque chose d’important dans ma vie, si important que je serai prêt à faire la guerre à ceux qui ne me donneront pas. Je serai là pour les écraser afin d’obtenir. Je ferai ma volonté en étant ce que, moi, je suis.'

Il n’y aura pas de paix dans sa vie, en cet enfant; il n’y aura pas d’amour de Dieu en cet enfant. "Il n’y aura pas ce besoin de donner, de s’ouvrir afin de recevoir ce que Dieu veut me donner parce que j’aurai délaissé Dieu. Je ne croirai plus en ses grâces. La douleur deviendra mon quotidien. Chaque jour sera un vide dans ma vie, chaque jour deviendra lourd dans ma vie, chaque jour deviendra la souffrance, car j’aurai fait de moi une croix pour les autres. Ma croix, qui est moi, je demanderai aux autres de la porter. Ce que je verrai devant mes yeux sera ce que moi je suis, ce que j’entendrai sera ce que moi je veux entendre : ma souffrance."

On ne peut réaliser notre souffrance lorsque nous ne sommes pas dans les grâces de Dieu; elle devient la nourriture quotidienne, elle devient un présage pour demain : nous n’avons plus confiance en Dieu, nous n’avons plus confiance au bonheur, nous n’avons plus confiance à demain, tout devient contre nous. Si nous regardons tout cela, nous allons nous apercevoir que nous avons été comme des étrangers sur la terre, nous allons nous apercevoir que ce que nous sommes devenus, ce sont des enfants qui ont marché en dehors de Jésus.

Jésus nous a dit : «Je suis en mon Père et mon Père est en moi. Celui qui me regarde, regarde mon Père. Mon Père témoigne de moi.» Et par tout ce que je suis, je témoigne de sa Présence. Jésus disait : «Je suis en mon Père et tous ceux qui veulent être en mon Père doivent vivre en moi, doivent marcher en moi, doivent écouter en moi.» C’est le langage de l’amour, la lumière de notre vie, la vérité de nos jours, la splendeur de notre nuit, le quotidien qui est notre accomplissement. Et tout cela ne peut se faire qu’en Jésus, pas en nous sans Jésus.

Dieu va accomplir des chefs-d’œuvre avec nous, il n’a pas besoin de notre volonté humaine. Notre volonté humaine n’a pas voulu croire que Jésus était en son Père, et là, la volonté humaine a fait qu’on a résisté, qu’on a douté, qu’on s’est interrogés. On a regardé Jésus sur la Croix, mais on n’a pas été en lui sur la Croix; on a regardé un homme et on n’a pas voulu croire qu’il était Dieu. Alors, aujourd’hui, nous en vivons les conséquences : on se regarde et on ne croit plus que nous sommes de Dieu, on ne croit plus que nous vivons en Dieu.

Combien d’années à croire que Dieu est au Ciel et qu’il fallait bien se conduire sur la terre pour aller là devant Dieu, au Ciel, alors que Dieu était en nous? «Je serai avec vous pour toujours.» Il nous l’a dit et cela, c’est écrit dans les Écritures. Les prophètes en ont parlé, les apôtres en ont parlé, les disciples en ont parlé.

Si, aujourd’hui, nous sommes des étrangers face à nous-mêmes, c’est qu’on n’a pas reconnu la présence continuelle de notre Jésus d’amour, Celui qui nous maintient debout, Celui qui nous aide à avancer, Celui qui nous berce lorsqu’on pleure, Celui qui nous réchauffe lorsqu’on a froid, Celui qui console lorsqu’on nous insulte, Celui qui croit en nous alors qu’on nous dit que nous sommes menteurs, hypocrites. Lui croit en ce que nous sommes parce que Jésus sait que nous sommes en lui. Lui, il le sait.

Nous devons découvrir la patience de Dieu, la tendresse de Dieu, la bonté de Dieu, la lumière de Dieu, l’Infini amour de Dieu pour nous, afin qu’on puisse plonger en lui. Lui, il va nous apprendre; lui, il va nous dire : «Tu es amour. Ne demeure pas à terre lorsque tu fais encore des péchés, alors que tu viens d’aller à la confesse. Lève-toi et regarde ma Croix, elle est pour toi. Je suis ton Pain de vie, je suis ton Vin de vie. Tout ce que tu as besoin en ce monde, je te le donne à chaque fraction, fraction, fraction de seconde. Pourquoi tu as peur? Pourquoi tu te maintiens loin de moi lorsque tu te sais pécheur? Pourquoi ne relèves-tu pas ta tête et ne regardes-tu pas ton Père qui est mon Père? Il m’a donné à toi afin que tu puisses le reconnaître comme étant ton Papa d’amour. Je suis là. Crois en ma miséricorde, viens t'y plonger. Si tu crois en moi, tu croiras en ma miséricorde, car ton âme, elle, elle sait : elle t’a nourri de ma miséricorde, elle t’a fait connaître mon amour, car je l’ai habillée de mon manteau d’amour pour toi.»

Notre âme nous conduit toujours vers Jésus. Lorsque nous croyons en notre âme, nous croyons que nous sommes là à avancer vers Jésus parce que le Christ-Prêtre est auprès de nous; la présence même de Jésus est dans notre vie. Lorsque nous voyons un prêtre dans son ministère, nous sommes en présence même de Jésus qui se laisse voir. Si nous pouvons voir la présence de Jésus dans notre vie, c’est parce qu’il y a de la vie en nous, il y a la présence même de Jésus à l’intérieur de nous. Mais comment se fait-il que nous doutions de ce que nous sommes en Jésus? C’est parce que notre chair nous éloigne de Jésus par la volonté humaine. La volonté humaine ne veut pas que nous demeurions en présence de Jésus, alors elle nous éloigne toujours, elle nous fait voyager sur la terre en étrangers, en étant incapables de laisser sortir ce qu’il y a à l’intérieur de nous pour les autres.

Ce qu’il y a à l’intérieur de nous, c’est l’amour de Dieu le Père, c’est sa Présence continuelle. Dieu le Père est avec nous, il nous regarde, il contemple son œuvre, car nous sommes l’œuvre de Dieu le Père. Lorsque nous sommes en Jésus, nous devenons la beauté que Dieu nous a donnée. En dehors de Jésus, ne croyez pas être beau pour Dieu, il ne reconnaît pas sa beauté, car vous n’avez plus la beauté de son Fils. C’est comme si on refusait la beauté que nous sommes.

Tout cela, c’est Satan, Satan qui ne veut pas que nous, on puisse croire que nous sommes en Jésus. Satan connaît nos faiblesses, car il a su nous maintenir comme des étrangers face à nous-mêmes. Si, nous, aujourd’hui, on ignore ces paroles qui viennent de chacun de nous par la puissance du Saint-Esprit, alors que cela nous habite, c’est à cause de Satan. Il ne veut pas qu’on puisse être dans un langage d’amour, dans un langage de foi; il ne veut pas que nous nous laissions bercer dans l’espérance que tous les jours nous avançons et que chaque jour devient pour nous un paysage nouveau.

Lorsque nous nous laissons alimenter par Dieu, là, l’amour nous transforme : nous devenons pour ceux qui nous regardent une création nouvelle, nous devenons pour ceux qui nous écoutent un mouvement nouveau qui nous fait découvrir la création de Dieu. Nous sommes mouvement en le Mouvement.

Mais Satan ne veut pas que nous soyons mouvement d’amour, il veut que nous nous arrêtions. S’il veut que nous arrêtions, c’est parce que lui s’est arrêté, lui n’est plus dans le mouvement éternel d’amour de Dieu. Satan n’est pas la vie, Satan est la mort et la mort n’a pas de vie, la mort n’a pas de mouvement, la mort est arrêtée, la mort ne porte pas de lumière en elle. La mort, ce sont les ténèbres, et ce qui est ténèbres ne se laisse pas voir, ce qui est ténèbres ne se laisse pas entendre, ce qui est ténèbres n’est que le néant. Il n’y a aucun mouvement en Satan : il est quelque chose de hideux, il est quelque chose qui n’a plus d’importance.

Lorsqu’on découvre que Satan n’a aucune importance, lorsqu’on découvre que Satan n’est rien, lorsqu’on découvre que Satan, c’est le néant, c’est la noirceur, on n’a rien à aller chercher en Satan. Il n’a rien à donner Satan, puisqu’il n’a rien.  Qu’est-ce qu’il peut donner, Satan, aux enfants qui veulent avancer? Rien, car il n’a rien de vivant : il est tout ce qui est puanteur, car la mort n’est que de la puanteur; il n’est que saleté, car la mort salit, elle n’apporte pas, elle se décompose. Alors, lorsqu’on touche à la décomposition, il y a contact avec quelque chose de froid, quelque chose qui ne vit pas.

L’âme est la vie de Dieu, l’âme est la beauté de Dieu, l’âme est la grâce de Dieu pour nous. Elle nous a été donnée par Dieu et Dieu a mis en nous l’âme. Alors, nous avons tout en nous : nous avons la chaleur de Dieu, nous avons la beauté de Dieu, nous avons tout ce qu’il nous faut pour avancer sur ce chemin, là où nous devons avancer en êtres connus de nous-mêmes. Et lorsque nous nous connaissons, nous connaissons nos frères, nous connaissons nos sœurs, car ce que nous sommes est ce qu’ils sont dans ce qu’ils ont reçu de Dieu et dans ce que nous, nous avons reçu de Dieu.

Tout ce que nous avons reçu doit être sorti de nous-mêmes pour être présenté, doit être sorti de nous-mêmes pour être entendu. C’est ça la vie en Dieu et c’est ça que Dieu veut que nous, nous puissions connaître pour vivre ces temps de révélations. Ce que nous entendons n’est pas connu de la volonté humaine, n’est pas connu de ma chair, n’est connu que de mon âme.

Mon âme connaît cela, mais qui peut entendre les grâces que mon âme a reçues, afin que nous puissions voir et entendre? Personne d’entre nous, personne, sauf si nous sommes morts en Jésus. Si nous ne sommes pas morts en Jésus, nous ne sommes pas, nous sommes ce que Satan veut que nous soyons : des étrangers qui se meurent à chaque fraction, fraction de seconde. La vie est en nous, mais nous vivons au côté de la vie.

Lorsque Jésus est venu sur la terre, il a parlé de son Père. Lorsque Jésus est venu sur la terre, il a donné ce qu’il y a en lui pour nous, et ce qu’il y a en lui, c’est tout ce qu’il est : Dieu-Homme. Lorsque nous avons avancé avec Jésus sur la terre –  parce que nous étions avec Jésus sur la terre –  parce que nous étions avec les apôtres, avec les disciples, avec les femmes qui ont suivi Jésus, nous étions en eux, nous faisions partie d’eux, car nous étions en leur chair. Lorsque les apôtres écoutaient la Parole de Jésus, Jésus leur parlait d’amour, mais la Chair de Jésus avait accepté de connaître ce que notre chair connaissait. Voilà pourquoi Jésus avait besoin de repos, voilà pourquoi Jésus s’arrêtait afin de prier son Père, car tout en lui était en diapason avec ce qu’il était.

Voilà ce que les apôtres ont vu : un homme avancer comme eux, un homme dormir comme eux, un homme manger comme eux, un homme qui faisait des détours comme eux pour éviter la violence. Mais Dieu était lui, il montrait ce que, nous, nous étions, il acceptait d’être ce que, nous, nous étions : des gens qui ont peur. Lui n’avait pas peur, il n’avait qu’à dire un mot et les ennemis de Dieu auraient été volatilisés, mais il avait donné son oui à son Père : «Ta Volonté, pas ma Volonté.»

Celle que j’acceptais de prendre comme étant ma Volonté : il avait pris toute notre volonté, et il la vivait avec sa Volonté; cela faisait qu’il nous maintenait en vie. Il avançait avec l’amour de son Père pour nous montrer que nous avançons avec l’amour de Dieu le Père. Il nous faisait voir la présence même de son Père en lui, alors qu’il était Dieu. Tout cela, pour nous montrer que nous avons en nous Dieu le Père.

Tout n’a été que mouvement de lumière pour nous. Il n’y a rien, mais absolument rien, qui est de la volonté humaine dans les enseignements, tout n’est qu’enseignement de Dieu pour nous. La volonté humaine ne pouvait pas nous faire découvrir la patience, la sagesse, la tolérance, la miséricorde, la foi.

Regardons celle qui a touché le vêtement de Jésus : elle l’a touché parce qu’elle avait la foi; elle savait que si elle touchait le vêtement de Jésus, elle serait guérie. Le flot qui sortait toujours d’elle et qu’elle ne pouvait contrôler était une souffrance pour elle, cela lui donnait de la honte. Mais elle avait la foi qui venait de Dieu, pas d’elle-même : elle avait accepté de croire, elle avait accepté de pénétrer en Jésus. Elle avait entendu, elle avait vu dans le regard de ceux qui avaient vu Jésus : la présence même du Fils de Dieu en lui.

Comment se fait-il qu’elle avait vu, elle? Parce qu’elle avait accepté de donner, elle avait accepté d’être une enfant de Dieu, elle avait accepté de marcher sur la terre avec les grâces de l’espérance. Chaque jour l’a conduite là où Dieu la voulait pour donner : elle nous a donné. Elle nous a donné ce qu’elle avait reçu en elle : elle avait reçu la foi. Elle croyait en ce qu’elle était : une enfant de Dieu; elle croyait en ce qu’elle était : une enfant qui devait aller vers Dieu; elle croyait en ce qu’elle était : une pécheresse, mais sous le regard de Dieu. C’est comme si elle avait goûté le Sang de Jésus qui arrête tout flot qui coule sans grâce. Tout d’elle était porté vers la Vie, car elle se reconnaissait être vie.

Tout cela s’est fait par l’âme. La volonté humaine n’a pas participé à ces mouvements. La chair s’est inclinée devant la grâce, elle reconnut que tout ce qui était en cet Homme n’était pas comme les hommes, et là elle a été, elle a avancé, elle s’est donnée. Oh, elle l’a fait en ne voulant pas trop s’exposer au regard des autres, non pas qu’elle ne croyait pas qu’elle aurait été guérie si les autres l’avaient su : sa chair avait honte, sa chair était encore en elle, mais elle a avancé, elle s’est faufilée.

Lorsque Jésus lui a dit : «Qui m’a touché? Qui a touché à mon manteau?» Car il avait senti quelque chose qui sortait de lui : ce qu’il avait reçu de son Père pour cette enfant. Il savait qui l’avait touché : croyez-vous que Dieu ne savait pas qui l’avait touché? Il le savait, mais il fallait que cette femme donne témoignage de l’amour de Dieu pour elle.

Elle devint un témoignage de l’amour de Dieu pour elle et Dieu a témoigné de cette femme, il a témoigné de ce qu’elle était : une enfant qui avait la foi, une enfant qui voulait vivre en Dieu, une enfant qui se donnait. Elle laissait sortir d’elle ce qu’elle avait reçu pour donner aux autres afin que nous on puisse voir, afin que nous on puisse entendre ce qui est en l’enfant de Dieu. Croyez-vous que cela a changé pour nous? Rien n’a changé, Dieu est toujours là, Dieu vit en nous.

Comment se fait-il que nous qui allons recevoir le Corps de Jésus, le Sang de Jésus, que nous qui demandons la guérison, que nous ne guérissons pas? Nous allons vers Jésus pour toucher Jésus, pour que Jésus puisse nous toucher, et pourtant nous nous en retournons toujours avec les maladies. C’est parce que nous manquons de présence en nous, nous manquons d’amour envers nous-mêmes, notre chair devient plus importante que notre vie spirituelle. Comme notre chair devient plus importante que notre vie spirituelle, alors Dieu nous fait vivre les conséquences de nos choix : nous voulons être sauvés comme nous, nous le voulons; nous voulons être guéris au temps que nous, nous voulons.

Le temps appartient à Dieu et la façon que nous allons être guéris appartient à Dieu, pas à nous. C’est Dieu qui connaît qu’une telle maladie comme le diabète vient d’il y a des milliers d’années, alors qu’un enfant a été dans le péché de l’idolâtrie, ce qui l’a amené à toujours faire des mauvais choix : "Moi, je m’aime. Moi, je prends ce que mon palais aime."  Cela a appris à l’enfant à détourner son regard de Dieu, alors la foi est tombée.

C’est Dieu qui sait que ceux qui ont suivi cet être ont cru à ce qui est de la terre plus qu’en Dieu, et cela a amené des révoltes; on a été incapables de se pardonner, et il y a eu des viols. Voyez-vous, toute action devant l’acceptation : le péché, nous amène à vivre des conséquences et les conséquences se sont accumulées de siècle en siècle, de mouvement en mouvement, de conséquence en conséquence.

Dieu seul connaît, nous, nous ne connaissons pas ce qui est derrière nous. Nous n’avons pas à le connaître, nous n’avons qu’à faire confiance en Dieu. C’est ce que Dieu veut nous apprendre. Dieu vient parler dans les cœurs afin que nous puissions être dans la lumière, et la lumière de Dieu est la sagesse. Dieu ne nous révélera pas que notre arrière-grand-mère était dans l’adultère, Dieu ne nous révélera pas que l’arrière, arrière, arrière, arrière-grand-père a tué sa mère : notre arrière, arrière, arrière-grand-mère, non, cela ne servirait que le néant que nous (le) sachions, car nous pénétrerions dans ce qui est déjà pardonné, dans ce qui est déjà à la mort.

Jésus, lorsqu’il est mort sur la croix, a amené tout péché à la mort, donc au néant. Rien ne nous servirait de connaître le néant, car le néant n’apporte rien, ce n’est plus la vie; alors, laissons à Dieu ce qui est à Dieu. Dieu seul connaît le péché qui nous a amenés à un tel mouvement, Dieu seul connaît le péché qui a fait suite à ce mouvement, mais Dieu veut que nous soyons devant nos choix présents, afin que nous puissions vivre chez nous.

Il ne faut pas être des étrangers, il faut vivre chez nous et chez nous, c’est à l’intérieur, en Jésus. C’est là que nous allons vivre la purification de la chair. Nous allons donner à Jésus ce que nous avons mis nous-mêmes dans nos bagages; nous allons donner à Jésus ce qui a fait de nous des êtres qui sommes incapables de choisir la beauté du paysage; nous allons donner à Jésus ce qui nous a empêchés de démontrer aux autres ce qu’il y avait en nous.

Les conséquences appartiennent à Dieu. Si (cela) a été impossible de reconnaître ce que nous avons été, comment voulez-vous que les autres puissent reconnaître ce que nous sommes, là, au présent? L’homme, il faut qu’il apprenne en Jésus, par Jésus, qui il est dans sa souffrance. Et Jésus va libérer, Jésus va guérir, Jésus va arracher ce qu’il y a dans notre chair, dans notre chair, afin que nous ne soyons plus étrangers à nous-mêmes.

Notre chair, c’est notre véhicule; notre chair, c’est ce qui permet que nous avancions avec la vie. C’est important, notre chair! Elle nous a été donnée par Dieu. C’est lui qui nous a créés, alors elle lui appartient. Il veut que nous apprenions à aimer notre chair, car il aime notre chair. Alors, il va falloir lui donner ce qui est à lui : donner sans cesse et sans cesse toute pensée qui nous a rendus étrangers à nous-mêmes.

Lorsque nous avons une seule pensée contre nous, lorsque nous avons une seule pensée contre notre prochain, nous ne pouvons pas avoir l’Esprit de Dieu, alors nous sommes étrangers à nous-mêmes.

Lorsque nos yeux ont servi à l’impureté, lorsque nos yeux ont pris ce que les autres regardaient et les ont fait pénétrer en nous par l’ignorance : nous avons été étrangers à nous-mêmes, nous avons pris pour acquis que ce que les autres voulaient qu’on regarde était ce que nous, on voulait regarder; alors, il va falloir donner ça à Dieu.

Tout ce que nous avons entendu, tout ce qui est logé à l’intérieur de nous par nos premiers parents jusqu’à aujourd’hui a fait de nous des êtres de souffrance, car eux avaient leurs paroles, mais ils acceptaient les paroles des autres qui les faisaient souffrir et cela est entré en la chair, et cette même chair s’est multipliée et nous sommes cette chair; alors, il va falloir donner ça à Jésus : le Purificateur.

Il n’est pas péché d’être dans un mouvement de souffrance. Lorsque nous réalisons qu'un tel blasphème, alors que nous n’avons jamais blasphémé, allons-nous aller à la confesse : 'je me confesse d’avoir blasphémé'? Je n’ai pas blasphémé, mais ça monte à l’intérieur de moi ça, comme si j’avais blasphémé. Mais c’est parce que ma chair a emmagasiné de siècle en siècle, de siècle en siècle, une blessure, et cela a été fait par choix, qui est venue de la chair blessée et nous la portons en nous.

Nous sommes le Corps de Jésus, le Corps mystique de Jésus. Alors, nous devons donner à Jésus tout cela afin de nous maintenir dans la grâce. Ainsi, notre âme, elle ne souffrira plus, car nous ne commettrons plus de jugement envers ceux qui blasphèment, nous ne commettrons plus de jugement lorsque nous serons devant la télévision qui nous fait entendre des blasphèmes ou qui nous fait lire des blasphèmes contre Dieu : nous donnerons, nous donnerons ce qu’il y a en notre chair. Toutes les plaies que nous avons vues sur la Chair de Jésus, ce sont les plaies qui sont en notre chair. Cela appartient à Jésus, cela ne nous appartient pas.

Nous vivons présentement la purification de la chair et nous avons besoin de l’un et de l’autre, car nous sommes membres en l’Église. Nous avons besoin de Jésus qui est en le Christ-Prêtre pour maintenir notre âme en état de grâce, afin qu’on puisse aider nos frères et nos sœurs : nous sommes membres. Aucun enfant ne pourra vivre sa purification sans aider les autres à vivre leur purification, et cela se fera par les grâces. Si nous nous maintenons en état de grâces, nous aiderons : nous donnerons les souffrances que connaît la chair et nous avancerons. Nous rencontrerons nos frères et nos sœurs qui ne sont pas en Jésus. Il y aura quelque chose qui sortira de nous et qui ira à eux, et eux ne se sentiront pas attaqués, ils sauront que nous ne sommes pas contre eux, et cela viendra de leur intérieur et non pas de leur chair, non pas de leur regard, de leur pensée, de leur écoute, de leur parole, leur mouvement, leur sentiment. Cela sera en eux par l’âme.

Tout sera mouvement voulu de Dieu pour eux. Nous, avec nos paroles, nous ne pouvons plus atteindre leur cœur qui n’est que de pierre. Il faut qu’il y ait des fissures en leur cœur et ces fissures-là, c’est la grâce qui se charge de les ébranler. Pour que la grâce puisse les atteindre, il faut que nous soyons en état de grâce. Alors, il va falloir beaucoup de miséricorde.

Les prêtres sont là pour nous. Allons vers les prêtres lorsque nous sommes en état de péché et, une fois par année : vous allez avoir tout un bagage à dire au prêtre! Vous n'avez, mon Père, pour une heure à les écouter! Alors, faisons attention et n’allez pas à tous les jours voir le prêtre, on va l'épuiser! Il y en n'a pas beaucoup, alors faisons attention.

Lorsque cela vient de la chair, cela n’est pas un péché, mais lorsque nous commettons un péché pour nuire à notre frère, à notre sœur, lorsque nous commettons un péché, nous le savons, puisque les dix commandements de Dieu nous ont été donnés.

L’Église nous aide. Reprenons notre catéchisme et relisons notre catéchisme. Tous les jours, ouvrons la Bible et lisons la Bible : c’est guérison. Nous avons reçu ce qu’il nous faut pour mettre dans notre bagage : les sacramentaux. Alors, le chapelet, disons-le. Profitons des bénédictions, l’eau bénite, les médailles. Allons adorer. Soyons enfants de Dieu. Aidons-nous les uns et les autres. Ne disons pas à notre frère : "Tu as péché parce que tu es adultère". Prions parce que notre volonté frappera sa volonté : “Pour qui tu te prends, toi, de me dire que je suis dans le péché?” Cela frappera sa volonté, pas son âme, parce que la volonté a mis un barrage entre mon âme et son âme.

La volonté est devenue tellement importante pour nous que nous avons fait, sans le vouloir, bâtir un barrage, en acceptant les tentations de Satan, des mauvais anges. Ce sont eux qui ont fait en sorte de nous empêcher de vivre dans les grâces que l’âme reçoit par tout ce que nous recevons de l’Église, de Jésus.

Il n’y a qu’une seule Église, il n’y en a pas deux : une Église, un Dieu.

Dieu le Fils est venu sur la terre pour bâtir l’Église, mais la souffrance humaine! La volonté humaine a fait qu’il y a des enfants de Dieu en l’Église qui se sont séparés. Jésus est l’Église, mais nous avons choisi d’autres religions. Il y eut d’autres religions à partir de l’Église. Il n’y a pas deux Églises, il y a une Église, mais il y a plusieurs religions.

Allons-nous empêcher ceux qui font partie de l’Église de Jésus de venir rencontrer Jésus? Nous n’avons pas le droit. Qui de nous est sans faute? Qui de nous n’a pas pensé du mal de son prochain, même une petite opinion? Qu’a-t-on fait de notre regard? A-t-il la pureté du regard de Jésus? Notre écoute, a-t-elle écouté que Jésus? Nos paroles ont-elles été les paroles de Jésus? Non, car nous avons été esclaves de notre volonté humaine et nous avons fait des gestes contre nous-mêmes, et à l’instant où nous avons fait des gestes contre nous-mêmes, nous faisions des gestes contre notre prochain, et cela a amené de la confusion, et la confusion fait encore des ravages : encore et encore multiplication, encore et encore d’autres religions, encore et encore d’autres séparations, encore et encore ma volonté, encore et encore ma foi, pas la foi de Dieu : ma foi.

Je cherche l’amour, je cherche la lumière, je cherche mes consolations, je cherche mon chemin, où est mon bagage? Je l’ai perdu en chemin! Oui, nous avons perdu le chemin qui nous conduit à la vérité; oui, nous avons perdu la lumière qui nous conduit à la Lumière. Il n’y a qu’un seul Dieu : Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint-Esprit.

S’il y a, de nous, en nous, des enfants de Dieu qui ne croient pas en Jésus, le Fils de Dieu fait Homme, en disant qu’il n’est pas Dieu, alors nous devons donner : cause, choix et conséquences. C’est Satan qui a voulu cela et ce n’est pas l’enfant de Dieu.

Lorsque nous, nous serons dans le dernier grand jugement, tous nous ressusciterons en Jésus. Nous serons devant la justice d’amour de Dieu, et la justice d’amour de Dieu montrera Dieu dans sa Gloire : Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint-Esprit.

Il n’y a que Dieu qui puisse ouvrir les yeux, ouvrir les oreilles. À celui qui veut voir : qu’il voit. À celui qui veut comprendre : qu’il comprenne. Telle est la Volonté de Dieu.

Alors, nous allons prendre un moment de repos afin qu’on puisse se lever.

Merci.