Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Vankleek Hill, Ontario,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

 

 2004-08-28 A.M.

 

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Je suis avec Dieu amour. Il m'a été donné par la Divine Volonté : le don de l'amour.

Le don de l’amour, c’est de nous donner pour tous nos frères et nos sœurs du monde entier; cela ne vient pas de nous, cela vient du Ciel.

Lorsqu’on apprend à s’oublier, lorsqu’on apprend à écouter notre intérieur,

on apprend à découvrir que rien ne vient de nous, que tout nous est donné du Ciel.

Certains d’entre nous recevons des signes du Ciel, certains d’entre nous voient les signes du Ciel, certains d’entre nous entendons ce que le Ciel veut pour chacun de nous.

Lorsque Dieu s’est manifesté à moi, en faisant entendre sa voix à l’intérieur de moi, il m’a dit que cela n’était pas que pour moi, mais pour tous les enfants du monde.

Il a dit : «Ce que je te donne, ma fille, n’est pas seulement que pour toi. Dieu est tout-puissant, Dieu donne.

Je vais te faire découvrir le don de soi; je vais te couvrir de ma puissance afin que tu sois tout abandonnée.»

Avant que ces paroles soient entendues en moi, Marie, la bonne Vierge, notre Mère, m’a préparée.

Elle a préparé mon intérieur à entendre la voix de son Fils, de notre Dieu; cela s’est fait bien avant que j’en aie conscience.

La Trinité m’a fait savoir que cela était depuis toujours, depuis même avant ma naissance.

Jésus est le Tout-Puissant; Jésus nous porte tous, nous sommes tous en lui.

Avant même qu’on soit en ce monde, nous étions en Jésus : tout le monde;

alors, j’étais en lui, je vivais en lui; ma naissance sur la terre a été voulue de Dieu le Père.

Dieu le Père est la Toute-Puissance, est le Créateur; nous sommes toutes ses créatures bénies, nous sommes tous choisis pour vivre un temps d’amour.

Le temps que nous vivons sur la terre est un temps d’amour : il nous prépare à aller vers lui.

C’est ce qu’il m’a appris; avec le temps, la Divine Volonté m’a prise et elle m’a fait avancer : mes oui continuels m’ont été dévoilés par la Trinité.

Notre vie est un oui; quand on fait de bonnes actions, notre vie est un oui, mais bien souvent nous ne le réalisons pas.

Nous avançons dans la vie sans savoir que nous prononçons des oui à chaque jour lorsque nous faisons de bonnes actions.

Tout cela, ce n’est pas moi qui me le suis fait découvrir, c’est la Divine Volonté.

Voilà pourquoi, aujourd’hui, je me présente ici, et ce n’est pas de ma volonté, mais de la Volonté de Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint-Esprit, enveloppée de la protection de Marie.

Chacun d’entre nous, ici, on est ici parce que c’est Dieu qui le veut et non pas parce que nous, nous le voulons.

Le oui qu’on prononce est un oui nourrit par les grâces du Ciel.

Voilà pourquoi nous sommes ici ensemble, dans une grande famille : la famille de l’Église.

Nous sommes tous frères et sœurs en Jésus, donc, en l’Église.

Ce qui s’est passé en moi a été voulu de la Trinité, pour nous faire comprendre que ces jours sont des jours choisis par la Trinité pour nous faire avancer, là où elle veut que nous avancions.

Ces temps sont des temps de découvertes pour nous-mêmes.

Mais nous-mêmes qui sommes-nous, sinon tous des frères et des sœurs?

Lorsque je découvre qui je suis, je découvre ce qu’il y a en moi, je découvre pourquoi je suis ici sur la terre.

Il y a en moi tous mes frères et sœurs du monde entier; je n’habite pas toute seule à l’intérieur de moi;

en moi, il y a la vie, il y a Jésus : Jésus me fait vivre.

Jésus me fait découvrir où est ma place : en lui, avec chacun de vous, avec tous mes frères et sœurs du monde entier.

Ces mots ont été donnés à l’humble personne que je suis.

Oh! je ne m’appelle pas humble par moi-même, car je ne suis rien; je ne suis même pas digne de dire que je suis humble

parce que lorsqu’on découvre qu’on est humble, on découvre que Marie a permis qu’on découvre ce qu’est l’humilité;

alors, qui sommes-nous pour nous dire humbles, sinon les enfants de Marie?

Elle-même nous donne ce qu’elle a reçu : des grâces d’humilité.

Les grâces d’humilité nous viennent du Ciel, elles ne viennent pas de nous-mêmes.

Si nous nous disons humbles, c’est parce que c’est voulu de la Trinité.

Cela sort de nous-mêmes pour nous nourrir, pour nous démontrer que : "tu n’es rien".

Oui, j’ai découvert que je n’étais rien, absolument rien devant mes frères et mes sœurs.

Je dois apprendre à découvrir qu’eux sont quelque chose par rapport à moi.

Comment définir cette présence en moi? C’est avec humilité.

Lorsqu’on découvre qu’à l’intérieur de nous il y a nos frères et nos sœurs, c’est qu’on découvre que nous sommes très petits, indignes d’être avec eux autres parce que :

         eux forment le Corps du Christ;

         eux forment l’Église, parce qu’ils sont dans le Tout de Jésus;

         et lorsqu’on apprend que nous sommes dans le Tout de Jésus avec tous nos frères et nos sœurs :

         on apprend à découvrir que nous sommes quelqu’un.

Si on apprend à découvrir que nous sommes quelqu’un, c’est parce que ça nous est démontré par l’amour de Dieu,

Dieu qui s’est donné à nous, qui s’est offert en sacrifice pour prendre toutes nos imperfections et nous faire découvrir que nous valons la peine de nous découvrir soi-même.

Il n’y a que Dieu qui ait pu faire cela, pas nous; sans le sacrifice de Dieu, nous, on n'aurait aucun mérite de se découvrir parce que notre découverte serait un vide.

Découvrir par nous-mêmes qui nous sommes : c’est découvrir l’orgueil.

Il n’y a que Dieu qui peut nous faire découvrir notre place auprès des autres.

Nous ne sommes même pas dignes d’être près de nos frères et de nos sœurs que si Dieu nous fait découvrir notre présence en l’Église.

Voilà ce qu’est être entre les mains de Dieu.

Être en les mains de Dieu, c’est prendre sa place, là où il veut que nous soyons.

Si notre place est à la dernière place, derrière nos frères et nos sœurs, combien est grande notre place, combien cela prend de la valeur!

Parce que Jésus, il a dit : «Les premiers seront les derniers et les derniers seront les premiers», eh bien, souhaitons être les derniers.

Demandons cette grâce à Marie de nous reconnaître comme étant les derniers.

Et si Marie voit notre sincérité, si Marie voit en nous combien nous voulons être dignes de découvrir la place que Dieu nous réserve,

eh bien, Marie nous donne des grâces d’humilité, et là, nous pouvons nous dire humbles.

Être en dernier, vouloir que les autres soient avant nous:

         c’est découvrir l’amour;

         c’est découvrir que Jésus nous a aimés jusqu’à donner sa Vie;

         c’est découvrir que lorsqu’on veut être les derniers, c’est découvrir que nous voulons donner notre vie.

Ce n’est pas à nous d’analyser ces paroles qui se font entendre par la puissance du Saint-Esprit, mais c’est de les accueillir, avec un oui, un simple oui, un oui d’enfant.

Dieu fait appel à chacun de nous afin qu’on puisse vivre son Évangile, comme lui le veut, pas comme nous, nous croyons être capables.

Parce que si nous croyons être capables de comprendre son Évangile, nous faisons erreur et, vivre dans cette erreur, c’est ne pas avancer.

Il faut apprendre à donner toute la place à Dieu.

Il faut apprendre à s’oublier totalement afin d’être là où Dieu veut qu’on soit : en lui avec tous nos frères et sœurs.

Ces moments sont des moments privilégiés pour chacun de nous : ils sont uniques.

Dieu vient lui-même déployer nos ailes.

Nous avons vécu sur la terre comme des petits oisillons; nous avons voulu voler de nos propres ailes pour essayer de monter vers le Ciel,

mais parce que nous sommes des oisillons et que nous avons voulu apprendre par nous-mêmes :

nous avons souvent piqué du nez, nous avons souvent effleuré le sol, et nous nous sommes faits mal.

Mais Dieu, dans son amour, n'a pas permis que nous connaissions la mort de notre intérieur;

c’est lui qui nous a soutenus, parce que lorsque nous tombions très bas, il déposait sa main afin que nous puissions remonter;

et nous partions avec nos propres moyens en essayant de découvrir ce que Dieu voulait de nous-mêmes.

Il faut découvrir, aujourd’hui, que si nous sommes ici à écouter sa Parole, c’est parce que Jésus nous soutient; Jésus nous tient tout le temps, et, tranquillement, il prend le petit oiseau que nous sommes et le soulève  parce que nous sommes fatigués de tomber et de tomber : nous sommes épuisés.

Nous regardons autour de nous nos frères et nos sœurs qui se font du mal;

nous regardons autour de nous nos frères et nos sœurs qui n’ont pas appris à dire oui avec le cœur, à s’abandonner entre les mains de Dieu;

mais nous savons que Jésus les soutient, nous savons que lorsqu’ils tombent Jésus est toujours là afin qu’ils ne puissent pas se détruire.

Si nous avons découvert cela, c’est que Dieu veut nous démontrer quelque chose d’important dans notre vie : le don de soi.

Le don de soi ne vient pas de nous-mêmes :

le don vient du Saint-Esprit, le don de l’amour vient de Dieu le Fils, et le don de l’amour en Dieu vient de Dieu le Père,

parce que c’est Dieu qui nous a donné le Fils, et c’est le Fils qui s’est offert, et c’est le Saint-Esprit qui nous le fait découvrir.

Tout cela, nous en sommes indignes, mais parce que nous voulons, la Sainte Vierge nous apprend à nous abandonner avec ce petit oui que nous sommes;

voilà notre place, alors ne recherchons pas à être à la première, deuxième, dixième, millième, mais plus que cela :

notre place, il faut tout simplement nous contenter de ce que nous recevons, en disant : "Merci, parce que tu sais mieux que moi ce qui est bon pour moi, parce que si je me prends à être autre chose que ce que je suis, mes frères et mes sœurs, qui sont en moi, ne peuvent pas découvrir combien ma place auprès d’eux est voulue de Dieu."

Tout ce qu’ils vont voir, c’est une personne qui a pris de la place dans leur vie et que c’est dérangeant.

Parfois cela irrite, provoque la colère; parfois cela décourage tellement que nous souhaitons qu’une chose : qu’elle disparaisse de notre vie;

alors si nous ne voulons pas que les autres pensent cela de nous, nous devons faire ce que Dieu nous demande afin de laisser sortir de notre intérieur l’amour qui vient de Dieu,

et les autres vont commencer à nous regarder avec les yeux de Dieu, et là, ils vont découvrir que nous ne sommes pas si mal au fond, même avec nos défauts, nos caractères : nos tempéraments.

Aujourd’hui, ce monde essaie de découvrir les tempéraments afin d’amalgamer les uns et les autres pour qu’ils puissent s’endurer, pour qu’ils puissent faire un bout de chemin sur la terre ensemble.

Les tempéraments ont été donnés par Dieu lui-même,

les tempéraments sont pour nous des dons du Saint-Esprit.

Regardons les tempéraments avec l’amour de Dieu : nous verrons que c’est différent lorsqu’on décrit une personne qui veut aider son prochain.

Lorsqu’on décrit une personne qui a la force de travailler, malgré qu'il pleut des bêtises, malgré qu’il vient de recevoir un bave, malgré qu’il vient d’être rejeté : il avance; il a reçu le don de la force : ça, c’est de Dieu, ce n’est pas un coléreux.

Si quelqu'un regarde les personnes en disant : "Oh! il a un tempérament coléreux!" Mais n'est-ce pas parce que lui-même a découvert la colère en les autres?

S'il découvre la colère en l’autre :

c’est parce qu’il a vu quelque chose qui n’était pas de Dieu, et que lui-même ne sait pas le définir,

c'est parce que l’amour de Dieu n’est pas sorti de lui, et il n’a pas regardé avec les yeux de Dieu :

cela ne vient pas de Dieu, cela vient de Satan : celui qui a manipulé la volonté humaine.

Celui qui a un tempérament de douceur, celui qui aime apprendre, celui qui aime se donner avec tendresse, sans rien exiger des autres avec beaucoup de patience, a un tempérament de bonté, ce n’est pas un tempérament sanguin.

Celui qui dit être de feu, celui qui se dit être capable d’apprendre avec facilité, celui qui se dit être bien avec son prochain par lui-même, n’est qu’un orgueilleux, cela ne vient pas de Dieu, cela vient de Satan parce qu’il manipule la volonté humaine.

Voyez-vous, on dit qu’il y a en l’être humain des tempéraments, et ils les ont calculés : ils ont pu mettre sur leurs doigts les tempéraments, alors que Dieu a donné des dons à l’infini.

Chacun de nous avons un tempérament : ce tempérament est voulu de la Trinité et il n’a pas de limite parce que Dieu nous nourrit de ses grâces d’amour, Dieu nous nourrit de son amour qui est infini.

À nous de nous donner avec ce que nous sommes, et nous allons découvrir beaucoup d’amour en nous : la bonté, la patience, l’humilité, aimer servir, aimer donner, et bien d’autres.

Tout cela est à nous, tout cela fait partie de chacun de nous;

cela nous a été donné avant même que nous venions en ce monde; notre Mère nous portait avec amour;

tout nous a été donné afin que nous puissions vivre sur la terre avec nos frères et nos sœurs en harmonie d’amour.

Et si nous nous disons avoir un tempérament incapable de bien s’adonner avec un autre tempérament : cela ne vient pas de Dieu, cela vient du calcul humain, et le calcul humain est rempli de lui-même :

il se croit être capable de contrôler sa propre vie et de contrôler aussi la vie des autres.

Dieu nous donne de l’amour afin que nous puissions nous donner, mais pour nous donner :

il faut qu’on se donne à Dieu parce que c’est lui le don de l’amour, alors il faut mourir en le Christ.

Apprenons à être petits, ainsi nous allons laisser développer en nous les dons de Dieu.

Soyons humbles, comme Dieu veut que nous soyons humbles : soyons dans ses mains afin d’avancer.

Dieu dit de fermer les yeux.

 

Dieu le Père : Je suis l’Amour, l’Amour vous parle afin que vous puissiez vous laisser prendre par mon mouvement d’amour.

Il n’y a pas un enfant sur la terre qui peut se découvrir par lui-même, il n’y a que Dieu qui peut l’aider à se laisser prendre par l’Amour afin que Dieu puisse lui dire qu’il est unique.

«Oui, tu es unique; tu n’appartiens qu’à Dieu, et Dieu veut prendre tout de toi;

il veut faire de toi un enfant d’amour qui se donne sans cesse, qui apprend que Dieu est tout.

Tu es à moi, tu n’appartiens pas à ce monde; mon monde à moi n’est qu’amour : il est en Dieu.

Je suis la Trinité; la Trinité a fait de toi un être complet, mais parce que tu as vécu avec ta volonté humaine, tu n’as pas appris à être ce que tu es.

Tu as vécu avec tes faiblesses, et à cause de tes faiblesses tu as fait des péchés :

des péchés envers la Trinité, des péchés envers ton prochain et des péchés envers toi-même.

Tu n’as pas su t’abandonner entre les mains de l’Amour, tu n’as pas su te donner à ton prochain;

tu as gardé en toi les souffrances qu’a causées ta volonté, tu as regardé ce monde avec tes propres yeux;

ton cœur s’est meurtri à cause de tes manques de pardon, parce que ton cœur a été meurtri, il s’est endurci;

il n’a pas su laisser Dieu le remplir de ses élans d’amour : l’âme a été en souffrance en toi.

C’est moi, la Trinité, qui aie aimé l’âme : l’âme est le tout de Dieu.

J’ai enveloppé l’âme d’une chair afin qu’elle puisse avancer sur la terre, afin qu’elle puisse se laisser voir aux autres.

Tu vois, l’âme est la vie en toi, elle n'appartient qu’à la Trinité et toi,

tu appartiens à la Trinité parce que tu es l’âme.

La chair n’est qu’un mouvement, la chair n'est qu’enveloppe, la chair se laisse voir, entendre par les autres et par toi-même parce que j’ai aimé te donner des mouvements d’amour, afin que tu puisses apprendre à te connaître à l’extérieur de toi.

Mais, avant, n’est-il pas plus important de connaître ton âme? N’est-il pas plus important de découvrir ton intérieur : ce qui nourrit ta vie extérieure?

La chair a été pour toi un moyen de véhiculer en ce monde, mais tu t’es donné à ce monde parce que tu as regardé ta chair et tu l’as aimée jusqu’à oublier ton intérieur.

Mais, moi, je te parle; je te fais découvrir ta place en l’amour, en l’amour de Dieu afin que tu puisses avancer vers la vie éternelle.

La vie éternelle est en toi.

Lorsque tu apprends à mourir en Jésus : tu apprends à découvrir la vie éternelle,

tu apprends à respirer, à regarder, à entendre : tu apprends à t’aimer.

Amour, je suis ta vie, je suis le Tout; il n’y a pas de plus grand bonheur que de te laisser prendre par mon mouvement d’amour.

C’est moi, l’Amour; je suis ta joie, je suis ta paix, je suis ta lumière.

Lorsque tu consens à voir, c’est que ton oui se fait entendre.

Lorsque tu consens à entendre, c’est que ton oui se prononce.

Enfant d’amour, je suis tout pour toi, sois tout pour moi; laisse-toi prendre, laisse-toi envahir par ma puissance.

Ne sais-tu pas que ces jours sont des jours qui te font avancer? Tu es si petit encore!

Je connais ton don d’amour, je connais ton oui puisqu’il est nourri de mes grâces.

Je veux te démontrer combien c’est bon de te laisser prendre par mon mouvement d’amour; il y a tant à apprendre!

À cause de ce monde, tu as tant appris d’erreurs.

Moi, je veux te faire découvrir ce que tu as fait avec amour, avec douceur, afin que tu puisses savoir que Dieu te veut tel que tu es.

C’est à moi de te transformer, ce n’est pas à toi; il n’y a que Dieu qui peut le faire : tranquillement, tu apprends à être ce que tu dois être.

Si ta voix, quelquefois, se fait trop haute, si ta voix se fait trop puissante, si ta voix se fait trop dominante, colérique, impatiente,

si ta voix se fait orgueilleuse, si ta voix se fait trop petite, si ta voix se fait trop oubliée de toi-même:

laisse tout à Dieu parce que tu risques d’aller trop loin, tu risques de faire ce que tu as toujours voulu faire : ta volonté.

Il n’y a que moi qui vais te transformer en enfant de la Divine Volonté, pas toi.

Ne t’inquiète pas, c’est moi qui vais te prendre, c’est moi qui vais saisir ton envol afin de t’amener là où tu dois être : dans mon nid d’amour.

À l’intérieur de toi, il y a un endroit si inconnu de toi-même : c’est mes mains.

Je veux te prendre entre mes mains, c’est moi la Divine Volonté, c’est moi qui est le Tout :

Dieu le Père en le Fils, le Fils en le Père, Dieu le Père et Dieu le Fils en le Saint-Esprit, et toi en la toute-puissance de Dieu.»

Je suis tout amour, donnez-vous. Amen.